Crelan, Febelfin et itsme® vous alertent contre les fraudes pendant l’été.
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Cette décision découle directement du RRF et du programme REPowerEU, dans lesquels la Belgique s’est engagée dès 2021 à ne plus octroyer d’avantages fiscaux aux véhicules autres que 100 % électriques. Revenir sur cette position exposerait le pays à :
une perte de plusieurs centaines de millions d’euros de subsides,
la suspension de fonds européens pour la mobilité verte,
une perte de crédibilité sur le plan international.
Nous saluons cette décision qui, bien que contraignante à court terme, apporte plusieurs bénéfices importants :
Clarté pour les entreprises : la suppression des zones grises fiscales évite les erreurs stratégiques dans les renouvellements de flotte.
Stabilité pour les concessionnaires : faire machine arrière aurait semé la confusion et perturbé durablement le marché.
Cohérence environnementale : les hybrides rechargeables, rarement rechargés en pratique, émettent souvent plus qu’un modèle thermique équivalent à cause du surpoids de la batterie. Ils n’étaient donc écologiques que sur papier.
La fiscalité automobile belge entame désormais une phase de transition finale : seuls les véhicules 100 % électriques continueront à bénéficier d’une déductibilité maximale. Pour les entreprises, le message est limpide : il est temps d’anticiper l’avenir plutôt que de tenter de maintenir des compromis technologiques désormais obsolètes.
Véhicules hybrides rechargeables (PHEV) | Déductibilité fiscale | ISOC | Condition de conformité | Échéance fiscale |
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Immatriculés jusqu’au 30/06/2023 | Jusqu’à 100 % | Oui | Si batterie ≥ 0,5 kWh/100 kg et CO₂ ≤ 50 g/km | Jusqu’au 31/12/2025 |
Immatriculés du 01/07/2023 au 31/12/2025 | Déductibilité dégressive dès 2025 | Non | Idem ci-dessus | Suppression complète au 01/01/2026 |
Immatriculés à partir du 01/01/2026 | Non déductibles | Non | – | Aucun avantage fiscal |
📌 Seuls les véhicules strictement 100 % électriques resteront fiscalement attractifs au-delà de 2026.
La TMC sera désormais calculée sur base de :
la puissance du moteur (kW) ;
les émissions de CO₂ ;
la masse maximale autorisée (MMA) ;
le type de carburant/énergie.
Ce nouveau mode de calcul entend mieux refléter l’impact environnemental et routier du véhicule, mais il introduit aussi une complexité importante, avec des risques d’erreur accrus pour les contribuables et une réelle difficulté de prévision du montant qu’il devra payer.
Alors que les régions flamande et bruxelloise maintiennent un système plus lisible et stable, la Wallonie se distingue par une fiscalité plus complexe et moins avantageuse, creusant encore davantage les inégalités entre citoyens belges selon leur région d’habitation.
Pour les citoyens et les professionnels, cette réforme crée une inégalité de traitement flagrante, notamment pour ceux qui souhaitent acheter un véhicule électrique ou familial en Wallonie.
Sachant que pour ceux qui choisiraient la solution du leasing, la fiscalité restera inchangée puisque la majeure partie (la totalité?) des sociétés de leasing ont leur siège social en Flandre.
Dans la volonté d’encourager les véhicules plus propres, on aurait pu s’attendre à un traitement de faveur pour les véhicules électriques.
Or, le calcul de la nouvelle TMC pénalise fortement les modèles « lourds », ce qui est le cas de la majorité des véhicules électriques à batterie. Résultat : les familles qui veulent un véhicule spacieux, souvent électrique, se retrouvent avec une taxe salée à moins de choisir un véhicule peu adapté à une famille (Peugeot 208, Renault 5, …).
Par ailleurs, les constructeurs prévoient généralement des puissances supérieures à 211 chevaux pour ces véhicules, ce qui induit une taxe « de base » – bêtement calculée sur la puissance – dont le montant laisse songeur: 4.957€!
Une spécificité quasi unique en Europe (et en Belgique) qui se base sur le calcul précédent (et déjà désuet) de la taxe de mise en circulation sur base des puissances en kilowatt:
Une réduction de 250 € est bien prévue pour les familles nombreuses (au moins 3 enfants), mais :
elle ne compense que partiellement la taxe alourdie par le poids ;
elle exclut les familles “classiques” de deux enfants, pourtant nombreuses en Wallonie.
Voici les composantes du calcul :
TMC = Montant de base × (CO₂ /Coefficient CO₂) × (MMA / Coefficient Masse) × Coefficient Carburant – Réductions éventuelles
Montant final plafonné à 9.000 €, avec un minimum de 50 €.
Une dégressivité est prévue pour les véhicules d’occasion en fonction de leur âge, mais là encore, la clarté manque pour le citoyen non averti.
4.958€ x 1 x (2.508 / 1.838) x 0,26 = 1.685€
2. VW Taigo 1.0 TSI 81kW – 133g – 1.750kg
123€ x (133 / 136) x (1.750 / 1.838) x 1 = 114€
3. DACIA Bigster TCe 140 – 100kW – 122g – 1.890kg
867€ x (122 / 136) x (1.890 / 1.838) x 1 = 804€
4. AUDI Q4 e-tron 55 255kW – 0g – 2.660kg
4.958€ x 1 x (2.660 / 1.838) x 0,26 = 1.869€
⚠️ Un malus écologique pourrait encore s’ajouter à ces montants pour les véhicules dont le taux de CO² est supérieur à 175 grammes.
✅ Points positifs | ⚠️ Ce qu’on peut regretter |
---|---|
Valorisation de critères environnementaux | Complexité accrue du calcul |
Encouragement des véhicules légers | Inégalités entre régions belges |
Dégressivité selon l’âge du véhicule | Pénalisation des électriques lourds |
Réduction pour familles nombreuses | Aucune mesure pour familles à 2 enfants |
Chez Detrembleur & Partners, nous vous aidons à :
estimer votre future TMC selon le véhicule choisi ;
éviter les erreurs et mauvaises surprises ;
adapter vos choix à la réalité fiscale régionale.
La fiscalité automobile change, mais notre accompagnement reste le même : clair, humain et sur mesure.
📞 Une question ? Un projet d’achat ? Parlons-en avant de vous engager.
À partir du 1er août, la procédure de radiation des plaques d’immatriculation change radicalement.
👉 La radiation ne pourra plus se faire via la poste.
👉 La DIV elle-même prendra en charge le traitement des radiations.
👉 La confirmation de radiation ne sera plus immédiate.
👉 La plaque devra être envoyée physiquement à la DIV, par courrier recommandé ou via un guichet DIV.
Bref : plus de file à la poste, mais plus de tranquillité non plus.
Cette nouvelle procédure induit plusieurs problèmes concrets :
Délai d’attente inconnu pour obtenir la confirmation de radiation (et donc pour l’arrêt de l’assurance ou d’un éventuel prélèvement fiscal).
Risque de perte de la plaque durant le trajet.
Charge administrative accrue pour les particuliers… et a fortiori pour les intermédiaires comme nous.
Chez Detrembleur & Partners, nous faisons tout pour simplifier la vie de nos clients.
Mais cette nouvelle procédure est trop lourde, chronophage, et risquée pour que nous puissions la gérer en votre nom.
➡️ Nous ne pourrons donc plus nous charger de la radiation de vos plaques.
➡️ Nous vous accompagnerons volontiers pour vous expliquer la démarche, mais l’envoi devra être effectué par vos soins.
On aurait aimé pouvoir vous annoncer une simplification, une digitalisation, une efficacité renforcée.
Mais cette fois, c’est tout le contraire.
Nous vous tiendrons bien entendu informés dès que nous aurons plus de précisions sur les délais et modalités. En attendant, n’hésitez pas à nous contacter pour toute question.
Toutes les informations officielles au sujet de la nouvelle procédure de radiation sur le site de la DIV: https://mobilit.belgium.be/fr/news/nouvelle-procedure-pour-la-radiation-des-plaques-partir-du-1er-aout-cest-la-div-qui-sen-charge
Bonne nouvelle : certaines extensions d’assurance familiale permettent de couvrir les dommages causés aux objets confiés, y compris les bateaux de plaisance pris en location.
Par défaut, votre assurance familiale ne couvre pas les dégâts que vous causez à un objet que vous avez loué, emprunté ou que l’on vous a confié. Pourtant, certains assureurs proposent une extension de garantie qui protège précisément contre ce type de sinistre.
Cette extension peut s’avérer précieuse si vous louez un bateau, un vélo, un appareil électroportatif… bref, tout bien appartenant à un tiers. Avec qui plus est un supplément de prix ridicule par rapport à la RC familiale de base!
En vacances, vous louez un bateau à moteur pour une journée. Vous disposez du permis requis. Mais au moment de manœuvrer pour accoster, vous heurtez le quai. La coque est endommagée, et le loueur vous réclame plusieurs milliers d’euros.
➡ Si votre assurance familiale comprend une extension « biens confiés », vous pourriez être couverts jusqu’à 50.000 € pour les dommages matériels causés au bateau — à condition que :
Le bateau appartienne à un tiers,
Vous soyez utilisateur autorisé,
L’usage soit occasionnel (généralement 48h max),
Et que le bateau ne soit pas suffisamment assuré par ailleurs.
Cette protection est soumise à conditions, mais peut éviter bien des frais inattendus.
Vous empruntez une scie circulaire à votre voisin pour un petit chantier. En l’utilisant, vous endommagez le moteur. Sans garantie spécifique, vous seriez tenu d’en payer la réparation ou le remplacement. Avec la bonne extension, ce type de dégât peut être couvert.
Lors d’un week-end en ville, vous louez un vélo électrique. Une chute endommage la batterie et la console. Le loueur vous adresse une facture salée.
➡ Ici aussi, si aucun contrat « dommages » ne couvre déjà ce vélo, votre assurance familiale avec extension peut intervenir pour rembourser le loueur.
Le bien doit appartenir à un tiers (location ou prêt) ;
L’utilisation doit être occasionnelle et limitée dans le temps ;
L’objet ne doit pas déjà être suffisamment couvert par une autre assurance (celle du propriétaire par exemple) ;
Une franchise peut exister selon les contrats.
Qu’il s’agisse d’un bateau à moteur, d’un véhicule léger, ou même d’un matériel de camping, mieux vaut vérifier votre couverture d’assurance avant usage. Et surtout, demandez-nous conseil!
En tant que courtiers indépendants, nous travaillons avec plusieurs compagnies pour vous proposer des solutions personnalisées.
Notre disponibilité est votre meilleure protection : pour anticiper les problèmes, bien comprendre les conditions de couverture, et surtout vous accompagner efficacement en cas de sinistre.
Un simple appel avant une location ou un emprunt peut faire toute la différence. N’hésitez donc pas à nous consulter !
Il y a quelques années, une avancée importante voyait le jour dans le paysage de l’assurance belge : la mise en place d’un avantage fiscal pour les contrats de protection juridique, initiative saluée pour son ambition sociale.
Dans un pays où l’accès à la justice reste coûteux, l’État avait décidé d’encourager la population à s’assurer contre les frais juridiques, en rendant une partie de la prime fiscalement déductible. Cette mesure, entrée en vigueur le 1er septembre 2019, faisait suite à une volonté du législateur d’élargir l’accès à la justice en offrant un incitant fiscal (code 1344/2344 de la déclaration).
Cette réduction était toutefois réservée à certains contrats très encadrés, dits “fiscaux”, qui devaient répondre à une série de critères stricts : couverture large, délais d’attente clairs, plafonds d’intervention minimaux, etc. L’un des contrats les plus connus sur le marché dans cette catégorie est le BeneFisc de DAS, leader belge de la protection juridique.
Mais aujourd’hui, revirement brutal : le nouveau gouvernement fédéral belge (coalition “Arizona”) a décidé de supprimer purement et simplement cet avantage fiscal, et ce avec effet rétroactif au 1er janvier 2025.
Autrement dit, les primes versées en 2025 ne donneront plus droit à une réduction l’année suivante, alors même que de nombreux assurés ont souscrit ou renouvelé leur contrat en pensant bénéficier de l’avantage… Cette rétroactivité est d’autant plus regrettable qu’elle remet en cause la sécurité juridique que l’on est en droit d’attendre de telles mesures fiscales.
En tant que courtiers, nous ne pouvons que déplorer cette suppression précipitée.
Elle intervient à un moment où le coût de la justice, comme celui des soins de santé et d’autres frais indispensables, ne cessent d’augmenter, rendant l’accès à une défense de qualité de plus en plus difficile pour les citoyens moins aisés. Ce changement risque de renforcer une tendance dangereuse : réserver la possibilité de se défendre correctement à ceux qui en ont les moyens.
Il y a quelques semaines, nous évoquions déjà un précédent article l’augmentation des primes de la protection juridique chez DAS, liée à une explosion des coûts de gestion des dossiers, notamment en raison de la hausse constante des honoraires d’avocats (entre 150 et 500 € de l’heure).
Nous expliquions alors pourquoi cette revalorisation tarifaire, bien que sensible, était justifiée et surtout, nécessaire pour garantir un service de qualité.
Cette réforme gouvernementale ne change rien à notre conviction : une bonne protection juridique reste une assurance indispensable.
Un litige avec un voisin, un conflit avec un employeur, un problème après un accident de voiture, un litige durant une rénovation, … Ce sont des réalités fréquentes, où le soutien d’un avocat ou d’un expert peut faire toute la différence. Être mal ou pas assuré peut alors coûter plusieurs milliers d’euros, là où une prime annuelle reste généralement bien en dessous du prix d’une seule heure de consultation juridique.
En supprimant l’avantage fiscal, le gouvernement a peut-être rendu le produit protection juridique un peu moins attrayant sur le plan financier, mais il n’a en rien diminué son utilité. Il est d’ailleurs important de souligner que le montant de la prime reste inchangé pour les contrats de type BeneFisc (en tout cas pour l’instant): seule la possibilité de récupérer une partie via votre déclaration d’impôt disparaît.
Autrement dit, vous ne paierez pas plus, vous récupérerez juste un peu moins. Le verre à moitié plein, en somme.
Nous, courtiers, avons un rôle central à jouer dans ce contexte. Plus que jamais, nous devons conseiller, expliquer et anticiper, pour permettre à chacun de s’assurer intelligemment, même dans un environnement fiscal et économique mouvant.
Nous restons à vos côtés pour vous aider à choisir la solution de protection juridique la mieux adaptée à votre profil, à vos risques… et à votre budget.
Trop souvent, les clients sous-estiment la valeur réelle du contenu de leur habitation. Pourtant, entre les meubles, les appareils électroniques, les vêtements, les objets personnels ou décoratifs… les montants grimpent vite.
Mais ce qui est encore plus souvent oublié, c’est la valeur des objets sensibles, comme les bijoux. Et c’est là que les problèmes commencent au moment d’un sinistre : pas de preuve, pas de liste, pas de photos… donc une indemnisation compliquée, voire incomplète.
Chez Detrembleur & Partners, nous assistons toujours nos clients lors des expertises vol. Et malheureusement, nous avons trop souvent vu des expertises se dérouler dans de mauvaises conditions :
Résultat : l’expert doit estimer à l’aveugle. Et cela aboutit souvent à une indemnisation partielle, décevante, frustrante.
C’est pourquoi nous insistons :
La base de votre contrat habitation, c’est le capital contenu. C’est sur ce montant que reposera l’indemnisation en cas de vol, d’incendie, de dégât des eaux… Si ce montant est trop bas, vous serez en partie lésé. Et comme les garanties spécifiques (bijoux, objets de valeur, multimédia…) sont dans certaines compagnies d’assurance plafonnées en pourcentage du contenu assuré, une erreur ici peut avoir des conséquences à tous les niveaux.
C’est notre rôle, en tant que courtiers professionnels, de veiller à ce que votre contrat soit adapté à la réalité. Mais pour cela, nous avons besoin de votre collaboration! Plus vous nous fournissez de détails sur vos biens, plus notre conseil sera pertinent.
En d’autres termes : on ne peut bien protéger que ce que l’on connaît bien. La couverture vol n’est pas automatique ni magique. Elle doit être pensée, chiffrée, construite sur base d’informations précises.
Équiper son habitation d’une alarme visible est un excellent réflexe, car c’est un outil de dissuasion très efficace. Fermer convenablement volets, portes et fenêtres aussi.
Mais cela ne suffit pas pour une bonne prévention. La valorisation correcte de vos biens et la constitution de preuves tangibles restent les deux piliers d’une bonne indemnisation.
Et dans tous les cas, vous pouvez compter sur nous pour :
La recrudescence des cambriolages n’est pas un détail. Elle doit vous inciter à vous poser la question : suis-je correctement couvert ?
Et surtout : ai-je pris les bonnes précautions pour que, si le pire arrive, l’indemnisation soit à la hauteur de mes pertes ?
Chez Detrembleur & Partners, nous assurons bien plus que des biens : nous protégeons votre tranquillité.
Ce transfert marque une nouvelle étape importante dans le développement du pôle de compétences bancaires de Detrembleur & Partners, reconnu pour son professionnalisme, son expertise et son service personnalisé dans la région.
Crelan renouvelle ainsi sa confiance envers Detrembleur & Partners, saluant l’engagement de leur équipe à offrir à chaque client des solutions bancaires adaptées à ses besoins spécifiques. Avec une équipe renforcée de 12 spécialistes en crédits et placements, les agences de Malmedy et Vielsalm garantissent un accompagnement sur-mesure et des conseils pointus pour financer des projets ou gérer des investissements.
Contrairement aux grandes structures impersonnelles, Detrembleur & Partners mise sur une approche humaine et accessible. L’agence se distingue par :
L’équipe Detrembleur & Partners reste entièrement à l’écoute et se tient prête à accueillir ces nouveaux clients avec professionnalisme et engagement.
Cette reprise illustre la volonté commune de Crelan et de Detrembleur & Partners de garantir un accompagnement bancaire de proximité, transparent et toujours au service des projets de leurs clients.
Le gouvernement prévoit une hausse des revenus nets des travailleurs par le biais de plusieurs mesures :
✔ Augmentation de la quotité exemptée d’impôt, permettant à chacun de conserver plus de revenus nets.
✔ Réduction de la cotisation spéciale de sécurité sociale (CSSS) et renforcement du bonus à l’emploi.
Les entreprises devront aussi s’adapter :
✔ Le seuil de rémunération du dirigeant d’entreprise est relevé à 50 000 € (contre 45 000 €) pour accéder au taux réduit d’imposition des PME.
✔ Maintien des incitants fiscaux à l’embauche, notamment l’exonération de charges pour le premier salarié.
✔ Réduction des sanctions fiscales pour les nouveaux entrepreneurs afin d’encourager l’entrepreneuriat.
Un point important est l’introduction d’une taxe progressive sur les plus-values financières. Les plus-values inférieures à 1 million € restent exonérées, mais celles au-delà seront taxées entre 1,25 % et 10 %.
Le gouvernement souhaite harmoniser les pensions et inciter à travailler plus longtemps :
✔ Réduction des périodes assimilées dans le calcul des pensions, ce qui pénalisera les personnes ayant connu des interruptions de carrière.
✔ Suppression progressive des pensions de ménage et de veuf(ve).
✔ Bonus-malus pension : travailler au-delà de l’âge légal apportera une pension majorée, tandis qu’un départ anticipé entraînera une réduction.
✔ Réforme du 2ᵉ pilier : les employeurs devront progressivement cotiser au moins 3 % pour une pension complémentaire.
Les indépendants bénéficient de certaines améliorations :
✔ Augmentation du plafond des cotisations PLCI pour améliorer la pension complémentaire.
✔ Extension des droits aux indépendants complémentaires, leur permettant de cotiser pour leur pension comme les indépendants principaux.
✔ Meilleure prise en charge de l’incapacité de travail : possibilité d’un gel administratif pour éviter des sanctions en cas d’arrêt prolongé.
Le gouvernement veut augmenter la flexibilité du travail :
✔ Hausse progressive du plafond des chèques-repas à 12 € (au lieu de 8 € actuellement).
✔ Extension des flexi-jobs à tous les secteurs, avec un plafond de revenus relevé à 18 000 € par an.
✔ Possibilité pour les étudiants de travailler jusqu’à 650 heures par an.
✔ Réintroduction de la période d’essai : une rupture de contrat sera possible avec une semaine de préavis dans les 6 premiers mois.
Le chômage sera plus restrictif :
✔ Durée d’indemnisation limitée à 2 ans pour les travailleurs avec 5 ans de carrière.
✔ Allocation plus élevée en début de période, mais dégressive plus rapidement.
✔ Suivi renforcé des malades de longue durée avec des sanctions en cas de non-coopération à la réintégration.
Le gouvernement met en place une taxe sur les plus-values financières et des ajustements en matière d’immobilier :
✔ La déduction fiscale des intérêts sur les investissements immobiliers (hors résidence principale) sera supprimée.
✔ TVA maintenue à 6 % sur les démolitions-reconstructions, avec un plafond abaissé à 175 m².
✔ Facilitation des rénovations énergétiques en copropriété avec un vote à majorité simple.
Pour soutenir le pouvoir d’achat, plusieurs mesures seront mises en place :
✔ TVA à 6 % pour les pompes à chaleur mais augmentée à 21 % pour les chaudières à gaz et au mazout.
✔ Obligation pour les banques d’augmenter le nombre de distributeurs automatiques de billets.
✔ Suppression de certaines taxes sur les emballages et boissons, pour lutter contre les achats transfrontaliers.
✔ Alignement des prix des télécoms avec les pays voisins et introduction d’indemnités plus flexibles en cas de panne.
Le gouvernement Arizona met en place une série de réformes destinées à augmenter les revenus du travail, réformer la pension et ajuster la fiscalité des entreprises et des investisseurs. Certaines mesures, comme la hausse des salaires nets et l’amélioration du 2ᵉ pilier de pension, sont positives, en tout cas sur papier. D’autres, comme la taxe sur les plus-values et le renforcement des conditions d’accès à la pension, risquent d’avoir un impact financier sur certains contribuables et entrepreneurs.
En tant que courtier, nous suivons ces évolutions de près pour vous accompagner dans l’adaptation de vos contrats d’assurance, de pension et de protection financière. Si vous souhaitez anticiper ces changements et optimiser votre situation, nous sommes à votre disposition pour vous conseiller.
Depuis plusieurs années, DAS fait face à une hausse constante et marquée des coûts liés à la gestion des sinistres.
D’autres facteurs, comme l’augmentation des procédures d’appel et des frais administratifs, accentuent cette tendance. Près de 75 % des litiges pris en charge par DAS sont réglés à l’amiable, générant des coûts de gestion internes importants.
Certains produits, tels que BeneFisc ou LRC All Risk, ont été tellement sollicités qu’ils généraient des pertes structurelles importantes pour chaque prime encaissée. La révision tarifaire devenait donc une nécessité pour préserver l’équilibre financier et la qualité du service.
En tant que leader historique et pionnier sur le marché de la protection juridique, la DAS reste un indicateur de référence pour l’ensemble du secteur. Si la société a dû réviser sa tarification, il est fort probable que ses concurrents adoptent dans un futur proche des démarches similaires.
Car ces derniers font face aux mêmes pressions économiques : hausse des frais juridiques, complexification des litiges et attentes accrues des clients. La DAS a néanmoins choisi de maintenir des garanties complètes et un service haut de gamme, en cohérence avec sa réputation de fiabilité et d’expertise.
Pour accompagner cette augmentation, la DAS a introduit un modèle de tarification variable basé sur un score de risque. Ce modèle permet de calculer une prime ajustée en fonction de trois critères principaux : la fréquence des sinistres, leur coût et la localisation géographique du client.
Ce système vise à récompenser les clients ayant un profil de risque favorable tout en ajustant les tarifs pour ceux qui sollicitent davantage la garantie notamment lorsque les sinistres sont plus fréquents.
Chaque contrat est désormais accompagné d’un score de risque qui peut influer sur la prime, dans une limite maximale de 15 % par rapport à la base tarifaire. On pourrait un peu comparer cette tarification variable au malus qui sera appliqué à votre contrat auto en cas de sinistre responsable…
Malgré l’augmentation des primes, il convient de souligner qu’une protection juridique reste un outil indispensable pour se défendre efficacement. Les honoraires d’un avocat, d’un expert ou les frais d’une procédure peuvent atteindre des montants exorbitants.
La protection juridique permet non seulement de couvrir ces frais, mais aussi de bénéficier d’un accompagnement et de conseils dès les premières étapes d’un litige, réduisant ainsi les risques et les coûts à long terme.
En protégeant ses clients contre ces dépenses imprévues, DAS continue de jouer un rôle crucial dans la défense de leurs droits. Renoncer à une protection juridique, même dans un contexte de hausse tarifaire, serait une prise de risque démesurée.
En tant que courtiers, nous avons une mission fondamentale : rechercher pour nos clients les partenaires qui offrent le meilleur équilibre entre prix et prestations. Notre indépendance vis-à-vis des compagnies d’assurance nous permet de comparer les solutions disponibles sur le marché et de vous proposer celles qui répondent le mieux à vos besoins spécifiques.
Nous restons également vigilants face à ces hausses tarifaires. Si nous comprenons la nécessité économique de ces ajustements pour la DAS, nous veillons à ce que ces augmentations soient justifiées et à ce que nos clients continuent de bénéficier d’une couverture avantageuse.
Notre objectif est de vous accompagner dans cette transition en vous apportant une transparence totale et des conseils personnalisés pour optimiser vos contrats et votre protection face aux risques.
Une seule heure d’honoraire, facturée par un avocat entre 150 et 500 euros, représente souvent un coût bien supérieur à la prime annuelle d’une assurance protection juridique.
Une simple procédure, même de faible envergure, peut rapidement représenter un coût difficile à assumer pour un particulier ou une entreprise. Dans ce contexte, l’augmentation des primes et l’introduction de la tarification variable par la DAS répondent à des défis financiers qui ne pouvaient plus être ignorés.
En maintenant des garanties complètes et une approche haut de gamme, la DAS reste fidèle à son engagement envers ses clients. Toutefois, cette tendance est appelée à s’étendre à l’ensemble du secteur, reflétant une hausse généralisée des coûts de la justice.
En tant que courtier, nous sommes là pour vous guider et vous défendre, en vous garantissant des solutions qui allient qualité et compétitivité. La protection juridique reste un investissement essentiel, et nous nous engageons à ce qu’elle demeure accessible et adaptée à vos besoins.