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Depuis plusieurs mois, les tentatives d’arnaques bancaires se multiplient. Et malheureusement, elles sont de plus en plus sophistiquées. Chez Detrembleur & Partners, nous avons été témoins de plusieurs cas de clients qui ont vu leur compte vidé en quelques minutes, simplement parce qu’ils ont répondu à un appel ou cliqué sur un lien qui semblait provenir de leur banque.

Voici les erreurs à éviter absolument, et les bons réflexes à adopter pour ne pas tomber dans le piège.

1. ❌ Ne jamais communiquer vos données bancaires par téléphone

De nombreux clients nous racontent avoir reçu un appel, souvent très convaincant, d’une personne se présentant comme étant de leur banque ou de Card Stop. Le ton est alarmiste : votre carte aurait été piratée, une transaction suspecte serait en cours, et il faut agir vite.

Pour “confirmer votre identité” ou “empêcher le piratage”, on vous demande alors le numéro de votre carte bancaire, sa date d’expiration, voire votre code PIN ou vos données d’accès à la banque en ligne.

⛔ C’est une arnaque. Ni votre banque, ni Card Stop ne vous demanderont jamais ces informations par téléphone. Jamais.

2. 🔐 Méfiez-vous des connexions via Itsme ou des accès à distance

Une méthode récente consiste à envoyer un lien vers le véritable site Itsme. Le lien est authentique, mais l’escroc vous guide en direct par téléphone pour que vous vous connectiez et validiez l’accès à votre banque. Il obtient ainsi, en temps réel, toutes les informations nécessaires pour se connecter à votre place et vider votre compte.

⚠️ Ne vous connectez jamais sous la pression d’un appel. Si vous ne vous y attendiez pas, ou si quelqu’un vous guide étape par étape au téléphone, raccrochez immédiatement.

3. ☑️ Soyez attentifs à l’origine de l’appel

• Un appel reçu depuis un numéro masqué ou inconnu ? • Une personne qui se dit de votre banque, mais dont vous ne reconnaissez ni la voix, ni le nom ?

🔹 Dites calmement : « Je préfère rappeler moi-même mon agence. Pouvez-vous me donner un numéro direct ? »

Dans 90 % des cas, l’arnaqueur raccrochera.

👉 Chez Detrembleur & Partners, nous contactons nos clients uniquement en cas de besoin réel, jamais en numéro masqué, toujours en nous présentant clairement, et en aucun cas pour demander des données confidentielles liées à vos comptes. Si ce n’est pas le cas, soyez sur vos gardes.

4. 🌡️ Le maître-mot : ne jamais agir dans la précipitation

Les brouteurs jouent sur l’urgence et la panique :

  • « Il faut agir tout de suite sinon votre compte sera bloqué ! »
  • « Une transaction est en cours, vous devez la stopper maintenant ! »

🔴 STOP. Prenez le temps de respirer, vérifier, réfléchir. Rien ne presse jamais au point de devoir réagir sans recul.

5. 🔎 Ce qu’il faut faire en cas de doute

✔ Appelez nous, votre agence bancaire directement, ou passez nous voir
✔ Contactez Card Stop au +32 78 170 170 en cas de carte perdue, volée ou de doute sur une transaction.
✔ Ne partagez jamais votre mot de passe, code PIN, code sms ou carte de lecteur bancaire.

Il vaut toujours mieux poser une « question bête » que de devoir gérer une fraude.

6. 🏛️ Quelques bons réflexes simples à adopter au quotidien :

  • Activez la double authentification pour vos applications bancaires.
  • Vérifiez toujours les expéditeurs des mails et SMS.
  • Ne répondez jamais aux appels suspects même s’ils utilisent le nom de votre banque.
  • Ne laissez aucun appareil sans surveillance avec des sessions bancaires ouvertes.

💪 La prudence reste votre meilleure protection

En matière de cyberfraude, mieux vaut se méfier deux fois que pas du tout. Et surtout : vous n’êtes jamais seuls.

Chez Detrembleur & Partners, notre équipe est à votre disposition. Si vous avez le moindre doute, un appel suspect, un message étrange… appelez-nous ou venez nous voir.

Nous préférons mille fois vérifier pour rien que devoir intervenir une fois que le mal est fait.

Il y a quelques années, une avancée importante voyait le jour dans le paysage de l’assurance belge : la mise en place d’un avantage fiscal pour les contrats de protection juridique, initiative saluée pour son ambition sociale.
Dans un pays où l’accès à la justice reste coûteux, l’État avait décidé d’encourager la population à s’assurer contre les frais juridiques, en rendant une partie de la prime fiscalement déductible. Cette mesure, entrée en vigueur le 1er septembre 2019, faisait suite à une volonté du législateur d’élargir l’accès à la justice en offrant un incitant fiscal (code 1344/2344 de la déclaration).

Cette réduction était toutefois réservée à certains contrats très encadrés, dits “fiscaux”, qui devaient répondre à une série de critères stricts : couverture large, délais d’attente clairs, plafonds d’intervention minimaux, etc. L’un des contrats les plus connus sur le marché dans cette catégorie est le BeneFisc de DAS, leader belge de la protection juridique.

Mais aujourd’hui, revirement brutal : le nouveau gouvernement fédéral belge (coalition “Arizona”) a décidé de supprimer purement et simplement cet avantage fiscal, et ce avec effet rétroactif au 1er janvier 2025.

Autrement dit, les primes versées en 2025 ne donneront plus droit à une réduction l’année suivante, alors même que de nombreux assurés ont souscrit ou renouvelé leur contrat en pensant bénéficier de l’avantage… Cette rétroactivité est d’autant plus regrettable qu’elle remet en cause la sécurité juridique que l’on est en droit d’attendre de telles mesures fiscales.

En tant que courtiers, nous ne pouvons que déplorer cette suppression précipitée.
Elle intervient à un moment où le coût de la justice, comme celui des soins de santé et d’autres frais indispensables, ne cessent d’augmenter, rendant l’accès à une défense de qualité de plus en plus difficile pour les citoyens moins aisés. Ce changement risque de renforcer une tendance dangereuse : réserver la possibilité de se défendre correctement à ceux qui en ont les moyens.

Il y a quelques semaines, nous évoquions déjà un précédent article l’augmentation des primes de la protection juridique chez DAS, liée à une explosion des coûts de gestion des dossiers, notamment en raison de la hausse constante des honoraires d’avocats (entre 150 et 500 € de l’heure).
Nous expliquions alors pourquoi cette revalorisation tarifaire, bien que sensible, était justifiée et surtout, nécessaire pour garantir un service de qualité.

Cette réforme gouvernementale ne change rien à notre conviction : une bonne protection juridique reste une assurance indispensable.
Un litige avec un voisin, un conflit avec un employeur, un problème après un accident de voiture, un litige durant une rénovation, … Ce sont des réalités fréquentes, où le soutien d’un avocat ou d’un expert peut faire toute la différence. Être mal ou pas assuré peut alors coûter plusieurs milliers d’euros, là où une prime annuelle reste généralement bien en dessous du prix d’une seule heure de consultation juridique.

En supprimant l’avantage fiscal, le gouvernement a peut-être rendu le produit protection juridique un peu moins attrayant sur le plan financier, mais il n’a en rien diminué son utilité. Il est d’ailleurs important de souligner que le montant de la prime reste inchangé pour les contrats de type BeneFisc (en tout cas pour l’instant): seule la possibilité de récupérer une partie via votre déclaration d’impôt disparaît.
Autrement dit, vous ne paierez pas plus, vous récupérerez juste un peu moins. Le verre à moitié plein, en somme.

Nous, courtiers, avons un rôle central à jouer dans ce contexte. Plus que jamais, nous devons conseiller, expliquer et anticiper, pour permettre à chacun de s’assurer intelligemment, même dans un environnement fiscal et économique mouvant.
Nous restons à vos côtés pour vous aider à choisir la solution de protection juridique la mieux adaptée à votre profil, à vos risques… et à votre budget.

Depuis plusieurs semaines, notre région fait face à une vague inquiétante de cambriolages. Les faits sont nombreux, et les objets visés sont quasi systématiquement les bijoux et l’argent liquide.

Ces vols, souvent commis en pleine journée, touchent tous types d’habitations et nous rappellent à quel point il est essentiel d’anticiper.

Être bien couvert, ça commence par bien évaluer ce qu’on possède

Trop souvent, les clients sous-estiment la valeur réelle du contenu de leur habitation. Pourtant, entre les meubles, les appareils électroniques, les vêtements, les objets personnels ou décoratifs… les montants grimpent vite.

Mais ce qui est encore plus souvent oublié, c’est la valeur des objets sensibles, comme les bijoux. Et c’est là que les problèmes commencent au moment d’un sinistre : pas de preuve, pas de liste, pas de photos… donc une indemnisation compliquée, voire incomplète.

LE conseil à retenir : constituez des preuves de vos biens de valeur

Chez Detrembleur & Partners, nous assistons toujours nos clients lors des expertises vol. Et malheureusement, nous avons trop souvent vu des expertises se dérouler dans de mauvaises conditions :

  • Pas de liste précise des bijoux volés ;
  • Pas de photos pour les identifier ;
  • Pas de preuve d’achat, ni même d’estimation.

Résultat : l’expert doit estimer à l’aveugle. Et cela aboutit souvent à une indemnisation partielle, décevante, frustrante.

C’est pourquoi nous insistons :

  • Prenez le temps de photographier vos bijoux et objets de valeur.
  • Faites une liste précise avec une estimation approximative.
  • Stockez ces éléments dans un endroit sécurisé.
  • Et surtout, transmettez-les nous pour que nous puissions adapter votre couverture en conséquence.

Le capital contenu : fondement de toute indemnisation

La base de votre contrat habitation, c’est le capital contenu. C’est sur ce montant que reposera l’indemnisation en cas de vol, d’incendie, de dégât des eaux… Si ce montant est trop bas, vous serez en partie lésé. Et comme les garanties spécifiques (bijoux, objets de valeur, multimédia…) sont dans certaines compagnies d’assurance plafonnées en pourcentage du contenu assuré, une erreur ici peut avoir des conséquences à tous les niveaux.

Notre métier : vous conseiller pour éviter ces mauvaises surprises

C’est notre rôle, en tant que courtiers professionnels, de veiller à ce que votre contrat soit adapté à la réalité. Mais pour cela, nous avons besoin de votre collaboration! Plus vous nous fournissez de détails sur vos biens, plus notre conseil sera pertinent.

En d’autres termes : on ne peut bien protéger que ce que l’on connaît bien. La couverture vol n’est pas automatique ni magique. Elle doit être pensée, chiffrée, construite sur base d’informations précises.

La sécurité, un tout : prévention, couverture et conseil

Équiper son habitation d’une alarme visible est un excellent réflexe, car c’est un outil de dissuasion très efficace. Fermer convenablement volets, portes et fenêtres aussi.
Mais cela ne suffit pas pour une bonne prévention. La valorisation correcte de vos biens et la constitution de preuves tangibles restent les deux piliers d’une bonne indemnisation.

Et dans tous les cas, vous pouvez compter sur nous pour :

  • vous accompagner dans vos réflexions,
  • vous conseiller au mieux,
  • vous épauler en cas de sinistre.

En conclusion

La recrudescence des cambriolages n’est pas un détail. Elle doit vous inciter à vous poser la question : suis-je correctement couvert ?

Et surtout : ai-je pris les bonnes précautions pour que, si le pire arrive, l’indemnisation soit à la hauteur de mes pertes ?

Chez Detrembleur & Partners, nous assurons bien plus que des biens : nous protégeons votre tranquillité.

 

L’assurance hospitalisation est un pilier essentiel pour protéger votre santé et votre portefeuille. Cependant, toutes les solutions ne se valent pas. Les produits proposés par les mutualités, (dans cet article nous allons analyser la formule haut de gamme « Hospi +200″ de la Mutualité Chrétienne) offrent généralement une couverture de base adaptée aux hospitalisations simples. Mais dès que des situations plus complexes ou imprévues surviennent, leurs limites peuvent rapidement poser problème.

À l’inverse, des assurances hospitalisation haut de gamme, comme AG Care ou DKV Hospi Premium +, se distinguent par leur flexibilité et leur capacité à couvrir un éventail beaucoup plus large de besoins médicaux. Voyons cela en détails.

 

 

Des limites bien réelles pour les contrats de mutualité

Les assurances hospitalisation des mutualités sont conçues pour compléter l’assurance légale. Elles prennent en charge les frais hospitaliers standards, mais avec des restrictions notables.

Par exemple, Hospi +200 limite les suppléments d’honoraires à 200 % des tarifs INAMI. Cela signifie que si vous optez pour une chambre individuelle ou un médecin non conventionné, une part importante des coûts peut rester à votre charge.

Un autre point critique concerne les prestations non nomenclaturées, c’est-à-dire les traitements ou équipements non reconnus par l’INAMI.

Dans Hospi +200, ces frais ne sont remboursés que de manière marginale, souvent avec des plafonds stricts. Ainsi, si vous avez besoin d’un implant spécifique ou de soins paramédicaux non reconnus, vous risquez de devoir supporter une facture importante.

Enfin, les soins pré- et post-hospitalisation, tels que les consultations ou traitements nécessaires avant et après une hospitalisation, ne sont très souvent pas inclus dans ces contrats. Cette absence de couverture peut entraîner des coûts significatifs pour les assurés nécessitant un suivi médical prolongé.

Une couverture étendue avec AG Care ou DKV

En comparaison, des solutions haut de gamme comme AG Care et DKV Hospi Premium + offrent une prise en charge bien plus complète. Elles couvrent au minimum jusqu’à 300 % des tarifs INAMI pour les suppléments d’honoraires, garantissant ainsi une liberté totale dans le choix de votre médecin ou de votre chambre d’hôpital.

Ces assurances prennent également en charge les soins pré- et post-hospitalisation, souvent jusqu’à plusieurs mois avant et après une intervention. De plus, elles incluent des garanties spécifiques pour les maladies graves, permettant de couvrir les traitements ambulatoires sans nécessiter d’hospitalisation préalable.

Pour les prestations non nomenclaturées, comme les implants ou certains traitements alternatifs, AG Care et DKV proposent une couverture plus souple et des plafonds généreux, offrant ainsi une sécurité financière supplémentaire dans des situations médicales complexes.

Deux exemples pour illustrer les différences

Prenons deux situations concrètes pour mieux comprendre l’impact de ces différences de couverture.

Traitement ambulatoire pour un cancer

Après un diagnostic de cancer, vous devez suivre une chimiothérapie ambulatoire pendant plusieurs mois. Le coût total des traitements ambulatoires et des consultations s’élève à 8.000 €.

  • Avec Hospi +200 : Les traitements ambulatoires ne sont pas couverts, sauf pour un remboursement forfaitaire annuel de 150 €. Résultat : 2.500 € pourraient rester à votre charge après l’intervention de base de la mutuelle.
  • Avec AG Care ou DKV Hospi Premium + : Ces contrats couvrent intégralement les traitements ambulatoires pour les maladies graves, jusqu’à des plafonds élevés voire illimités. Résultat : 0 € restant à votre charge.
Pose d’un implant non nomenclaturé

Suite à un accident, vous avez besoin d’un implant spécifique non reconnu par l’INAMI. Le coût total de l’implant et de l’intervention est de 7 000 €.

  • Avec Hospi +200 : Le remboursement des implants non nomenclaturés est plafonné à 5 000 €. Résultat : 2 000 € resteraient à votre charge.
  • Avec AG Care ou DKV Hospi Premium + : Ces contrats couvrent ces implants sans limite spécifique ou avec des plafonds bien plus généreux. Résultat : 0 € à charge.

Assurance hospitalisation : un investissement essentiel

Ces exemples montrent clairement les limites des produits de mutualité et les avantages des solutions d’assurance « privées ». En matière de santé, les imprévus sont malheureusement inévitables. Une hospitalisation coûteuse, une maladie grave ou un traitement spécifique peuvent rapidement entraîner des frais importants. Dans ce contexte, opter pour une assurance hospitalisation de mutualité revient à faire un pari risqué, où les économies réalisées sur les primes pourraient vite être dépassées par les frais non couverts.

A l’opposé, une assurance hospitalisation « haut de gamme », comme AG Care ou DKV Hospi Premium +, représente un véritable investissement. Ces produits garantissent une couverture complète, une liberté dans vos choix médicaux et une protection financière face aux imprévus.

Notre rôle en tant que courtier

En tant que courtier, nous sommes là pour vous aider à faire le meilleur choix. Nous analysons vos besoins, comparons les offres du marché et vous conseillons de manière indépendante pour trouver une solution adaptée à vos attentes. Que vous souhaitiez une couverture complète ou un compromis entre coût et garanties, nous vous accompagnons à chaque étape.

Personne ne peut prédire son avenir en matière de santé. C’est pourquoi il est essentiel de faire un choix réfléchi et de s’appuyer sur des conseils professionnels. Une bonne assurance hospitalisation ne se limite pas à une dépense, c’est une véritable sérénité pour vous et votre famille. Si vous souhaitez discuter de vos besoins ou obtenir un conseil personnalisé, n’hésitez pas à nous contacter. Parce qu’en matière de santé, il vaut mieux prévenir que guérir.

Avec l’essor inévitable de l’électrification des transports, les entreprises et particuliers se tournent vers les bornes de recharge pour répondre à cette transition. Toutefois, la question de leur assurance, surtout dans les parkings, soulève de nombreux enjeux.

Ce guide présente les points essentiels liés à l’installation et à l’assurance des bornes de recharge pour véhicules électriques (VE).

L’importance de déclarer une borne de recharge à son assureur

L’installation d’une borne de recharge, qu’elle soit à domicile ou dans un parking souterrain, doit être signalée à l’assureur incendie.

Cette déclaration permet d’évaluer les risques et d’ajuster la couverture en conséquence. Dans certains cas, surtout si la borne est située à l’intérieur, une analyse de risque préalable est nécessaire pour valider la conformité des installations.

Les différents modes de recharge et leurs exigences

L’assurance et la sécurité des parkings accueillant des VE dépendent aussi du mode de recharge utilisé. Actuellement, quatre principaux modes sont identifiés, chacun avec des exigences spécifiques :

  1. Mode 1 : Utilisation d’une prise domestique sans module de protection. Ce mode, limité aux vélos et trottinettes électriques, est interdit pour les voitures électriques.
  2. Mode 2 : Recharge via une prise standard équipée d’un dispositif de contrôle intégré (IC-CPD). Bien que ce mode soit adapté pour un usage domestique ou en cas d’urgence, il reste limité en termes de sécurité et de rapidité.
  3. Mode 3 : Utilisation de bornes spéciales communicantes, installées sur des murs en béton ou ignifugés. C’est la méthode standard pour les bornes publiques et privées, offrant une meilleure sécurité et des vitesses de recharge élevées.
  4. Mode 4 : Recharge rapide via courant continu (CC), typique des bornes installées sur autoroutes. Ces installations sont strictement extérieures et nécessitent un contrôle annuel, incluant une thermographie.

La spécificité des immeubles à appartements

Pour les copropriétés, la gestion des bornes de recharge dépend de leur propriétaire :

  • Si la borne est collective, elle fait partie intégrante du bâtiment et est incluse dans la police globale d’assurance.
  • Si elle appartient à un copropriétaire ou un locataire, elle est couverte par la police d’assurance relative au mobilier, comme un travail d’embellissement.

Les cinq conditions de sécurité pour les parkings VE

Bien qu’il n’existe pas encore de législation spécifique pour les parkings accueillant des VE, les normes actuelles s’appuient sur l’arrêté royal belge de prévention contre l’incendie. Cinq critères sont essentiels pour qu’un parking soit considéré comme sûr et assurable :

  1. Compartimentage : Les murs et portails doivent résister au feu pendant 1 à 2 heures selon le type de bâtiment, formant un compartiment séparé.
  2. Détection d’incendie : Les installations doivent permettre une détection rapide et conforme aux normes en vigueur.
  3. Alerte et évacuation : Les personnes présentes doivent pouvoir quitter le lieu rapidement et en toute sécurité.
  4. Facilité d’intervention : Les services d’urgence doivent pouvoir localiser rapidement la zone de danger.
  5. Extraction des fumées : Les gaz et fumées doivent être évacués efficacement, notamment pour éviter les risques d’explosion liés aux batteries des VE.

Vers une législation adaptée en 2026

Un nouvel arrêté royal, prévu pour début 2026, ajoutera des exigences spécifiques pour la gestion des véhicules électriques en cas d’incendie. Parmi les recommandations figurent :

  • La possibilité de sortir le véhicule du parking en toute sécurité.
  • L’entreposage sécurisé du véhicule à l’extérieur après un incident.

Ces évolutions viseront à améliorer la sécurité globale des parkings tout en intégrant les spécificités des batteries des VE.

Perspectives pour les exploitants de parkings

Pour les propriétaires ou gestionnaires de parkings, ces nouvelles réalités imposent une réflexion sur :

  • Les investissements nécessaires pour adapter les infrastructures existantes.
  • La mise en place de solutions d’extraction de fumées et de compartimentage adaptées.
  • Une communication claire avec les utilisateurs pour garantir le respect des normes de sécurité.

Alors que l’électrification s’intensifie, l’assurance et la sécurité des parkings deviennent des enjeux incontournables.

En anticipant les évolutions réglementaires et en collaborant avec leurs assureurs, les entreprises et particuliers peuvent transformer cette transition en opportunité tout en protégeant leurs biens et leurs utilisateurs.

La donation est un moyen efficace d’organiser la transmission de son patrimoine. Que ce soit pour réduire les droits de succession ou soutenir vos proches de votre vivant, elle permet de planifier votre héritage de manière personnalisée.

Qu’est-ce qu’une donation et dans quelles conditions peut-elle être réalisée ?

La donation consiste à transférer un bien (mobilier ou immobilier) de votre vivant, sans contrepartie financière. Elle est en principe irrévocable, sauf exceptions prévues par la loi (ingratitude, non-respect des conditions).

Quand peut-on donner ?

Vous pouvez effectuer une donation à tout moment, mais il est essentiel de respecter les conditions légales suivantes :

  • Capacité juridique : Vous devez être majeur et pleinement capable juridiquement.
  • Respect des droits des héritiers réservataires : En Belgique, certains héritiers (enfants et conjoint survivant) disposent d’une part du patrimoine, appelée « réserve ». Une donation ne doit pas empiéter sur cette part protégée.
  • Clause de survie : Si le donateur décède dans les 3 ans (ou 5 ans en Wallonie) suivant une donation mobilière non enregistrée, les biens donnés seront réintégrés dans l’assiette des droits de succession.

Enregistrer ou non une donation : un choix stratégique

En Belgique, il est possible de procéder à une donation sans enregistrement, en particulier pour les biens mobiliers (argent, bijoux, actions). Voici les implications principales :

  • Donation enregistrée : Le paiement immédiat des droits de donation, généralement moins élevés que les droits de succession. Si le donateur décède dans les 5 ans, les biens donnés ne seront pas réintégrés dans la succession, ce qui sécurise les héritiers fiscalement.
  • Donation non enregistrée : Aucun droit de donation n’est payé initialement. Cependant, si le donateur décède dans les 5 ans en Wallonie, les biens donnés sont soumis aux droits de succession (souvent plus élevés). En revanche, si le donateur survit plus de 5 ans, aucun droit de donation ni de succession n’est dû, ce qui peut représenter une économie substantielle.

Assurance donation : protéger le bénéficiaire d’une donation non enregistrée

Pour atténuer le risque fiscal lié à une donation non enregistrée, le bénéficiaire peut souscrire une assurance donation. Ce contrat garantit le versement d’un capital suffisant pour couvrir les droits de succession en cas de décès du donateur dans les 3 ou 5 ans suivant la donation.

Exemple :
Marie souhaite donner 50 000 € à son fils Lucas par un don manuel non enregistré. Pour se prémunir contre les droits de succession en cas de décès prématuré, Lucas souscrit une assurance donation couvrant le montant des droits potentiels. Si Marie décède dans ce délai, l’assurance versera le capital nécessaire pour payer les droits sans que Lucas doive puiser dans la donation.

Cette option est particulièrement utile pour les donations mobilières ou les versements importants, permettant une transmission optimale du patrimoine avec un coût limité.

Quels biens peut-on donner ?

  1. Biens mobiliers : Argent, bijoux, œuvres d’art, actions, etc. Ils peuvent être donnés de manière :
    • Manuelle : Transfert direct du bien (par exemple, un virement bancaire pour une somme d’argent).
    • Notariée : Acte officiel pour sécuriser la donation.
  2. Biens immobiliers : Maison, appartement, terrain. Toute donation immobilière nécessite un acte notarié.

Exemples pratiques : Quand envisager une donation ?

Exemple 1 : Aider ses enfants à s’installer
Paul, 60 ans, souhaite soutenir sa fille Élodie, qui achète sa première maison. Il décide de lui faire une donation de 50 000 € pour constituer son apport personnel. Il opte pour une donation enregistrée (taxes payées immédiatement). Cela évite qu’Élodie ait à payer des droits de succession si Paul décède dans les trois ans.

Exemple 2 : Réduire les droits de succession sur une maison
Claire, propriétaire d’une maison d’une valeur de 350 000 €, souhaite anticiper la transmission de ce bien à ses enfants pour limiter les droits de succession. En Région wallonne, si elle transmet cette maison par donation 10 ans avant son décès, les droits à payer s’élèveront à 31 500 €. En revanche, si la maison est transmise par succession, les droits atteindraient 42 625 €. Grâce à la donation anticipée, ses enfants économisent 11 125 €, tout en bénéficiant d’une meilleure visibilité sur leur patrimoine.

Pourquoi envisager une donation ?

  • Anticiper la transmission : Organiser de son vivant une répartition équitable du patrimoine évite les disputes familiales.
  • Réduire les droits de succession : Une donation enregistrée diminue la base taxable de l’héritage.
  • Soutenir ses proches : Aider à financer des projets importants (achat immobilier, études, création d’entreprise).

Les droits de donation et succession : quelles implications fiscales ?

Droits de donation
Les taux varient selon :

  • La région (Wallonie, Bruxelles, Flandre).
  • Le lien de parenté entre le donateur et le donataire.
  • La nature du bien donné (mobilier ou immobilier).

En ligne directe (parent-enfant), les taux sur les biens mobiliers sont généralement fixes (3-7 %).

Conclusion

La donation est un outil de planification patrimoniale puissant. En anticipant, vous pouvez transmettre une partie de votre patrimoine de manière efficace, réduire les droits de succession pour vos héritiers et soutenir vos proches au bon moment. L’assurance donation constitue un moyen stratégique pour minimiser les risques liés aux donations non enregistrées, tout en préservant les avantages fiscaux potentiels. Cependant, chaque situation est unique. Avant d’agir, il est recommandé de consulter un notaire pour bénéficier d’un conseil adapté à votre situation personnelle et familiale.

Rédiger un testament est une étape importante pour organiser la répartition de votre patrimoine après votre décès. C’est une façon de vous assurer que vos volontés seront respectées et que vos biens seront transmis selon vos souhaits.

Dans cet article, nous allons passer en revue les étapes clés pour rédiger un testament valide, les erreurs à éviter, et les bonnes pratiques à adopter pour optimiser la succession.

 

 1. Pourquoi rédiger un testament ?

Le droit successoral belge détermine par défaut la répartition de vos biens, souvent en faveur des membres de votre famille.

Cependant, il est possible que vous souhaitiez léguer une partie de vos biens à des amis proches, des partenaires de vie non mariés, ou des associations caritatives. Sans testament, ces personnes pourraient ne recevoir aucune part de votre héritage.

Exemple concret : Si vous souhaitez léguer une somme d’argent à votre partenaire de cohabitation légale, celui-ci n’a pas droit à une réserve légale. Un testament vous permet de garantir cette transmission et d’éviter des litiges familiaux.

 2. Les étapes pour un testament valide

Un testament doit être rédigé avec soin pour être juridiquement valable. Voici les étapes à suivre :

–  Ne tardez pas à rédiger votre testament:

Vous pouvez commencer dès que vous avez accumulé un certain patrimoine. Il est important de l’établir lorsque vous êtes en pleine possession de vos capacités mentales. Les changements imprévus dans votre état de santé peuvent entraîner des complications juridiques.

– Respectez la réserve héréditaire.

En Belgique, une part de votre patrimoine est réservée à vos héritiers directs (conjoint et enfants).
Par exemple, si vous avez des enfants, la moitié de votre patrimoine leur revient automatiquement. Vous pouvez disposer librement de l’autre moitié.

Exemple : Si vous souhaitez léguer une propriété à un ami, vous ne pourrez le faire que sur la partie de votre patrimoine non réservée à vos enfants. Sinon, ces derniers pourraient contester le testament.

3. Rédiger soi-même ou faire appel à un notaire ?

Vous avez le choix entre rédiger votre testament vous-même (testament olographe) ou le faire établir par un notaire (testament authentique).

– Testament olographe : Il est écrit à la main, daté et signé par le testateur. Bien que gratuit, il comporte des risques de nullité si les formulations ne respectent pas les exigences légales.

– Testament authentique : Rédigé par un notaire, il offre une garantie de validité. Le notaire vérifie que vous êtes sain d’esprit et vous protège contre toute pression extérieure. Les coûts varient selon la complexité du testament, mais l’assurance de sa conformité en fait une option recommandée.

Exemple concret : Un testateur rédige son testament à la main et lègue « le tableau du salon à mon neveu ». Ce manque de précision pourrait entraîner des disputes, car plusieurs tableaux peuvent être considérés comme étant « dans le salon ». Avec un testament notarié, ces ambiguïtés sont évitées.

4. Attention aux pièges courants

Les erreurs dans la rédaction d’un testament sont fréquentes et peuvent entraîner son annulation :

– Manque de clarté :

Soyez précis dans vos formulations. Par exemple, au lieu de « je lègue ma voiture à mon fils », préférez « je lègue ma voiture de marque Renault Clio immatriculée ABC-123 à mon fils Jean Dupont ».

– Risques de perte :

Les testaments olographes sont souvent mal conservés. Ils peuvent être perdus ou ne jamais être retrouvés après votre décès. Il est recommandé de déposer le document chez un notaire, qui l’inscrira au Registre central des testaments.

5. Donations : une alternative intéressante

Les héritiers doivent payer des droits de succession, souvent élevés. Une donation de votre vivant peut être une stratégie efficace pour réduire ces coûts.

– Donation simple : Vous pouvez donner une somme d’argent ou un bien à un bénéficiaire. Les taux d’imposition des donations sont inférieurs à ceux des droits de succession, ce qui permet de diminuer les charges fiscales.

Exemple : Vous faites don de 50 000 € à votre fille avant votre décès. Cette donation sera taxée à un taux réduit par rapport à un héritage équivalent, réduisant ainsi la facture fiscale.

– Donation avec réserve d’usufruit : Vous pouvez donner un bien immobilier tout en conservant le droit de l’utiliser ou de percevoir les revenus locatifs. Cette solution permet de transférer la propriété tout en assurant votre confort.

6. Inclure des charges et conditions dans le testament

Il est possible d’ajouter des conditions ou des charges à vos legs pour que l’héritage soit géré selon vos souhaits.

Exemple : Vous léguez une somme d’argent à votre fils avec la condition qu’il finance les études de ses propres enfants. Cela permet de s’assurer que vos petits-enfants bénéficieront directement de l’héritage.

Attention, certaines conditions peuvent être contestées par les bénéficiaires si elles sont jugées excessives ou contraignantes.

7. Tenir votre testament à jour

Les situations familiales évoluent, tout comme la législation. Il est donc conseillé de revoir le contenu de votre testament chaque année et de l’adapter si nécessaire.

Exemple : Vous aviez initialement prévu de léguer une partie de votre patrimoine à votre beau-fils, mais après un divorce, vous décidez de modifier le testament. Un simple oubli de mise à jour pourrait entraîner des conséquences imprévues pour vos héritiers.

8. Les implications fiscales du testament

Les droits de succession varient en fonction de la région, du lien de parenté et de la valeur de l’héritage. Il est important de comprendre ces implications pour optimiser la transmission de votre patrimoine.

Exemple : Un héritage en Wallonie est soumis à des taux différents de ceux appliqués à Bruxelles. Planifier en fonction de ces différences peut permettre d’économiser des sommes importantes.

Conclusion

Rédiger un testament est une étape cruciale pour planifier votre succession et protéger vos proches. En suivant ces étapes et en prenant des décisions éclairées, vous pouvez vous assurer que vos volontés seront respectées et que votre patrimoine sera transmis selon vos souhaits. N’hésitez pas à consulter un notaire pour vous accompagner dans cette démarche et éviter les écueils courants.

Rappelez-vous : un testament bien rédigé est la meilleure garantie pour prévenir les litiges et optimiser les avantages fiscaux pour vos héritiers.

En 2025, les entreprises et les particuliers en Belgique devront composer avec de nouvelles obligations fiscales et législatives qui impacteront surtout les véhicules thermiques et hybrides. Voici les principaux changements à prévoir :

⛔ 𝐅𝐢𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐜𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐟𝐢𝐬𝐜𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐛𝐨𝐫𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞: Les primes pour installer des bornes de recharge à domicile ont pris fin, et les entreprises qui n’ont pas finalisé leurs installations semi-publiques avant août 2024 ne bénéficieront plus de déductions fiscales avantageuses.

🅿 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐨𝐛𝐥𝐢𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬: Dès 2025, les bâtiments avec plus de 20 places de parking devront intégrer au moins deux bornes de recharge, selon la directive EPBD. Les nouvelles constructions sont également concernées.

⛽ 𝐂𝐨𝐮̂𝐭 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐞́𝐡𝐢𝐜𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐡𝐞𝐫𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 : L’augmentation de l’avantage en nature (ATN) pour les véhicules à essence et diesel sera inévitable. Chaque année, les conducteurs de ces véhicules paieront davantage, en raison de la baisse des émissions moyennes de CO₂ induite par l’essor des véhicules électriques. Ce surcoût risque de rendre ces modèles bien plus coûteux pour les entreprises et leurs collaborateurs.

💰 𝐁𝐮𝐝𝐠𝐞𝐭 𝐦𝐨𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐫𝐞́𝐯𝐢𝐬𝐞́ : Les employeurs pourront proposer un budget mobilité plus flexible, avec des montants plafonnés et des méthodes de calcul précises, permettant des solutions de transport durable.

⚡ 𝐓𝐚𝐫𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐛𝐨𝐫𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 : Dès 2025, toutes les bornes rapides devront afficher les prix en temps réel, et les bornes standards seront tenues d’afficher un QR code pour consulter les tarifs.

🚚 𝐒𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐚𝐮𝐱 𝐯𝐞́𝐡𝐢𝐜𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐞́𝐥𝐞𝐜𝐭𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐁𝐫𝐮𝐱𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 : Les entreprises basées dans la région bruxelloise auront la possibilité d’obtenir jusqu’à 16.000 € de subventions pour remplacer leurs camionnettes polluantes par des modèles électriques.

🧮 𝐑𝐞́𝐯𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞̀𝐠𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐟𝐢𝐬𝐜𝐚𝐥𝐞 : Le système de déductibilité sera durci, avec la suppression des minimums garantis. À partir de janvier 2025, les véhicules thermiques les plus polluants verront leur déductibilité fortement réduite, voire supprimée pour les modèles aux émissions les plus élevées. Une évolution qui renchérira notablement l’usage de ces véhicules pour les entreprises.

Vous l’aurez compris, ces changements confirment la volonté du gouvernement de rendre les véhicules thermiques de moins en moins attractifs, en encourageant la transition vers des alternatives durables.

En matière de santé, un dicton bien connu affirme que celle-ci n’a pas de prix. Pourtant, la réalité est toute autre, en particulier en Belgique, où les frais d’hospitalisation peuvent rapidement devenir un fardeau financier.

Selon une étude récente de HelloSafe, la Belgique figure parmi les 20 pays les plus chers au monde en termes de coût d’une journée d’hospitalisation, se classant au 18e rang avec un tarif moyen de 556 € par jour.

Cette situation s’explique par le coût élevé des services hospitaliers dans notre pays. En effet, les frais pris en compte dans cette étude incluent les éléments standards comme la chambre, les soins infirmiers de base, l’alimentation et les médicaments.

Cependant, il est important de noter que les coûts liés à des traitements spécialisés ou à des interventions chirurgicales ne sont pas inclus dans ces estimations. Ainsi, en cas de complications médicales, la facture peut rapidement s’alourdir.

Face à ces chiffres alarmants, il devient essentiel de se prémunir contre les frais imprévus en souscrivant à une assurance hospitalisation de qualité. Une telle assurance permet non seulement de réduire le coût direct d’une hospitalisation, mais aussi d’offrir une tranquillité d’esprit en sachant que l’on est couvert en cas de problème de santé.

En Belgique, une enquête menée en 2018 par l’Institut Solidaris révélait que 4 personnes sur 10 avaient déjà renoncé à des soins pour des raisons financières. Cette statistique montre l’importance cruciale de disposer d’une bonne couverture santé pour éviter de se retrouver dans une situation difficile, notamment lors d’une hospitalisation imprévue.

Souscrire à une assurance hospitalisation, c’est s’assurer de ne pas être pris au dépourvu face à des frais de santé élevés. Que vous soyez un particulier ou une famille, une couverture adéquate vous garantit d’aborder plus sereinement les imprévus de la vie, tout en bénéficiant des meilleurs soins disponibles.

Ces derniers temps, plusieurs de nos clients de la région de Waimes et Malmedy ont été victimes de cambriolages alors qu’ils étaient en vacances. Les bijoux, cible quasi exclusive de ces voleurs, ont représenté des pertes à la fois financières mais surtout émotionnelles importantes.

Chez Detrembleur & Partners, nous vous conseillons sur les meilleures pratiques pour préserver vos objets de valeur et minimiser les risques. Voici quelques recommandations essentielles :

💎 𝐀𝐬𝐭𝐮𝐜𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐞𝐫𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐥’𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐬 𝐛𝐢𝐣𝐨𝐮𝐱 :

𝐀𝐬𝐬𝐮𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐯𝐨𝐥 𝐝𝐞́𝐝𝐢𝐞́𝐞 : c’est évidemment la base, assurez vos objets de valeur avec une police adaptée. Chez Detrembleur & Partners, nous proposons des couvertures spécifiques pour protéger au mieux vos biens précieux.
𝐈𝐧𝐯𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞́ : créez un inventaire complet de vos bijoux avec des photos de bonne qualité et conservez les factures ou preuves d’achat si possible dans un « cloud » ou en tout cas en dehors de votre maison.
𝐄́𝐯𝐚𝐥𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐫𝐞́𝐠𝐮𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 : faites régulièrement l’inventaire de vos bijoux afin de vous assurer qu’ils sont couverts à leur juste valeur, surtout si leur valeur a évolué avec le temps (cours de l’or notamment).

💡 𝐂𝐨𝐧𝐬𝐞𝐢𝐥𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐞́𝐝𝐮𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐥 :

𝐒𝐲𝐬𝐭𝐞̀𝐦𝐞 𝐝’𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞 : Saviez-vous que près de 𝟗𝟎 % 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐦𝐛𝐫𝐢𝐨𝐥𝐚𝐠𝐞𝐬 en Belgique concernent des maisons sans alarme ? Un système d’alarme, idéalement visible de la rue, est un excellent moyen de dissuasion.
𝐂𝐨𝐟𝐟𝐫𝐞-𝐟𝐨𝐫𝐭 : Bien qu’un coffre-fort ne soit pas indispensable, il reste une bonne option pour conserver vos bijoux à l’abri.
𝐂𝐚𝐜𝐡𝐞𝐭𝐭𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐠𝐞́𝐧𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞𝐬 : Si un coffre-fort n’est pas envisageable, pensez à des cachettes discrètes et imprévisibles pour vos bijoux.
𝐍𝐞 𝐥𝐚𝐢𝐬𝐬𝐞𝐳 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐞𝐬 𝐝’𝐚𝐛𝐬𝐞𝐧𝐜𝐞: demandez à un voisin de relever votre courrier et programmez des lumières pour simuler une présence pendant vos absences prolongées.

📋 𝐄𝐧 𝐜𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐥 :

𝐂𝐨𝐧𝐭𝐚𝐜𝐭𝐞𝐳 𝐢𝐦𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐚 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐜𝐞 et transmettez-leur l’inventaire et toutes les informations pertinentes (photos, évaluations).
𝐃𝐞́𝐜𝐥𝐚𝐫𝐞𝐳-𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐬𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐢𝐝𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 afin de démarrer le processus d’indemnisation le plus vite possible.

En résumé, être bien couvert peut vous éviter bien des soucis. Mais une couverture de qualité ne sera valorisée que si vous avez pris des dispositions avant un cambriolage! N’hésitez pas à nous contacter pour obtenir des conseils personnalisés et des solutions d’assurance sur mesure.

👥 Detrembleur & Partners : Protégez ce qui compte pour vous.