Depuis ce 29 septembre, DAS a sorti de nouveaux produits qui remplaceront progressivement les anciennes moutures. Il est également question de nouvelles augmentations tarifaires, principalement sur les produits dits « bénéfisc ». Ceux-ci bénéficiaient jusqu’il y a peu d’avantages fiscaux qui ont depuis disparus.

Faisons le point sur les questions que vous pourriez-vous poser par rapport à tous ces changements:

 

FAQ – Évolution de votre contrat Protection Juridique DAS


1. Pourquoi ma prime augmente-t-elle autant ?

Plusieurs raisons expliquent cette hausse exceptionnelle :

  • Les honoraires d’avocats, frais de justice et expertises augmentent fortement depuis plusieurs années et continuent d’augmenter en 2025.
  • Les litiges sont de plus en plus nombreux : la complexité des situations, la difficulté grandissante de concilier des attentes ,… font que faire appel à un avocat ou à une protection juridique devient courant voire systématique.
  • L’avantage fiscal attaché aux produits BeneFisc a été supprimé par le gouvernement au 01/01/2025.
  • L’inflation renchérit également les coûts fixes de l’assureur.

Résultat :

  • La prime BeneFisc Consommateur passe de 339 € à 672 €/an TTC.
  • La prime BeneFisc Conflit passe de 750 € à 1.375 €/an TTC.

2. Est-ce que mon produit BeneFisc continue d’exister ?

Oui, mais probablement pas indéfiniment.

  • Les contrats BeneFisc restent valables et gardent leur couverture.
  • Cependant, DAS a lancé une nouvelle gamme (Classic, Connect, Comfort) destinée à les remplacer progressivement. (voir point 5.)
  • Il est donc probable que de nouvelles hausses tarifaires soient appliquées dans les mois/années à venir pour inciter les clients à basculer vers les nouvelles formules.

3. Pourquoi DAS applique-t-elle une telle hausse ?

Parce qu’il n’est plus possible de maintenir l’équilibre économique de ces contrats avec les anciennes primes.
Un exemple : une prime de 339 € ne permettait de couvrir qu’un peu plus d’une heure de travail d’avocat (240 € HTVA/h en moyenne).


4. Est-ce que les autres compagnies font mieux ?

Non. Tous les assureurs spécialisés subissent la même pression de coûts.
Euromex, Arag ou Legal Village ont ou vont augmenter leurs primes et imposent désormais des questionnaires de souscription stricts.
Une offre moins chère ailleurs signifie généralement une couverture beaucoup plus limitée.


5. Quelles sont mes options concrètes ? (voir point 6. pour le comparatif anciens/nouveaux produits)

Vous avez plusieurs choix possibles :

  1. Conserver votre contrat BeneFisc actuel
    • Couverture complète et inchangée.
    • Prime adaptée aux nouveaux coûts : 672 € (Consommateur) ou 1.375 € (Conflits).
  2. Redescendre vers un produit Consommateur “simple” (hors BeneFisc)
    • Moins onéreux, mais sans avantage fiscal et avec une couverture plus restreinte.
    • Solution transitoire pour ceux qui veulent réduire leur budget sans perdre toute protection.
  3. Passer à la nouvelle gamme DAS (lancée en octobre 2025)

    Classic : 114 €/an (200 € combiné PJ Auto) – solution essentielle, le socle indispensable pour bénéficier d’une couverture large et inchangée en défense et recours (y compris au tribunal), avec comme nouvel avantage l’aide d’un juriste pour les litiges de la consommation (contractuel).
    Connect : 276 €/an (350 € combiné PJ Auto) – formule intermédiaire, soit la formule Classic avec en supplément l’accompagnement d’un juriste pour les litiges contre l’employeur ou découlant d’une propriété immobilière.
    Comfort : 396 €/an (450 € combiné PJ Auto) – formule la plus complète puisqu’on ajoute aux garanties de la formule Connect une couverture plus étendue (et au Tribunal si besoin) des litiges contre l’employeur ou découlant d’une propriété immobilière.
    Avec également cinq autres matières pour lesquelles vous pouvez faire appel à un juriste en dehors du Tribunal (droit des personnes, droit fiscal, droit administratif, construction et succession).
    Pour le détail des couvertures et des plafonds cliquez sur ce lien.

  4. Résilier
    • Déconseillé : en cas de litige, vous seriez seul face aux frais d’avocats, qui dépassent rapidement plusieurs années de prime.

6. J’envisage de transformer mon contrat actuel « Bénéfisc » dans un des nouveaux produits. Qu’est-ce que je perds? Qu’est-ce que je gagne?

Ca peut être une bonne alternative de modifier votre contrat actuel de manière à conserver une protection juridique de qualité tout en réduisant la prime annuelle.
Encore faut-il connaître les enjeux et quelles sont les différences entre les produits pour choisir en connaissance de cause. Pour ce faire, deux comparatifs détaillés vous permettront de bien visualiser les différences entre anciennes et nouvelles formules:

▶️ Actuellement j’ai un contrat « Consommateur Bénéfisc » et je voudrais comparer aux nouveaux produits DAS: cliquez sur ce lien.

▶️ Actuellement j’ai un contrat « Conflits Bénéfisc » et je voudrais comparer aux nouveaux produits DAS: cliquez sur ce lien.

⚠️ Comme précisé au point 5.1 vous avez (actuellement) la possibilité de conserver votre couverture Bénéfisc. Il n’y a donc pas d’obligation de changer.


7. Puis-je attendre avant de changer ?

Oui. Vous pouvez garder votre police BeneFisc actuelle et migrer plus tard vers la nouvelle gamme DAS.
La compagnie accepte même de rétroagir la date d’effet à la dernière échéance, à condition qu’aucun litige ne soit survenu entre-temps.


8. Quelle formule est la plus adaptée à mon cas ? (voir point 6. pour les détails)

💡Si vous aviez un BeneFisc Consommateur → la formule Connect est la plus proche.

💡Si vous aviez un BeneFisc Conflit → la formule Comfort est l’alternative logique.

⚠️ La formule Classic est une solution économique mais plus limitée . Elle prévoit toutefois la couverture de certaines matières contractuelles (voir précision), ce qui n’était pas le cas de l’ancienne formule « vie privée ».  Attention toutefois au fait qu’il n’y a pas de recours judiciaire pour les matières contractuelles)


9. Que se passe-t-il si je ne réponds pas ?

Sans réponse de votre part, votre contrat BeneFisc sera renouvelé avec la nouvelle prime fortement majorée.
Nous vous encourageons à confirmer votre choix pour opter pour la solution la plus adaptée à vos besoins.


10. Puis-je payer ma prime en mensualités ?

Oui. Il est possible de payer par domiciliation mensuelle, sans frais supplémentaires.


11. Est-ce que je garde la même qualité de service ?

Oui. DAS reste un acteur de référence, avec plus de 320 juristes et collaborateurs spécialisés.
Le suivi et la défense de vos intérêts vont encore se voir améliorés, quelle que soit la formule choisie.


12. Est-ce que certaines garanties disparaissent dans les nouveaux produits ?

Oui. Pour rendre les nouvelles formules plus pérennes, certaines garanties des anciens BeneFisc ne sont plus reprises :

  • Divorce et médiation familiale.
  • Droit de la sécurité sociale : litiges découlant de refus, d’indemnités ou de réduction d’indemnité (maladie, maternité, chômage, pension,…)
  • Plus de formule “tous risques” couvrant absolument tous les domaines.

➡️ Cliquez sur ce lien pour visualiser toutes les différences entre anciens et nouveaux contrats.


13. Que dois-je faire pour changer de formule ?

Il suffit de nous communiquer votre choix (par mail de préférence car nous avons besoin d’un écrit pour acter la modification).
Nous nous occupons du reste : adaptation du contrat, émission des documents et suivi.


14. Pourquoi est-il important de conserver une assurance protection juridique, et pourquoi avec DAS ?

Un litige peut survenir à tout moment : un conflit avec un voisin, un problème après un achat, un accident de la route, un litige immobilier ou encore un désaccord lié au travail. Dans tous ces cas, les frais d’avocats, d’expertise et de justice peuvent vite atteindre plusieurs milliers d’euros.

Avec une assurance Protection Juridique :

  • Vous bénéficiez d’un accompagnement juridique professionnel, de la phase amiable jusqu’à la procédure judiciaire si nécessaire.
  • Vous évitez d’avoir à financer seul des frais d’avocat qui dépassent rapidement plusieurs années de prime.
  • Vous accédez à un réseau d’avocats et de juristes spécialisés capables de défendre efficacement vos intérêts.

Pourquoi DAS ?

  • Parce que DAS est l’assureur spécialiste historique en Protection Juridique en Belgique.
  • Parce que ses 320 juristes et collaborateurs gèrent exclusivement ce type de dossiers, avec une expertise inégalée.
  • Parce que nous avons confiance en ce partenaire qui privilégie la qualité du service et la défense effective de ses assurés.

En résumé : résilier votre protection juridique reviendrait à vous priver d’un bouclier essentiel. DAS reste aujourd’hui l’une des solutions les plus solides et fiables pour vous protéger.

Exemples, détails sur les garanties, explications concrètes, … Cliquez sur ce lien.


15. Puis-je toujours contacter mon courtier pour qu’il m’explique en détails et m’aide à faire un choix ?

Evidemment! C’est notre rôle de vous fournir nos conseils afin de conserver la meilleure couverture protection juridique. Adaptée à vos besoin et au meilleur rapport prix/prestations disponibles.

Le 21 juillet 2025, le gouvernement fédéral « Arizona » a dévoilé son accord d’été. Parmi les mesures les plus structurantes figure une réforme en profondeur du système de pension, avec l’introduction d’un mécanisme de bonus-malus qui visera à inciter les travailleurs à prolonger leur carrière… tout en pénalisant ceux qui partiraient plus tôt à la retraite.
Derrière ce système apparemment simple, les implications concrètes sont nombreuses et parfois difficiles à cerner, notamment pour les professions pénibles ou à carrière fragmentée.

À partir du 1er janvier 2026, chaque année travaillée au-delà de l’âge légal de la pension (actuellement 66 ans, et bientôt 67) donnera droit à un bonus de 2 % sur le montant de la pension.
Ce bonus grimpera à 4 % entre 2030 et 2035, puis à 5 % à partir de 2035. En parallèle, un malus identique (−2 %, −4 % ou −5 %) sera appliqué pour chaque année de pension prise avant l’âge légal, sauf si certaines conditions très précises sont remplies.
Concrètement, pour éviter le malus, il faudra avoir cumulé 42 années de carrière, dont au moins 35 années comprenant chacune 156 jours de travail effectif (l’équivalent d’un mi-temps), soit un total minimum de 7 020 jours de travail.

En théorie, ce système vise à récompenser ceux qui prolongent leur activité professionnelle et à encourager les autres à en faire autant.
En pratique, il risque de pénaliser une grande partie de la population, et tout particulièrement ceux dont la carrière a été marquée par des interruptions : maladie, congé parental, chômage, temps partiel, etc.
C’est notamment le cas des travailleurs des soins de santé, des aides-soignants, du nettoyage ou encore du secteur de la construction. Ces professions dites « pénibles » sont souvent caractérisées par une usure physique importante, une organisation en horaires irréguliers (notamment le travail de nuit) et une probabilité accrue d’arrêts maladie ou de fins de carrière anticipées.

Or, la réforme prévoit également de limiter fortement la prise en compte des périodes dites « assimilées ». Dès 2027, seules les années comprenant 156 jours effectivement prestés seront intégralement comptabilisées. Les périodes d’interruption, même pour cause de maladie ou de soins, ne seront comptées que partiellement, voire pas du tout si elles dépassent un certain seuil.
Les syndicats dénoncent cette évolution comme une forme d’injustice sociale, estimant qu’elle pénalise les plus fragiles et les plus exposés, là où le système précédent reconnaissait justement la difficulté de certaines carrières.

Autre mesure importante : la suppression progressive des régimes spéciaux, comme ceux des cheminots, des militaires ou de certains fonctionnaires.
Ces régimes permettaient à certaines professions de partir plus tôt à la retraite compte tenu de leur pénibilité ou de la spécificité de leurs horaires. L’objectif affiché du gouvernement est de ramener tout le monde vers un système unifié, jugé plus équitable.
Mais cette harmonisation se fait au prix de la disparition de dispositifs qui reconnaissaient les réalités très concrètes de certaines carrières. Pour beaucoup de travailleurs concernés, cela signifie tout simplement devoir travailler plus longtemps pour une pension équivalente, voire réduite.

Les premiers effets concrets de cette réforme se feront sentir dès janvier 2026, avec l’abandon du système de bonus actuel. Le malus, lui, deviendra effectif à partir de la même date, mais ses conséquences réelles dépendront du parcours de chacun.
Dès 2027, les règles de calcul des années admissibles seront durcies, rendant plus difficile encore l’accès à une pension complète avant l’âge légal.

En résumé, le système bonus-malus introduit par le gouvernement Arizona marque un tournant majeur dans la politique belge des pensions.
Derrière une logique budgétaire et incitative, il révèle une approche qui valorise la carrière linéaire, sans interruption, à temps plein, et qui laisse peu de place à la diversité des parcours professionnels. Pour les nombreux Belges aux carrières mixtes, fragmentées ou pénibles, la réforme risque de se traduire par une pension plus tardive, et parfois moins élevée, à moins de répondre à des critères stricts qui excluent, de fait, une partie non négligeable des travailleurs.
Les débats ne font que commencer, et les mobilisations syndicales s’annoncent intenses à l’automne.

À partir de ce 1er juillet 2025, la Wallonie réforme en profondeur sa taxe de mise en circulation (TMC) pour les véhicules neufs et d’occasion.

Si l’objectif annoncé est de rendre le système plus équitable et plus respectueux de l’environnement, on ne peut s’empêcher de soulever certaines incohérences et critiques légitimes.

 

Un calcul basé sur 4 critères techniques

La TMC sera désormais calculée sur base de :

  • la puissance du moteur (kW) ;

  • les émissions de CO₂ ;

  • la masse maximale autorisée (MMA) ;

  • le type de carburant/énergie.

Ce nouveau mode de calcul entend mieux refléter l’impact environnemental et routier du véhicule, mais il introduit aussi une complexité importante, avec des risques d’erreur accrus pour les contribuables et une réelle difficulté de prévision du montant qu’il devra payer.

Une Wallonie à part, au détriment du contribuable

Alors que les régions flamande et bruxelloise maintiennent un système plus lisible et stable, la Wallonie se distingue par une fiscalité plus complexe et moins avantageuse, creusant encore davantage les inégalités entre citoyens belges selon leur région d’habitation.

Pour les citoyens et les professionnels, cette réforme crée une inégalité de traitement flagrante, notamment pour ceux qui souhaitent acheter un véhicule électrique ou familial en Wallonie.

Sachant que pour ceux qui choisiraient la solution du leasing, la fiscalité restera inchangée puisque la majeure partie (la totalité?) des sociétés de leasing ont leur siège social en Flandre.

L’absurdité fiscale des véhicules électriques lourds

Dans la volonté d’encourager les véhicules plus propres, on aurait pu s’attendre à un traitement de faveur pour les véhicules électriques.

Or, le calcul de la nouvelle TMC pénalise fortement les modèles « lourds », ce qui est le cas de la majorité des véhicules électriques à batterie. Résultat : les familles qui veulent un véhicule spacieux, souvent électrique, se retrouvent avec une taxe salée à moins de choisir un véhicule peu adapté à une famille (Peugeot 208, Renault 5, …).

Par ailleurs, les constructeurs prévoient généralement des puissances supérieures à 211 chevaux pour ces véhicules, ce qui induit une taxe « de base » – bêtement calculée sur la puissance – dont le montant laisse songeur: 4.957€!
Une spécificité quasi unique en Europe (et en Belgique) qui se base sur le calcul précédent (et déjà désuet) de la taxe de mise en circulation sur base des puissances en kilowatt:

Une réduction de 250 € est bien prévue pour les familles nombreuses (au moins 3 enfants), mais :

  • elle ne compense que partiellement la taxe alourdie par le poids ;

  • elle exclut les familles “classiques” de deux enfants, pourtant nombreuses en Wallonie.

Un calcul à plusieurs variables, difficile à anticiper

Voici les composantes du calcul :

TMC = Montant de base × (CO₂ /Coefficient CO₂) × (MMA / Coefficient Masse) × Coefficient Carburant – Réductions éventuelles

Montant final plafonné à 9.000 €, avec un minimum de 50 €.

Une dégressivité est prévue pour les véhicules d’occasion en fonction de leur âge, mais là encore, la clarté manque pour le citoyen non averti.

Exemples concrets:

  1. TESLA Model Y Dual Motor – 273kW – 0g – MMA 2.518kg

4.958€ x 1 x (2.508 / 1.838) x 0,26 = 1.685€

2. VW Taigo 1.0 TSI 81kW – 133g – 1.750kg

123€ x (133 / 136) x (1.750 / 1.838) x 1 = 114€

3. DACIA Bigster TCe 140 – 100kW – 122g – 1.890kg

867€ x (122 / 136) x (1.890 / 1.838) x 1 = 804€

4. AUDI Q4 e-tron 55 255kW – 0g – 2.660kg

4.958€ x 1 x (2.660 / 1.838) x 0,26 = 1.869€

⚠️ Un malus écologique pourrait encore s’ajouter à ces montants pour les véhicules dont le taux de CO² est supérieur à 175 grammes.

Ce qu’il faut retenir:

✅ Points positifs ⚠️ Ce qu’on peut regretter
Valorisation de critères environnementaux Complexité accrue du calcul
Encouragement des véhicules légers Inégalités entre régions belges
Dégressivité selon l’âge du véhicule Pénalisation des électriques lourds
Réduction pour familles nombreuses Aucune mesure pour familles à 2 enfants

Et maintenant ?

Chez Detrembleur & Partners, nous vous aidons à :

  • estimer votre future TMC selon le véhicule choisi ;

  • éviter les erreurs et mauvaises surprises ;

  • adapter vos choix à la réalité fiscale régionale.

La fiscalité automobile change, mais notre accompagnement reste le même : clair, humain et sur mesure.

📞 Une question ? Un projet d’achat ? Parlons-en avant de vous engager.

C’était simple, pratique, gratuit et immédiat.
Il suffisait de déposer sa plaque à radier au guichet de la poste. En quelques secondes, vous receviez immédiatement une confirmation officielle de la radiation.
Mais ça, c’est bientôt terminé.

Nouvelle procédure de radiation à partir du 1er août 2025

À partir du 1er août, la procédure de radiation des plaques d’immatriculation change radicalement.

👉 La radiation ne pourra plus se faire via la poste.
👉 La DIV elle-même prendra en charge le traitement des radiations.
👉 La confirmation de radiation ne sera plus immédiate.
👉 La plaque devra être envoyée physiquement à la DIV, par courrier recommandé ou via un guichet DIV.

Bref : plus de file à la poste, mais plus de tranquillité non plus.

Quels risques et quels désagréments ?

Cette nouvelle procédure induit plusieurs problèmes concrets :

  • Délai d’attente inconnu pour obtenir la confirmation de radiation (et donc pour l’arrêt de l’assurance ou d’un éventuel prélèvement fiscal).

  • Risque de perte de la plaque durant le trajet.

  • Charge administrative accrue pour les particuliers… et a fortiori pour les intermédiaires comme nous.

Ce que nous pouvons… et ce que nous ne pourrons plus faire

Chez Detrembleur & Partners, nous faisons tout pour simplifier la vie de nos clients.
Mais cette nouvelle procédure est trop lourde, chronophage, et risquée pour que nous puissions la gérer en votre nom.

➡️ Nous ne pourrons donc plus nous charger de la radiation de vos plaques.
➡️ Nous vous accompagnerons volontiers pour vous expliquer la démarche, mais l’envoi devra être effectué par vos soins.

Conclusion ? Une évolution qui ne va pas dans le bon sens

On aurait aimé pouvoir vous annoncer une simplification, une digitalisation, une efficacité renforcée.
Mais cette fois, c’est tout le contraire.

Nous vous tiendrons bien entendu informés dès que nous aurons plus de précisions sur les délais et modalités. En attendant, n’hésitez pas à nous contacter pour toute question.

Toutes les informations officielles au sujet de la nouvelle procédure de radiation sur le site de la DIV: https://mobilit.belgium.be/fr/news/nouvelle-procedure-pour-la-radiation-des-plaques-partir-du-1er-aout-cest-la-div-qui-sen-charge

Depuis plusieurs mois, les tentatives d’arnaques bancaires se multiplient. Et malheureusement, elles sont de plus en plus sophistiquées. Chez Detrembleur & Partners, nous avons été témoins de plusieurs cas de clients qui ont vu leur compte vidé en quelques minutes, simplement parce qu’ils ont répondu à un appel ou cliqué sur un lien qui semblait provenir de leur banque.

Voici les erreurs à éviter absolument, et les bons réflexes à adopter pour ne pas tomber dans le piège.

1. ❌ Ne jamais communiquer vos données bancaires par téléphone

De nombreux clients nous racontent avoir reçu un appel, souvent très convaincant, d’une personne se présentant comme étant de leur banque ou de Card Stop. Le ton est alarmiste : votre carte aurait été piratée, une transaction suspecte serait en cours, et il faut agir vite.

Pour “confirmer votre identité” ou “empêcher le piratage”, on vous demande alors le numéro de votre carte bancaire, sa date d’expiration, voire votre code PIN ou vos données d’accès à la banque en ligne.

⛔ C’est une arnaque. Ni votre banque, ni Card Stop ne vous demanderont jamais ces informations par téléphone. Jamais.

2. 🔐 Méfiez-vous des connexions via Itsme ou des accès à distance

Une méthode récente consiste à envoyer un lien vers le véritable site Itsme. Le lien est authentique, mais l’escroc vous guide en direct par téléphone pour que vous vous connectiez et validiez l’accès à votre banque. Il obtient ainsi, en temps réel, toutes les informations nécessaires pour se connecter à votre place et vider votre compte.

⚠️ Ne vous connectez jamais sous la pression d’un appel. Si vous ne vous y attendiez pas, ou si quelqu’un vous guide étape par étape au téléphone, raccrochez immédiatement.

3. ☑️ Soyez attentifs à l’origine de l’appel

• Un appel reçu depuis un numéro masqué ou inconnu ? • Une personne qui se dit de votre banque, mais dont vous ne reconnaissez ni la voix, ni le nom ?

🔹 Dites calmement : « Je préfère rappeler moi-même mon agence. Pouvez-vous me donner un numéro direct ? »

Dans 90 % des cas, l’arnaqueur raccrochera.

👉 Chez Detrembleur & Partners, nous contactons nos clients uniquement en cas de besoin réel, jamais en numéro masqué, toujours en nous présentant clairement, et en aucun cas pour demander des données confidentielles liées à vos comptes. Si ce n’est pas le cas, soyez sur vos gardes.

4. 🌡️ Le maître-mot : ne jamais agir dans la précipitation

Les brouteurs jouent sur l’urgence et la panique :

  • « Il faut agir tout de suite sinon votre compte sera bloqué ! »
  • « Une transaction est en cours, vous devez la stopper maintenant ! »

🔴 STOP. Prenez le temps de respirer, vérifier, réfléchir. Rien ne presse jamais au point de devoir réagir sans recul.

5. 🔎 Ce qu’il faut faire en cas de doute

✔ Appelez nous, votre agence bancaire directement, ou passez nous voir
✔ Contactez Card Stop au +32 78 170 170 en cas de carte perdue, volée ou de doute sur une transaction.
✔ Ne partagez jamais votre mot de passe, code PIN, code sms ou carte de lecteur bancaire.

Il vaut toujours mieux poser une « question bête » que de devoir gérer une fraude.

6. 🏛️ Quelques bons réflexes simples à adopter au quotidien :

  • Activez la double authentification pour vos applications bancaires.
  • Vérifiez toujours les expéditeurs des mails et SMS.
  • Ne répondez jamais aux appels suspects même s’ils utilisent le nom de votre banque.
  • Ne laissez aucun appareil sans surveillance avec des sessions bancaires ouvertes.

💪 La prudence reste votre meilleure protection

En matière de cyberfraude, mieux vaut se méfier deux fois que pas du tout. Et surtout : vous n’êtes jamais seuls.

Chez Detrembleur & Partners, notre équipe est à votre disposition. Si vous avez le moindre doute, un appel suspect, un message étrange… appelez-nous ou venez nous voir.

Nous préférons mille fois vérifier pour rien que devoir intervenir une fois que le mal est fait.

Il y a quelques années, une avancée importante voyait le jour dans le paysage de l’assurance belge : la mise en place d’un avantage fiscal pour les contrats de protection juridique, initiative saluée pour son ambition sociale.
Dans un pays où l’accès à la justice reste coûteux, l’État avait décidé d’encourager la population à s’assurer contre les frais juridiques, en rendant une partie de la prime fiscalement déductible. Cette mesure, entrée en vigueur le 1er septembre 2019, faisait suite à une volonté du législateur d’élargir l’accès à la justice en offrant un incitant fiscal (code 1344/2344 de la déclaration).

Cette réduction était toutefois réservée à certains contrats très encadrés, dits “fiscaux”, qui devaient répondre à une série de critères stricts : couverture large, délais d’attente clairs, plafonds d’intervention minimaux, etc. L’un des contrats les plus connus sur le marché dans cette catégorie est le BeneFisc de DAS, leader belge de la protection juridique.

Mais aujourd’hui, revirement brutal : le nouveau gouvernement fédéral belge (coalition “Arizona”) a décidé de supprimer purement et simplement cet avantage fiscal, et ce avec effet rétroactif au 1er janvier 2025.

Autrement dit, les primes versées en 2025 ne donneront plus droit à une réduction l’année suivante, alors même que de nombreux assurés ont souscrit ou renouvelé leur contrat en pensant bénéficier de l’avantage… Cette rétroactivité est d’autant plus regrettable qu’elle remet en cause la sécurité juridique que l’on est en droit d’attendre de telles mesures fiscales.

En tant que courtiers, nous ne pouvons que déplorer cette suppression précipitée.
Elle intervient à un moment où le coût de la justice, comme celui des soins de santé et d’autres frais indispensables, ne cessent d’augmenter, rendant l’accès à une défense de qualité de plus en plus difficile pour les citoyens moins aisés. Ce changement risque de renforcer une tendance dangereuse : réserver la possibilité de se défendre correctement à ceux qui en ont les moyens.

Il y a quelques semaines, nous évoquions déjà un précédent article l’augmentation des primes de la protection juridique chez DAS, liée à une explosion des coûts de gestion des dossiers, notamment en raison de la hausse constante des honoraires d’avocats (entre 150 et 500 € de l’heure).
Nous expliquions alors pourquoi cette revalorisation tarifaire, bien que sensible, était justifiée et surtout, nécessaire pour garantir un service de qualité.

Cette réforme gouvernementale ne change rien à notre conviction : une bonne protection juridique reste une assurance indispensable.
Un litige avec un voisin, un conflit avec un employeur, un problème après un accident de voiture, un litige durant une rénovation, … Ce sont des réalités fréquentes, où le soutien d’un avocat ou d’un expert peut faire toute la différence. Être mal ou pas assuré peut alors coûter plusieurs milliers d’euros, là où une prime annuelle reste généralement bien en dessous du prix d’une seule heure de consultation juridique.

En supprimant l’avantage fiscal, le gouvernement a peut-être rendu le produit protection juridique un peu moins attrayant sur le plan financier, mais il n’a en rien diminué son utilité. Il est d’ailleurs important de souligner que le montant de la prime reste inchangé pour les contrats de type BeneFisc (en tout cas pour l’instant): seule la possibilité de récupérer une partie via votre déclaration d’impôt disparaît.
Autrement dit, vous ne paierez pas plus, vous récupérerez juste un peu moins. Le verre à moitié plein, en somme.

Nous, courtiers, avons un rôle central à jouer dans ce contexte. Plus que jamais, nous devons conseiller, expliquer et anticiper, pour permettre à chacun de s’assurer intelligemment, même dans un environnement fiscal et économique mouvant.
Nous restons à vos côtés pour vous aider à choisir la solution de protection juridique la mieux adaptée à votre profil, à vos risques… et à votre budget.

À partir de ce 7 novembre 2024, l’activité bancaire de l’agence Crelan Paquay & Associés de Waimes sera transférée vers notre agence Crelan Detrembleur & Partners de Malmedy.

Renforcement de notre pôle de compétences unique dans la région

Crelan a sélectionné Detrembleur & Partners pour reprendre les activités bancaires de l’agence Paquay & Associés de Waimes.
Ce choix marque la confiance de Crelan dans l’expertise et l’engagement de l’équipe Detrembleur & Partners à fournir un service de qualité et des conseils sur mesure à ses clients.

Avec cette équipe spécialisée et une solide expérience dans les services financiers, Detrembleur & Partners garantit aux clients waimerais une continuité de service dans un cadre professionnel et accueillant.

L’agence de Malmedy est prête à répondre aux besoins de chaque client, que ce soit pour des opérations bancaires courantes, des projets de crédit, ou des investissements personnalisés.

Ce transfert d’activité souligne la volonté de Crelan d’assurer un service de proximité tout en misant sur la compétence d’une équipe reconnue dans la région.

 

Béatrice Detrembleur : « Nous sommes heureux de former aujourd’hui un pôle d’excellence réunissant le meilleur de chaque collaborateur et ce, au service des clients présents et futurs pour lesquels nous allons plus que jamais continuer d’offrir davantage de services spécialisés. Nous sommes animés de valeurs fortes et partagées que sont la proximité avec nos clients, la disponibilité de nos équipes et une réelle expertise dans nos métiers. »

Coordonnées de notre agence Detrembleur & Partners

Nos horaires d’ouverture habituels

Jour Matin Après-midi
Lundi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00
Mardi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00
Mercredi 08h30 – 12h00
Jeudi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00
Vendredi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00

 

⚠ Il est toujours préférable de prendre un rendez-vous pour bénéficier du temps nécessaire à l’accompagnement de votre projet.

L’équipe de Detrembleur & Partners remercie chaque client pour sa confiance.

 

N’hésitez pas à consulter l’ensemble de l’offre bancaire disponible sur le site www.crelan.be.

En matière de santé, un dicton bien connu affirme que celle-ci n’a pas de prix. Pourtant, la réalité est toute autre, en particulier en Belgique, où les frais d’hospitalisation peuvent rapidement devenir un fardeau financier.

Selon une étude récente de HelloSafe, la Belgique figure parmi les 20 pays les plus chers au monde en termes de coût d’une journée d’hospitalisation, se classant au 18e rang avec un tarif moyen de 556 € par jour.

Cette situation s’explique par le coût élevé des services hospitaliers dans notre pays. En effet, les frais pris en compte dans cette étude incluent les éléments standards comme la chambre, les soins infirmiers de base, l’alimentation et les médicaments.

Cependant, il est important de noter que les coûts liés à des traitements spécialisés ou à des interventions chirurgicales ne sont pas inclus dans ces estimations. Ainsi, en cas de complications médicales, la facture peut rapidement s’alourdir.

Face à ces chiffres alarmants, il devient essentiel de se prémunir contre les frais imprévus en souscrivant à une assurance hospitalisation de qualité. Une telle assurance permet non seulement de réduire le coût direct d’une hospitalisation, mais aussi d’offrir une tranquillité d’esprit en sachant que l’on est couvert en cas de problème de santé.

En Belgique, une enquête menée en 2018 par l’Institut Solidaris révélait que 4 personnes sur 10 avaient déjà renoncé à des soins pour des raisons financières. Cette statistique montre l’importance cruciale de disposer d’une bonne couverture santé pour éviter de se retrouver dans une situation difficile, notamment lors d’une hospitalisation imprévue.

Souscrire à une assurance hospitalisation, c’est s’assurer de ne pas être pris au dépourvu face à des frais de santé élevés. Que vous soyez un particulier ou une famille, une couverture adéquate vous garantit d’aborder plus sereinement les imprévus de la vie, tout en bénéficiant des meilleurs soins disponibles.

Pour ses 60 ans, la société Dandrifosse – Detrembleur & Partners opère un tournant important de son histoire
en fusionnant ses activités avec la S.A. Hupperetz & Düsseldorf afin de devenir ensemble “DETREMBLEUR
& PARTNERS” : un nouveau pôle d’expertise banque/assurances en Haute-Amblève.

Cette fusion est rapidement apparue comme évidente étant donné la complémentarité des deux structures en matière de services banque/assurances, le partage de valeurs communes et un fort attachement à l’ancrage local.

Béatrice Detrembleur, Dandrifosse – Detrembleur & Partners : « Par cette fusion avec la société Hupperetz & Düsseldorf, tout comme nous solidement ancrée dans le territoire local, nous consolidons nos acquis et nous nous tournons ensemble, sereinement, vers un avenir où nos expertises vont encore se renforcer, au service de nos clients, qu’ils soient particuliers ou entreprises. Cette belle opportunité a été rendue possible grâce à nos clients, à nos équipes ainsi qu’au soutien et à la confiance de nos partenaires Crelan et compagnies d’assurances. »

Geneviève Hupperetz, Hupperetz & Düsseldorf : « Il faut dire que notre société disposait elle aussi d’une importante activité banque/assurances depuis plus de 70 ans… Cette fusion intervient dans un contexte où nous cherchions à assurer la pérennité de nos activités, ce qui est à présent chose acquise. Je me réjouis de ce nouveau chapitre qui unit deux acteurs complémentaires et expérimentés. »

Autre élément important qui a conduit à cette fusion : Crelan, dans sa nouvelle stratégie de développement, cherchait un partenaire territorial fort, capable de déployer, rassembler et centraliser une offre de produits et services de proximité dans le pays de la Haute-Amblève jusqu’au nord de la province du Luxembourg.

Thierry Evrard, manager de secteur chez CRELAN : « Crelan poursuit le développement de son réseau, en partenariat avec nos différents agents dans la région. Dans ce cadre, nous avons décidé de construire un projet avec nos deux représentants principaux, à savoir les bureaux Hupperetz et Detrembleur. Ces structures disposaient de points d’exploitation bancaires dynamiques à Malmedy, Stavelot et Vielsalm. Dans un souci d’amélioration constante de nos services à la clientèle, nous avons souhaité renforcer encore notre ancrage local en nous appuyant sur l’expérience de deux acteurs incontournables dans leur bassin de vie pour élargir notre offre sur Malmedy. »

Vers un pôle de compétences unique dans la région

En pratique, cette fusion implique un regroupement des équipes des sites de Malmedy et de Stavelot vers la rue des Anciennes Granges à Malmedy (siège historique des activités de la société Hupperetz). Dès le 1er juillet prochain, ce nouveau pôle de compétences unique dans la région accueillera sous le même toit les activités de banque et de courtage en assurances spécialisées indépendants/entreprises/particuliers.

Ce regroupement aura lieu en deux temps. Le bureau d’assurances quittera la place Albert 1er à Malmedy à la fin de ce mois de juin 2024.
Dans cette stratégie de relocalisation des activités, il a aussi été décidé de fermer progressivement le bureau de Stavelot d’ici la fin de l’année 2024. L’agence locale intégrera le pôle malmédien qui proposera à 8 km des services plus complets, qui n’existaient pas jusqu’à présent.

S’agissant de l’agence de Vielsalm, rien ne change. Elle continue de proposer l’ensemble des services bancaires déjà existants ainsi qu’une offre en assurances.

100% des emplois maintenus

Dans sa nouvelle organisation, DETREMBLEUR & PARTNERS occupera désormais 10 personnes pour la partie banque et 14 personnes pour la partie assurances. Tous les emplois étant ainsi conservés.

Béatrice Detrembleur : « Nous sommes heureux de former aujourd’hui un pôle d’excellence réunissant le meilleur de chaque collaborateur et ce, au service des clients présents et futurs pour lesquels nous allons plus que jamais continuer d’offrir davantage de services spécialisés. Nous sommes animés de valeurs fortes et partagées que sont la proximité avec nos clients, la disponibilité de nos équipes et une réelle expertise dans nos métiers. »

 

Pour DETREMBLEUR & PARTNERS, les associés :
Béatrice Detrembleur
Geneviève Hupperetz
Benjamin Georges
Nathaniel Nivette
Laurent Jonckheere
Pierre Jacquemain

Mis à disposition de tous les Belges grâce à une collaboration étroite entre les trois Régions et l’Etat fédéral, mybike permet d’enregistrer son vélo et de l’identifier à l’aide d’un sticker unique gratuit. Ce dispositif est destiné à mieux lutter contre le vol de vélo et le recel.

Chaque année, près de 100 000 vélos sont volés en Belgique. Nombre d’entre eux sont retrouvés par la police, mais sans pouvoir retourner à leurs propriétaires, finissant oubliés dans des dépôts.
Grâce à mybike, les chances de retrouver son vélo sont plus grandes car la plateforme constitue un registre central accessible aux services de police et à la Justice.

Une procédure simple

1. Enregistrer votre vélo

mybike.belgium.be vous permet d’enregistrer gratuitement votre vélo neuf ou d’occasion. Vos données personnelles seront ainsi liées à votre vélo qui sera doté d’un numéro unique vous permettant d’y joindre des spécifications, des photos et les preuves d’achat.

En cas de vol, vous pouvez indiquer sur mybike le vélo comme étant volé, générer une fiche d’identification, et faire une déclaration à la police. Lorsque vous revendez votre vélo, vous pouvez également le transférer à un nouveau propriétaire sur la plateforme. Enfin, dans le cadre de la lutte contre le vol de vélos, nos partenaires pourront vous contacter si votre vélo est retrouvé.

2. Identifier votre vélo

Une fois votre vélo enregistré sur la plateforme, vous recevrez gratuitement un sticker unique par la poste. Il est important d’apposer le sticker sur votre vélo afin de l’identifier. Le sticker n’abîme pas le cadre de votre vélo, est résistant à l’arrachage, aux UV et aux intempéries. Le sticker est le moyen le plus simple d’identifier votre vélo et il permet surtout, avec un bon cadenas, de réduire drastiquement le risque de vol et de revente illégale.

En savoir plus : Enregistrer son vélo sur mybike et recevoir ou activer un sticker d’identification

Les villes et communes de Wallonie partenaires

Celles-ci sont invitées à organiser des distributions de stickers lors lors d’événements de promotion du vélo ou de prévention contre leur vol. Le tout en collaboration avec des services tels que la police, le service mobilité, ou des associations de promotion du vélo.

En savoir plus : Commander des boites de stickers mybike pour ma commune et organiser leur distribution

Lutter contre le vol, pour encore plus de cyclistes sur notre territoire

Selon les données du SPF Mobilité, la majorité des vols de vélo ont lieu dans le domaine public :

  • dans un parking vélo libre d’accès (41 %)
  • sur la voie publique en dehors d’un parking vélo (34 %)
  • au domicile (20 %)
  • dans des parkings vélos fermés (4 %)

Le vol de vélo demeure un frein à son utilisation. Il peut effectivement décourager des cyclistes ou cyclistes potentiels, en particulier les usagers les plus récents du deux-roues ou les moins fortunés.

source: wallonie.be