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Chez Detrembleur & Partners, nous ne vendons pas de produits par habitude ou par convenance.
Notre mission est de vous conseiller objectivement pour vous protéger au mieux, même (et surtout) lorsque cela implique de ne pas choisir l’option “par défaut” proposée par votre assureur auto.

C’est pourquoi nous vous recommandons vivement de souscrire une protection juridique auto auprès d’un assureur spécialisé  : une formule indépendante et bien plus complète que celles intégrées aux contrats auto classiques, souvent limitées et potentiellement soumises à des conflits d’intérêts.

 

✅ DAS propose une couverture « All Risk » qui protège dans (presque) toutes les situations

La formule DAS Véhicules All Risk offre une protection juridique très étendue : que vous soyez conducteur, passager, cycliste, piéton ou même utilisateur d’un véhicule de société et de service (facteur, ambulancier, chauffeur de bus, …), vous êtes couvert.

Ce qui est rarement le cas avec les protections juridiques intégrées au sein même du contrat d’assurance auto de votre véhicule. En effet, celles-ci se bornent généralement à couvrir les litiges résultant d’un accident avec le véhicule assuré. Pas le reste.

En cas d’accident, de litige contractuel (garagiste, vendeur, car wash…), de poursuite pénale (alcool, excès de vitesse…), ou même pour des questions liées à la restitution d’un véhicule en leasing, DAS sera à vos côtés. Cela concerne également :

  • Les véhicules de remplacement,

  • Les véhicules de tiers que vous utilisez,

  • Les recours contre des tiers insolvables,

  • Les litiges liés à l’achat d’un véhicule d’occasion.

👨‍⚖️ L’indépendance, une garantie d’efficacité et d’objectivité

Une protection juridique indépendante signifie qu’elle est gérée par un assureur distinct de votre compagnie RC ou omnium. Cela garantit une défense impartiale, même en cas de litige avec votre propre assureur, sans conflit d’intérêt.

Voici un cas concret qu’un de nos clients à vécu et qui illustre parfaitement comment l’indépendance peut faire toute la différence :

Notre client Monsieur M. est victime d’un accident au parc à conteneurs de Malmedy, où il est renversé en tant que piéton. Ses blessures sont heureusement légères, et son préjudice corporel est évalué à 1.500 €.

Grâce à sa pj DAS, qui couvre également la circulation à pied, son dossier est immédiatement pris en charge. DAS contacte alors l’assureur auto du conducteur responsable (un grand bancassureur belge) pour réclamer l’indemnisation. Mais ce dernier fait la sourde oreille pendant plusieurs mois.

Le juriste DAS n’hésite pas à faire pression et invoque la 4e directive européenne sur les assurances auto (2000/26/CE, aujourd’hui intégrée à la directive 2009/103/CE), qui impose aux assureurs d’indemniser les victimes dans un délai raisonnable, sous peine de sanctions financières.

✅ Résultat : 1.500 €… + 20.000 € d’intérêts pour retard !

Face à cette action déterminée, l’assureur adverse finit par réagir… et indemnise non seulement les 1.500 € prévus, mais aussi 20.000 € de frais pour non-respect des délais. Une issue qui n’aurait jamais été possible avec une protection juridique liée à l’assureur RC, tant le conflit d’intérêts aurait été évident

💰 Un surcoût limité pour une vraie tranquillité

Pour maximum 2 € par mois en plus qu’une protection juridique standard intégrée à votre contrat auto, la formule DAS vous offre :

  • Une couverture All Risk sans angles morts,

  • Un plafond jusqu’à 125.000 € htva,

  • Une indépendance totale vis à vis des compagnies d’assurance RC, Omnium, conducteur, …

  • Un soutien juridique réactif et spécialisé,

  • Et la garantie d’être défendu loyalement, même en cas de litige avec votre propre assureur RC.

🎯 En conclusion : notre rôle, votre protection

En tant que courtiers indépendants, nous avons le devoir de vous orienter vers la meilleure solution, pas celle qui sert le confort de l’assureur. En cela, une protection juridique indépendante et spécialisée est la meilleure option du marché pour défendre vos intérêts, sans compromis.

Comparons les couvertures avec un tableau synthétique:

DAS Véhicules All Risk

PJ auto intégrée

Étendue de couverture All Risk : tout ce qui n’est pas exclu est couvert Garantie limitée à certains événements définis
Mobilité étendue Oui : à pied, vélo, passager ou conducteur de tout véhicule, même tiers Limité au véhicule désigné dans le contrat
Litiges contractuels liés au véhicule ✅ Inclus : litiges avec garagiste, vendeur, car wash, etc. ❌ Généralement non inclus, sauf mention explicite
Insolvabilité du tiers ✅ Pris en charge jusqu’à 25 000 € Non mentionné explicitement
Caution pénale ✅ Jusqu’à 25 000 € ❌ Non prévu clairement
Expertise pour achat véhicule d’occasion ✅ Jusqu’à 150 € ❌ Non prévu
Plafond d’intervention Jusqu’à 125 000 € htva par sinistre Non précisé ou plus bas selon option choisie
Libre choix de l’avocat ✅ Total ✅ Mais encadré
Minimum litigieux Aucun Peut varier selon l’option PJ choisie
Indépendance ✅ DAS est une compagnie spécialisée et indépendante ❌ PJ intégrée est une filiale de l’assureur RC

Pour plus d’informations vous pouvez consulter le site DAS: https://www.das.be/fr/particulier/protection-juridique-auto

La Commission européenne a pris des mesures pour remodeler les règles du permis de conduire, anticipant ainsi les défis de la mobilité électrique. En mars 2023, l’UE a introduit une série de propositions qui s’attaquent directement à la sécurité routière et à l’adaptation nécessaire des infrastructures au passage aux véhicules électriques.

L’un des changements les plus significatifs concerne la révision à la hausse de la masse maximale autorisée (MMA) pour les véhicules relevant du permis de catégorie B. Cette initiative, qui semblait inévitable, vise à accommoder les spécificités des fourgons électriques, en particulier leur besoin en batteries volumineuses et lourdes qui impactent la capacité de charge utile. Jusqu’à présent, conduire un véhicule de plus de 3,5 tonnes nécessitait un permis de camion, une contrainte pour de nombreux conducteurs.

La nouvelle directive propose donc de porter cette limite à 4,25 tonnes, permettant ainsi de conduire des fourgons [électriques] plus lourds avec un permis B standard. Cette modification est cependant conditionnée à ce que la capacité de charge utile du véhicule en question ne dépasse pas celle de ses homologues à moteur à combustion.

Notons une curiosité réglementaire : cette limitation ne s’applique pas lorsque le véhicule est converti en camping-car ou en ambulance, où la même limite de 4,25 tonnes est maintenue même pour les modèles à essence ou diesel. Une bonne nouvelle pour les campingcaristes dont le poids des véhicules flirte souvent avec cette « ancienne » limite de 3,5 tonnes.

Cette réforme, bien que provisoirement adoptée, est en attente d’approbation définitive. La directive est sur le point d’être retardée jusqu’après les élections de juin, avec une finalisation espérée pour l’automne. Ce sera ensuite aux États membres de l’Union européenne de transposer ces nouvelles règles en législation nationale, un processus qui marquera un tournant décisif pour la mobilité européenne et l’adoption accrue des véhicules électriques.

En résumé:

  1. Proposition de réforme du permis de conduire : Initiation en mars 2023 par la Commission européenne pour s’adapter à la transition électrique des véhicules et améliorer la sécurité routière.
  2. Augmentation de la MMA pour permis de catégorie B : Élévation à 4,25 tonnes pour faciliter la conduite de fourgons électriques et camping-cars sans nécessiter un permis camion.
  3. Condition de la nouvelle MMA : La capacité de charge utile du véhicule électrique ne doit pas excéder celle des véhicules à moteur à combustion.
  4. Exceptions à la restriction : Les véhicules transformés en camping-cars ou ambulances ne sont pas soumis à cette restriction de capacité.
  5. Processus législatif : La directive est provisoirement adoptée, avec une attente de finalisation post-élections et mise en œuvre au niveau national à l’automne

C’est une problématique qui risque d’arriver de plus en plus souvent: certaines places de parking sont dorénavant réservées à la charge – publique – des véhicules électriques, ce qui réduit l’offre de stationnement.

Du coup certains conducteurs de véhicules thermiques – ou électriques mais qui ne chargent pas – sont tentés de stationner sur ces emplacements.

Est-ce autorisé? Que risquent-t-ils? On fait le point.

Il faut savoir que depuis fin 2022, les voitures électriques ou hybrides rechargeables qui sont parquées sur une place avec une borne de recharge doivent impérativement être branchées à la borne.

Si ce n’est pas le cas, le conducteur du dit véhicule s’expose à une amende de 58€ à majorer d’éventuels frais administratifs.

Il faut en fait partir du principe que ces emplacements ne doivent pas être considérés comme des places de parking à proprement parler mais bien comme des places de recharge. Vous ne pouvez donc absolument pas vous y stationner avec un véhicule thermique ou électrique non branché à la borne.

Un conducteur averti en vaut deux!

C’est l’une des questions que vous nous posez le plus fréquemment: « votre véhicule prend de l’âge, est-il encore utile de conserver la garantie omnium ».
S’il n’existe pas de réponse simple pour cette question compliquée, voici quelques éléments qui vous permettront de savoir ce que couvre l’omnium et si c’est le bon moment pour vous en passer.

A l’exception de certains modèles, la plupart des voiture voient leur valeur diminuer au fil du temps et des kilomètres. Plutôt que de demander un montant plus élevé lorsque le véhicule est neuf et de diminuer la prime pour suivre l’amortissement de la valeur assurée, les assureurs lissent le montant de cette prime sur la durée de vie du contrat.
C’est donc la raison pour laquelle vous n’allez pas payer moins cher plus tard même si votre voiture vaut moins qu’à l’achat.

Il faut aussi penser que le déclassement – et donc le remboursement de la valeur assurée – n’est pas le sinistre le plus fréquent que nous rencontrons. Et qu’en cas de dommage partiel (par exemple remplacement du pare-chocs et du capot) le coût de la réparation sera identique que le véhicule ait 1 mois ou 5 ans.

Ces deux précisions étant apportées, revenons à notre question principale: quand faut-il résilier son omnium?

Le financement, critère numéro 1 à prendre en compte

Généralement l’organisme de crédit qui a financé votre véhicule va exiger qu’une omnium le couvre jusqu’au solde du prêt. Il est donc vivement conseillé de maintenir l’omnium tant que votre crédit n’est pas remboursé. A défaut vous devriez en cas de déclassement continuer à rembourser un véhicule détruit, en plus de vous retrouver à pied.

Une fois le crédit soldé d’autres questions sont à se poser. Quelle est la valeur de mon véhicule à un moment T? Est-ce que je suis en mesure d’assumer financièrement une réparation importante voire le remplacement de mon véhicule? Que représente la prime d’assurance (omnium) par rapport à la valeur résiduelle de mon véhicule?

Pour ces questions nous n’avons malheureusement pas de réponses car elles seront différentes pour chaque dossier. Mais une des pistes pour vous aider dans votre réflexion est que l’assurance omnium sert à couvrir le risque que vous ne pouvez – ou que vous ne voulez – assumer vous-même.

La plupart de nos clients abandonnent l’omnium lorsque leur voiture a 5 ans. Mais certains la conserveront jusqu’aux 10 ans de leur voiture quand d’autres ne la garderont que 2 ans.

L’omnium partielle, alternative utile et abordable?

Lorsqu’ils résilient leur grosse omnium la majorité de nos clients la remplacent par une omnium partielle (mini omnium). Celle-ci coûte environ un tiers du prix de la grosse omnium mais ne permet plus d’assurer vos propres dommages en cas d’accident (seul ou contre un tiers).

Par contre vous restez couverts sans franchise pour les dommages causés par l’incendie, le vol ou l’effraction, le bris de vitre, les collisions avec des animaux, les tempêtes, la grêle et autres forces de la nature.

Omnium Vs. Omnium partielle d’un point de vue budget

Jean a 40 ans, habite à Malmedy et souhaite assurer sa Skoda Octavia qui a 4 ans. Il hésite entre omnium et omnium partielle.

Maintenant que vous avez tout compris sur les différences de garanties, voyons ce que cela donne concrètement du point de vue du budget:

D’un côté une belle économie réalisée au niveau de la prime, de l’autre une meilleure maîtrise du risque puisque 535€ par an (44€/mois) vous permettent de couvrir environ 15.000€ soit la valeur résiduelle de la voiture.

Vous souhaitez poursuivre la réflexion? N’hésitez pas à nous contacter!

Jusqu’à présent, la Belgique restait un des seuls pays européens à ne pas avoir adopté une politique sévère pour lutter contre la récidive en matière de « délinquance » routière.

L’exécutif fédéral a donc commandé une étude auprès de Vias, chargé d’analyser et de compulser les meilleures pratiques adoptées à l’étranger en matière de permis.
C’est grâce à ce travail de recherche et d’analyse que les trois ministres – justice, mobilité et intérieur – sont tombés d’accord sur la mise en place du premier permis à points belge.

Le principe est fixé, restera aux différents cabinets à peaufiner le projet dont la version finale devrait être posée sur la table du gouvernement début 2023, pour un déploiement avant la fin de la législature actuelle.

Fonctionnement en pratique

Contrairement à celui de nos voisins français, le conducteur belge disposera au départ d’un montant nul de points sur son permis. Des points lui seront ajoutés en fonction des infractions commises et de leur gravité.
Arrivé à 12 points, la limite, son permis lui sera retiré et pour le récupérer, il devra suivre à ses frais une formation axée sur les comportements dangereux et les modes de conduite à adopter.
Il aura également la possibilité – toujours à ses frais – de suivre une formation pour effacer quatre points de son bulletin.
En contrepartie, les points « gagnés » s’annuleront au bout de deux ou trois ans (en fonction de l’infraction) si le conducteur ne s’est plus fait remarquer négativement.
La consultation des points du permis de conduire pourra se faire via un site internet dédié, ou par l’entremise de la carte d’identité électronique.

Les amendes resteront d’application

Il est évident que ce système de permis à points s’ajoutera à l’arsenal punitif actuel et qu’il ne vous exonèrera pas du paiement des amendes classiques.
Le gouvernement n’a par ailleurs pas manqué de rappeler que son ambition était d’augmenter sensiblement les contrôles de police sur la route.

Cette annonce a été faite dans la foulée de la publication par Via des statistiques jugées comme alarmantes sur les accidents et victimes de la route qui sont reparties à la hausse en Belgique par rapport à 2021. Vias parle d’une augmentation de 16% sur les neufs premiers mois de cette année si l’on compare à l’an dernier.

Vous voilà prévenus.

Depuis ce mercredi 6 juillet, les nouveaux modèles de véhicules doivent obligatoirement être équipés d’une boîte noire appelée « Event Data Recorder ». Une obligation qui s’étendra à toutes les nouvelles voitures dès 2024. Comment ce boîtier fonctionne-t-il et cela va-t-il être une nouvelle manière d’espionner les conducteurs?

Depuis 2011, il existe déjà une sorte de boîte noire sur la plupart des véhicules européens. Mais jusqu’à présent, il n’y avait aucune harmonisation au niveau de la collecte des données et du système d’encodage de celles-ci. Du coup, ces données étaient rarement exploitées et d’ailleurs pas toujours fournies par les constructeurs automobiles.

Depuis ce 6 juillet, la réglementation européenne a donc changé pour que les tribunaux puissent disposer de ces informations en cas d’accidents importants.

Quelles données collectées?

Selon VIAS (sécurité routière), « La vitesse, les indications de freinage, les changements de direction, et si l’airbag a été déclenché sont les données-clés qui peuvent être utilisées pour départager un litige après un accident ».

Ces données seront collectées par le boitier « boite noire » qui sera placé sous le siège conducteur afin de résister au mieux aux chocs. Et en aucun cas ses informations ne pourront être lues par le propriétaire du véhicule.

Quelle utilisation par les assureurs?

La lecture des données sera réservée à la justice, au parquet ou à un juge qui pourrait en faire la demande. Concernant les compagnies d’assurance, on évoque un accès au cas par cas, même si la question n’a pas encore été tranchée légalement. Il faut donc supposer qu’en cas de litige dans un dossier onéreux, l’assureur pourrait demander une injonction d’un juge pour pouvoir accéder aux données. Ce qui, il faut le préciser est déjà le cas actuellement.

Quelle conclusion tirer?

L’obligation d’installation de l' »Event Data Recorder » ne va faire qu’harmoniser une technologie déjà présente depuis une petite dizaine d’années sur de nombreux véhicules. La législation européenne semble veiller au grain pour éviter toute dérive et le respect de la vie privée.
Si l’on compare avec les Etats-Unis où le système est en place depuis le début des années 2000, cela pourrait diminuer le nombre d’accidents et conscientiser un peu plus les conducteurs.

Se pose tout de même la question éthique de la surveillance toujours accrue des citoyens. Arguments que les défenseurs de ces technologies balaieront en affirmant que celui qui n’a rien à se reprocher n’a quoi qu’il en soit rien à craindre…

A vous de vous faire un avis.

En plus des augmentations des coûts de l’énergie déjà subies par les ménages et liées à la situation géopolitique très instable, il faudra vraisemblablement aussi compter sur une augmentation des primes d’assurance auto en 2022. Comme une énième mauvaise nouvelle. Voici pourquoi.

Alors que depuis 2015, l’augmentation des primes d’assurance auto avait été relativement peu importante (environ 2,5%), on envisage en 2022 une hausse entre 3,5 et 4%, et ce, malgré une fréquence de sinistres qui avait baissé de près de 20% en 2020 suite aux confinements.

Ce n’est donc pas dans le volume de sinistres qu’il faut trouver l’explication de l’augmentation, mais bien dans le coût des réparations. En effet, ceux-ci ont augmenté en moyenne de 6% ces derniers mois, alourdissant la charge des assureurs.

Plus généralement, le marché automobile connait actuellement une des plus graves crises de son existence. Depuis 2020, la pénurie de semi-conducteurs avait ralenti les chaînes de production de nombreux constructeurs. Et ceux, tels le groupe BMW, qui n’avaient pas été trop impactés par ce problème voient depuis fin février la plupart de leurs usines s’arrêter. La raison? Un problème d’acheminement des faisceaux électriques qui équipent les véhicules, et qui étaient habituellement produits en Ukraine.

Il en résulte des délais de livraison anormalement longs pour les véhicules neufs (de 6 à 18 mois entre la commande et la livraison!) et un marché de l’occasion où l’offre ne parvient à suivre la forte demande, et où les prix ont du coup augmenté jusqu’à 25% en un an!

Vous l’aurez compris, rien n’est simple pour le moment et l’accumulation de plusieurs facteurs a parfois des conséquences inattendues. Le fameux effet papillon…