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La Belgique a un nouveau gouvernement fédéral, la coalition Arizona, qui prévoit une série de réformes économiques, fiscales et sociales impactant indépendants, entreprises et travailleurs.

Ces changements concernent notamment la fiscalité, la pension, le travail et l’investissement.

Voici un aperçu des mesures phares et de leur impact.

 

Fiscalité et impôts : des ajustements à prévoir

Le gouvernement prévoit une hausse des revenus nets des travailleurs par le biais de plusieurs mesures :

Augmentation de la quotité exemptée d’impôt, permettant à chacun de conserver plus de revenus nets.
Réduction de la cotisation spéciale de sécurité sociale (CSSS) et renforcement du bonus à l’emploi.

Les entreprises devront aussi s’adapter :
Le seuil de rémunération du dirigeant d’entreprise est relevé à 50 000 € (contre 45 000 €) pour accéder au taux réduit d’imposition des PME.
Maintien des incitants fiscaux à l’embauche, notamment l’exonération de charges pour le premier salarié.
Réduction des sanctions fiscales pour les nouveaux entrepreneurs afin d’encourager l’entrepreneuriat.

Un point important est l’introduction d’une taxe progressive sur les plus-values financières. Les plus-values inférieures à 1 million € restent exonérées, mais celles au-delà seront taxées entre 1,25 % et 10 %.

Pensions et protection sociale : travailler plus longtemps et cotiser plus

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Le gouvernement souhaite harmoniser les pensions et inciter à travailler plus longtemps :

Réduction des périodes assimilées dans le calcul des pensions, ce qui pénalisera les personnes ayant connu des interruptions de carrière.
Suppression progressive des pensions de ménage et de veuf(ve).
Bonus-malus pension : travailler au-delà de l’âge légal apportera une pension majorée, tandis qu’un départ anticipé entraînera une réduction.
Réforme du 2ᵉ pilier : les employeurs devront progressivement cotiser au moins 3 % pour une pension complémentaire.

Les indépendants bénéficient de certaines améliorations :

Augmentation du plafond des cotisations PLCI pour améliorer la pension complémentaire.
Extension des droits aux indépendants complémentaires, leur permettant de cotiser pour leur pension comme les indépendants principaux.
Meilleure prise en charge de l’incapacité de travail : possibilité d’un gel administratif pour éviter des sanctions en cas d’arrêt prolongé.

Travail et salaires : de nouvelles règles pour les employeurs et les travailleurs

Le gouvernement veut augmenter la flexibilité du travail :

Hausse progressive du plafond des chèques-repas à 12 € (au lieu de 8 € actuellement).
Extension des flexi-jobs à tous les secteurs, avec un plafond de revenus relevé à 18 000 € par an.
Possibilité pour les étudiants de travailler jusqu’à 650 heures par an.
Réintroduction de la période d’essai : une rupture de contrat sera possible avec une semaine de préavis dans les 6 premiers mois.

Le chômage sera plus restrictif :

Durée d’indemnisation limitée à 2 ans pour les travailleurs avec 5 ans de carrière.
Allocation plus élevée en début de période, mais dégressive plus rapidement.
Suivi renforcé des malades de longue durée avec des sanctions en cas de non-coopération à la réintégration.

Investissements et immobilier : des changements fiscaux majeurs

Le gouvernement met en place une taxe sur les plus-values financières et des ajustements en matière d’immobilier :Investissement, Croissance, Arrosage

La déduction fiscale des intérêts sur les investissements immobiliers (hors résidence principale) sera supprimée.
TVA maintenue à 6 % sur les démolitions-reconstructions, avec un plafond abaissé à 175 m².
Facilitation des rénovations énergétiques en copropriété avec un vote à majorité simple.

Consommation, énergie et télécoms

Pour soutenir le pouvoir d’achat, plusieurs mesures seront mises en place :

TVA à 6 % pour les pompes à chaleur mais augmentée à 21 % pour les chaudières à gaz et au mazout.
Obligation pour les banques d’augmenter le nombre de distributeurs automatiques de billets.
Suppression de certaines taxes sur les emballages et boissons, pour lutter contre les achats transfrontaliers.
Alignement des prix des télécoms avec les pays voisins et introduction d’indemnités plus flexibles en cas de panne.

Ce qu’il faut retenir

Le gouvernement Arizona met en place une série de réformes destinées à augmenter les revenus du travail, réformer la pension et ajuster la fiscalité des entreprises et des investisseurs. Certaines mesures, comme la hausse des salaires nets et l’amélioration du 2ᵉ pilier de pension, sont positives, en tout cas sur papier. D’autres, comme la taxe sur les plus-values et le renforcement des conditions d’accès à la pension, risquent d’avoir un impact financier sur certains contribuables et entrepreneurs.

En tant que courtier, nous suivons ces évolutions de près pour vous accompagner dans l’adaptation de vos contrats d’assurance, de pension et de protection financière. Si vous souhaitez anticiper ces changements et optimiser votre situation, nous sommes à votre disposition pour vous conseiller.

L’assurance hospitalisation est un pilier essentiel pour protéger votre santé et votre portefeuille. Cependant, toutes les solutions ne se valent pas. Les produits proposés par les mutualités, (dans cet article nous allons analyser la formule haut de gamme « Hospi +200″ de la Mutualité Chrétienne) offrent généralement une couverture de base adaptée aux hospitalisations simples. Mais dès que des situations plus complexes ou imprévues surviennent, leurs limites peuvent rapidement poser problème.

À l’inverse, des assurances hospitalisation haut de gamme, comme AG Care ou DKV Hospi Premium +, se distinguent par leur flexibilité et leur capacité à couvrir un éventail beaucoup plus large de besoins médicaux. Voyons cela en détails.

 

 

Des limites bien réelles pour les contrats de mutualité

Les assurances hospitalisation des mutualités sont conçues pour compléter l’assurance légale. Elles prennent en charge les frais hospitaliers standards, mais avec des restrictions notables.

Par exemple, Hospi +200 limite les suppléments d’honoraires à 200 % des tarifs INAMI. Cela signifie que si vous optez pour une chambre individuelle ou un médecin non conventionné, une part importante des coûts peut rester à votre charge.

Un autre point critique concerne les prestations non nomenclaturées, c’est-à-dire les traitements ou équipements non reconnus par l’INAMI.

Dans Hospi +200, ces frais ne sont remboursés que de manière marginale, souvent avec des plafonds stricts. Ainsi, si vous avez besoin d’un implant spécifique ou de soins paramédicaux non reconnus, vous risquez de devoir supporter une facture importante.

Enfin, les soins pré- et post-hospitalisation, tels que les consultations ou traitements nécessaires avant et après une hospitalisation, ne sont très souvent pas inclus dans ces contrats. Cette absence de couverture peut entraîner des coûts significatifs pour les assurés nécessitant un suivi médical prolongé.

Une couverture étendue avec AG Care ou DKV

En comparaison, des solutions haut de gamme comme AG Care et DKV Hospi Premium + offrent une prise en charge bien plus complète. Elles couvrent au minimum jusqu’à 300 % des tarifs INAMI pour les suppléments d’honoraires, garantissant ainsi une liberté totale dans le choix de votre médecin ou de votre chambre d’hôpital.

Ces assurances prennent également en charge les soins pré- et post-hospitalisation, souvent jusqu’à plusieurs mois avant et après une intervention. De plus, elles incluent des garanties spécifiques pour les maladies graves, permettant de couvrir les traitements ambulatoires sans nécessiter d’hospitalisation préalable.

Pour les prestations non nomenclaturées, comme les implants ou certains traitements alternatifs, AG Care et DKV proposent une couverture plus souple et des plafonds généreux, offrant ainsi une sécurité financière supplémentaire dans des situations médicales complexes.

Deux exemples pour illustrer les différences

Prenons deux situations concrètes pour mieux comprendre l’impact de ces différences de couverture.

Traitement ambulatoire pour un cancer

Après un diagnostic de cancer, vous devez suivre une chimiothérapie ambulatoire pendant plusieurs mois. Le coût total des traitements ambulatoires et des consultations s’élève à 8.000 €.

  • Avec Hospi +200 : Les traitements ambulatoires ne sont pas couverts, sauf pour un remboursement forfaitaire annuel de 150 €. Résultat : 2.500 € pourraient rester à votre charge après l’intervention de base de la mutuelle.
  • Avec AG Care ou DKV Hospi Premium + : Ces contrats couvrent intégralement les traitements ambulatoires pour les maladies graves, jusqu’à des plafonds élevés voire illimités. Résultat : 0 € restant à votre charge.
Pose d’un implant non nomenclaturé

Suite à un accident, vous avez besoin d’un implant spécifique non reconnu par l’INAMI. Le coût total de l’implant et de l’intervention est de 7 000 €.

  • Avec Hospi +200 : Le remboursement des implants non nomenclaturés est plafonné à 5 000 €. Résultat : 2 000 € resteraient à votre charge.
  • Avec AG Care ou DKV Hospi Premium + : Ces contrats couvrent ces implants sans limite spécifique ou avec des plafonds bien plus généreux. Résultat : 0 € à charge.

Assurance hospitalisation : un investissement essentiel

Ces exemples montrent clairement les limites des produits de mutualité et les avantages des solutions d’assurance « privées ». En matière de santé, les imprévus sont malheureusement inévitables. Une hospitalisation coûteuse, une maladie grave ou un traitement spécifique peuvent rapidement entraîner des frais importants. Dans ce contexte, opter pour une assurance hospitalisation de mutualité revient à faire un pari risqué, où les économies réalisées sur les primes pourraient vite être dépassées par les frais non couverts.

A l’opposé, une assurance hospitalisation « haut de gamme », comme AG Care ou DKV Hospi Premium +, représente un véritable investissement. Ces produits garantissent une couverture complète, une liberté dans vos choix médicaux et une protection financière face aux imprévus.

Notre rôle en tant que courtier

En tant que courtier, nous sommes là pour vous aider à faire le meilleur choix. Nous analysons vos besoins, comparons les offres du marché et vous conseillons de manière indépendante pour trouver une solution adaptée à vos attentes. Que vous souhaitiez une couverture complète ou un compromis entre coût et garanties, nous vous accompagnons à chaque étape.

Personne ne peut prédire son avenir en matière de santé. C’est pourquoi il est essentiel de faire un choix réfléchi et de s’appuyer sur des conseils professionnels. Une bonne assurance hospitalisation ne se limite pas à une dépense, c’est une véritable sérénité pour vous et votre famille. Si vous souhaitez discuter de vos besoins ou obtenir un conseil personnalisé, n’hésitez pas à nous contacter. Parce qu’en matière de santé, il vaut mieux prévenir que guérir.

Depuis le 1er janvier 2025, DAS a mis en place une augmentation significative de ses primes et introduit un modèle de tarification variable basé sur le profil de risque de chaque client. Cette évolution, portée par une hausse généralisée des coûts, reflète des réalités économiques incontournables.

En tant que leader incontesté sur le marché de la protection juridique, DAS ouvre la voie à une tendance qui pourrait s’étendre à l’ensemble des acteurs du secteur. Voyons ensemble les raisons de ce changement et pourquoi il reste important de pouvoir compter sur une protection juridique qualitative et adaptée.

 

Une augmentation des coûts devenue insoutenable

Depuis plusieurs années, DAS fait face à une hausse constante et marquée des coûts liés à la gestion des sinistres.
D’autres facteurs, comme l’augmentation des procédures d’appel et des frais administratifs, accentuent cette tendance. Près de 75 % des litiges pris en charge par DAS sont réglés à l’amiable, générant des coûts de gestion internes importants.
Certains produits, tels que BeneFisc ou LRC All Risk, ont été tellement sollicités qu’ils généraient des pertes structurelles importantes pour chaque prime encaissée. La révision tarifaire devenait donc une nécessité pour préserver l’équilibre financier et la qualité du service.

Une tendance qui s’étend à tout le marché

En tant que leader historique et pionnier sur le marché de la protection juridique, la DAS reste un indicateur de référence pour l’ensemble du secteur. Si la société a dû réviser sa tarification, il est fort probable que ses concurrents adoptent dans un futur proche des démarches similaires.

Car ces derniers font face aux mêmes pressions économiques : hausse des frais juridiques, complexification des litiges et attentes accrues des clients. La DAS a néanmoins choisi de maintenir des garanties complètes et un service haut de gamme, en cohérence avec sa réputation de fiabilité et d’expertise.

Un modèle de tarification plus équitable?

Pour accompagner cette augmentation, la DAS a introduit un modèle de tarification variable basé sur un score de risque. Ce modèle permet de calculer une prime ajustée en fonction de trois critères principaux : la fréquence des sinistres, leur coût et la localisation géographique du client.
Ce système vise à récompenser les clients ayant un profil de risque favorable tout en ajustant les tarifs pour ceux qui sollicitent davantage la garantie notamment lorsque les sinistres sont plus fréquents.

Chaque contrat est désormais accompagné d’un score de risque qui peut influer sur la prime, dans une limite maximale de 15 % par rapport à la base tarifaire. On pourrait un peu comparer cette tarification variable au malus qui sera appliqué à votre contrat auto en cas de sinistre responsable…

Le rôle essentiel de la protection juridique

Malgré l’augmentation des primes, il convient de souligner qu’une protection juridique reste un outil indispensable pour se défendre efficacement. Les honoraires d’un avocat, d’un expert ou les frais d’une procédure peuvent atteindre des montants exorbitants.
La protection juridique permet non seulement de couvrir ces frais, mais aussi de bénéficier d’un accompagnement et de conseils dès les premières étapes d’un litige, réduisant ainsi les risques et les coûts à long terme.

En protégeant ses clients contre ces dépenses imprévues, DAS continue de jouer un rôle crucial dans la défense de leurs droits. Renoncer à une protection juridique, même dans un contexte de hausse tarifaire, serait une prise de risque démesurée.

Notre rôle en tant que courtiers : indépendance et accompagnement

En tant que courtiers, nous avons une mission fondamentale : rechercher pour nos clients les partenaires qui offrent le meilleur équilibre entre prix et prestations. Notre indépendance vis-à-vis des compagnies d’assurance nous permet de comparer les solutions disponibles sur le marché et de vous proposer celles qui répondent le mieux à vos besoins spécifiques.

Nous restons également vigilants face à ces hausses tarifaires. Si nous comprenons la nécessité économique de ces ajustements pour la DAS, nous veillons à ce que ces augmentations soient justifiées et à ce que nos clients continuent de bénéficier d’une couverture avantageuse.

Notre objectif est de vous accompagner dans cette transition en vous apportant une transparence totale et des conseils personnalisés pour optimiser vos contrats et votre protection face aux risques.

Une évolution incontournable pour une couverture de qualité

Une seule heure d’honoraire, facturée par un avocat entre 150 et 500 euros, représente souvent un coût bien supérieur à la prime annuelle d’une assurance protection juridique.

Une simple procédure, même de faible envergure, peut rapidement représenter un coût difficile à assumer pour un particulier ou une entreprise. Dans ce contexte, l’augmentation des primes et l’introduction de la tarification variable par la DAS répondent à des défis financiers qui ne pouvaient plus être ignorés.

En maintenant des garanties complètes et une approche haut de gamme, la DAS reste fidèle à son engagement envers ses clients. Toutefois, cette tendance est appelée à s’étendre à l’ensemble du secteur, reflétant une hausse généralisée des coûts de la justice.

En tant que courtier, nous sommes là pour vous guider et vous défendre, en vous garantissant des solutions qui allient qualité et compétitivité. La protection juridique reste un investissement essentiel, et nous nous engageons à ce qu’elle demeure accessible et adaptée à vos besoins.

La donation est un moyen efficace d’organiser la transmission de son patrimoine. Que ce soit pour réduire les droits de succession ou soutenir vos proches de votre vivant, elle permet de planifier votre héritage de manière personnalisée.

Qu’est-ce qu’une donation et dans quelles conditions peut-elle être réalisée ?

La donation consiste à transférer un bien (mobilier ou immobilier) de votre vivant, sans contrepartie financière. Elle est en principe irrévocable, sauf exceptions prévues par la loi (ingratitude, non-respect des conditions).

Quand peut-on donner ?

Vous pouvez effectuer une donation à tout moment, mais il est essentiel de respecter les conditions légales suivantes :

  • Capacité juridique : Vous devez être majeur et pleinement capable juridiquement.
  • Respect des droits des héritiers réservataires : En Belgique, certains héritiers (enfants et conjoint survivant) disposent d’une part du patrimoine, appelée « réserve ». Une donation ne doit pas empiéter sur cette part protégée.
  • Clause de survie : Si le donateur décède dans les 3 ans (ou 5 ans en Wallonie) suivant une donation mobilière non enregistrée, les biens donnés seront réintégrés dans l’assiette des droits de succession.

Enregistrer ou non une donation : un choix stratégique

En Belgique, il est possible de procéder à une donation sans enregistrement, en particulier pour les biens mobiliers (argent, bijoux, actions). Voici les implications principales :

  • Donation enregistrée : Le paiement immédiat des droits de donation, généralement moins élevés que les droits de succession. Si le donateur décède dans les 5 ans, les biens donnés ne seront pas réintégrés dans la succession, ce qui sécurise les héritiers fiscalement.
  • Donation non enregistrée : Aucun droit de donation n’est payé initialement. Cependant, si le donateur décède dans les 5 ans en Wallonie, les biens donnés sont soumis aux droits de succession (souvent plus élevés). En revanche, si le donateur survit plus de 5 ans, aucun droit de donation ni de succession n’est dû, ce qui peut représenter une économie substantielle.

Assurance donation : protéger le bénéficiaire d’une donation non enregistrée

Pour atténuer le risque fiscal lié à une donation non enregistrée, le bénéficiaire peut souscrire une assurance donation. Ce contrat garantit le versement d’un capital suffisant pour couvrir les droits de succession en cas de décès du donateur dans les 3 ou 5 ans suivant la donation.

Exemple :
Marie souhaite donner 50 000 € à son fils Lucas par un don manuel non enregistré. Pour se prémunir contre les droits de succession en cas de décès prématuré, Lucas souscrit une assurance donation couvrant le montant des droits potentiels. Si Marie décède dans ce délai, l’assurance versera le capital nécessaire pour payer les droits sans que Lucas doive puiser dans la donation.

Cette option est particulièrement utile pour les donations mobilières ou les versements importants, permettant une transmission optimale du patrimoine avec un coût limité.

Quels biens peut-on donner ?

  1. Biens mobiliers : Argent, bijoux, œuvres d’art, actions, etc. Ils peuvent être donnés de manière :
    • Manuelle : Transfert direct du bien (par exemple, un virement bancaire pour une somme d’argent).
    • Notariée : Acte officiel pour sécuriser la donation.
  2. Biens immobiliers : Maison, appartement, terrain. Toute donation immobilière nécessite un acte notarié.

Exemples pratiques : Quand envisager une donation ?

Exemple 1 : Aider ses enfants à s’installer
Paul, 60 ans, souhaite soutenir sa fille Élodie, qui achète sa première maison. Il décide de lui faire une donation de 50 000 € pour constituer son apport personnel. Il opte pour une donation enregistrée (taxes payées immédiatement). Cela évite qu’Élodie ait à payer des droits de succession si Paul décède dans les trois ans.

Exemple 2 : Réduire les droits de succession sur une maison
Claire, propriétaire d’une maison d’une valeur de 350 000 €, souhaite anticiper la transmission de ce bien à ses enfants pour limiter les droits de succession. En Région wallonne, si elle transmet cette maison par donation 10 ans avant son décès, les droits à payer s’élèveront à 31 500 €. En revanche, si la maison est transmise par succession, les droits atteindraient 42 625 €. Grâce à la donation anticipée, ses enfants économisent 11 125 €, tout en bénéficiant d’une meilleure visibilité sur leur patrimoine.

Pourquoi envisager une donation ?

  • Anticiper la transmission : Organiser de son vivant une répartition équitable du patrimoine évite les disputes familiales.
  • Réduire les droits de succession : Une donation enregistrée diminue la base taxable de l’héritage.
  • Soutenir ses proches : Aider à financer des projets importants (achat immobilier, études, création d’entreprise).

Les droits de donation et succession : quelles implications fiscales ?

Droits de donation
Les taux varient selon :

  • La région (Wallonie, Bruxelles, Flandre).
  • Le lien de parenté entre le donateur et le donataire.
  • La nature du bien donné (mobilier ou immobilier).

En ligne directe (parent-enfant), les taux sur les biens mobiliers sont généralement fixes (3-7 %).

Conclusion

La donation est un outil de planification patrimoniale puissant. En anticipant, vous pouvez transmettre une partie de votre patrimoine de manière efficace, réduire les droits de succession pour vos héritiers et soutenir vos proches au bon moment. L’assurance donation constitue un moyen stratégique pour minimiser les risques liés aux donations non enregistrées, tout en préservant les avantages fiscaux potentiels. Cependant, chaque situation est unique. Avant d’agir, il est recommandé de consulter un notaire pour bénéficier d’un conseil adapté à votre situation personnelle et familiale.

De nombreux entrepreneurs et indépendants se demandent à quel moment il devient pertinent de créer une société.

Souvent, il est plus simple de démarrer en tant qu’indépendant, mais dès que l’activité génère un chiffre d’affaires significatif, les avantages de la société peuvent justifier une transition. Voici une analyse des points clés à considérer, suivie d’un exemple concret.

 

1. Pourquoi créer une société ?

  • Protection du patrimoine personnel : En créant une société, l’entrepreneur sépare ses biens personnels des actifs de l’entreprise. Cela signifie qu’en cas de difficultés financières, seul le capital de la société est engagé, et non les biens personnels de l’entrepreneur.
  • Fiscalité potentiellement avantageuse : Les sociétés bénéficient de l’impôt des sociétés (ISOC), qui est souvent plus bas que l’impôt des personnes physiques (IPP). Ce dernier est progressif, tandis que l’ISOC applique un taux fixe (souvent 20 % pour les petites entreprises, 25 % pour les autres).
  • Meilleure crédibilité et financement : Les sociétés sont perçues comme plus fiables par les clients, fournisseurs et investisseurs. Elles facilitent également l’accès aux financements bancaires.

2. Comparaison entre impôt des personnes physiques (IPP) et impôt des sociétés (ISOC)

  • Indépendant soumis à l’IPP :
    • Taux progressif allant jusqu’à 50 % en fonction du revenu.
    • Cotisations sociales à hauteur de 20,5 % du revenu.
  • Société soumise à l’ISOC :
    • Taux fixe (souvent 20 % pour les premiers bénéfices).
    • Dividendes soumis à un précompte mobilier (habituellement 15 %).

3. Exemple concret : comparaison des deux régimes fiscaux

Prenons un entrepreneur avec un chiffre d’affaires de 100 000 €, et des frais professionnels de 30 000 €. Le bénéfice net est donc de 70 000 €.

En tant qu’indépendant :

  • Bénéfice net : 70 000 €
  • Impôt sur le revenu (supposons un taux moyen de 45 %) : 31 500 €
  • Cotisations sociales (20,5 %) : 14 350 €
  • Revenu après impôts : 24 150 €

En tant que société :

  • Bénéfice net : 70 000 €
  • Impôt des sociétés (taux de 20 %) : 14 000 €
  • Bénéfice restant : 56 000 €
  • Dividendes distribués, avec précompte mobilier de 15 % : 8 400 €
  • Revenu après impôts : 47 600 €

Dans cet exemple, le passage en société permet de doubler le revenu après impôts, mais il est important de prendre en compte les coûts supplémentaires associés à la gestion d’une société.

4. Les coûts et obligations d’une société

Passer en société implique des frais et des obligations supplémentaires :

  • Frais de création : Honoraires de notaire, frais d’enregistrement et d’inscription à la Banque-Carrefour des Entreprises.
  • Comptabilité stricte : Une société doit tenir une comptabilité double, ce qui augmente les honoraires de comptable.
  • Obligations légales : Dépôt des comptes annuels, assemblées générales, et autres formalités administratives.

Ces coûts sont souvent justifiés à partir d’un bénéfice net annuel d’environ 50 000 € à 70 000 €, selon le secteur d’activité et les perspectives de croissance de l’entreprise.

5. Consulter un expert-comptable : une étape essentielle

La décision de passer en société ne doit pas être prise à la légère. Bien que cet article fournisse des bases de réflexion, chaque situation est unique. Les conseils d’un expert-comptable sont indispensables pour :

  • Réaliser des simulations fiscales et évaluer les avantages du passage en société.
  • Analyser les implications financières, juridiques et fiscales.
  • Accompagner l’entrepreneur dans la transition pour maximiser les bénéfices et limiter les risques.

Conclusion

Le passage en société n’est pas seulement une question de chiffre d’affaires. Il s’agit d’une décision stratégique qui doit tenir compte de la fiscalité, de la protection du patrimoine et des perspectives de croissance. Bien que les avantages fiscaux deviennent souvent intéressants dès que les bénéfices dépassent 50 000 €, cette transition doit être préparée avec soin et accompagnée par un professionnel. Seul un expert-comptable pourra fournir une analyse personnalisée et aider l’entrepreneur à faire le choix le plus judicieux pour son activité.

En résumé, si votre chiffre d’affaires et vos bénéfices augmentent, et que vous souhaitez protéger vos biens personnels tout en optimisant votre fiscalité, il est probablement temps de considérer sérieusement la création d’une société.

La CPTI : l’étape suivante après avoir maximisé votre PLCI

La Pension Libre Complémentaire pour Indépendants (PLCI) est souvent le premier choix pour les travailleurs indépendants souhaitant se constituer une épargne-pension avantageuse.

Une fois le plafond annuel de la PLCI atteint (3 965,77 € en 2024), comment continuer à épargner efficacement pour votre retraite tout en bénéficiant d’avantages fiscaux ? C’est ici que la Convention de Pension pour Travailleur Indépendant (CPTI) prend tout son sens.

Pourquoi envisager la CPTI après la PLCI ?

La CPTI est conçue pour les indépendants qui ont déjà maximisé leurs cotisations PLCI et souhaitent aller plus loin dans la préparation de leur retraite. Voici en quoi elle peut être bénéfique :

  1. Optimisation des avantages fiscaux : Une fois le plafond de la PLCI atteint, il n’est plus possible de cotiser davantage via ce produit. La CPTI vous permet de continuer à épargner pour la retraite tout en bénéficiant d’une déduction fiscale supplémentaire pouvant atteindre 30 % sur vos cotisations.
  2. Respect de la règle des 80 % : La règle des 80 % impose que la pension totale (légale et complémentaire) ne dépasse pas 80 % de vos revenus professionnels. Si vos cotisations PLCI ne suffisent pas à atteindre ce plafond, la CPTI permet de compléter la différence et d’augmenter ainsi votre pension globale.

Exemple concret

Prenons l’exemple de Laurent, un consultant indépendant. Il verse déjà la cotisation maximale annuelle dans sa PLCI, soit 3 965,77 € en 2024. Laurent génère un revenu annuel net de 70 000 €, ce qui lui permet de continuer à investir dans une CPTI. En cotisant 5 000 € par an dans une CPTI, il bénéficie d’une réduction fiscale de 30 %, soit une économie d’impôt de 1 500 €. Grâce à ce complément, il augmente significativement son capital retraite tout en optimisant ses avantages fiscaux.

Quand la CPTI est-elle pertinente ?

La CPTI est une solution particulièrement avantageuse si :

  • Vous avez atteint le plafond annuel de la PLCI et souhaitez continuer à épargner pour votre retraite tout en optimisant vos déductions fiscales.
  • Votre revenu annuel net est supérieur à 50 000 €, vous permettant ainsi de maximiser vos cotisations supplémentaires tout en respectant la règle des 80 %.
  • Vous désirez diversifier votre épargne-pension et constituer un capital retraite plus important, en complément de la PLCI.

Les avantages de la CPTI en un coup d’œil

  1. Réduction d’impôt jusqu’à 30 % : Vos cotisations sont déductibles, tant que vous respectez la règle des 80 %.
  2. Taxation favorable du capital final : Au moment du retrait, le capital accumulé est taxé à un taux réduit de seulement 10 %, bien inférieur aux taux d’imposition classiques.
  3. Flexibilité des versements : Vous choisissez le montant et la fréquence de vos cotisations, et vous pouvez même effectuer des backservices pour rattraper les années où vous n’aviez pas encore souscrit une CPTI.

Conclusion : Un duo gagnant pour une retraite sereine

Si vous avez déjà maximisé vos versements dans la PLCI, la CPTI représente un complément parfait pour continuer à constituer votre épargne-pension. Elle vous offre une flexibilité et des avantages fiscaux supplémentaires qui peuvent faire toute la différence pour votre retraite.

 

 

Rédiger un testament est une étape importante pour organiser la répartition de votre patrimoine après votre décès. C’est une façon de vous assurer que vos volontés seront respectées et que vos biens seront transmis selon vos souhaits.

Dans cet article, nous allons passer en revue les étapes clés pour rédiger un testament valide, les erreurs à éviter, et les bonnes pratiques à adopter pour optimiser la succession.

 

 1. Pourquoi rédiger un testament ?

Le droit successoral belge détermine par défaut la répartition de vos biens, souvent en faveur des membres de votre famille.

Cependant, il est possible que vous souhaitiez léguer une partie de vos biens à des amis proches, des partenaires de vie non mariés, ou des associations caritatives. Sans testament, ces personnes pourraient ne recevoir aucune part de votre héritage.

Exemple concret : Si vous souhaitez léguer une somme d’argent à votre partenaire de cohabitation légale, celui-ci n’a pas droit à une réserve légale. Un testament vous permet de garantir cette transmission et d’éviter des litiges familiaux.

 2. Les étapes pour un testament valide

Un testament doit être rédigé avec soin pour être juridiquement valable. Voici les étapes à suivre :

–  Ne tardez pas à rédiger votre testament:

Vous pouvez commencer dès que vous avez accumulé un certain patrimoine. Il est important de l’établir lorsque vous êtes en pleine possession de vos capacités mentales. Les changements imprévus dans votre état de santé peuvent entraîner des complications juridiques.

– Respectez la réserve héréditaire.

En Belgique, une part de votre patrimoine est réservée à vos héritiers directs (conjoint et enfants).
Par exemple, si vous avez des enfants, la moitié de votre patrimoine leur revient automatiquement. Vous pouvez disposer librement de l’autre moitié.

Exemple : Si vous souhaitez léguer une propriété à un ami, vous ne pourrez le faire que sur la partie de votre patrimoine non réservée à vos enfants. Sinon, ces derniers pourraient contester le testament.

3. Rédiger soi-même ou faire appel à un notaire ?

Vous avez le choix entre rédiger votre testament vous-même (testament olographe) ou le faire établir par un notaire (testament authentique).

– Testament olographe : Il est écrit à la main, daté et signé par le testateur. Bien que gratuit, il comporte des risques de nullité si les formulations ne respectent pas les exigences légales.

– Testament authentique : Rédigé par un notaire, il offre une garantie de validité. Le notaire vérifie que vous êtes sain d’esprit et vous protège contre toute pression extérieure. Les coûts varient selon la complexité du testament, mais l’assurance de sa conformité en fait une option recommandée.

Exemple concret : Un testateur rédige son testament à la main et lègue « le tableau du salon à mon neveu ». Ce manque de précision pourrait entraîner des disputes, car plusieurs tableaux peuvent être considérés comme étant « dans le salon ». Avec un testament notarié, ces ambiguïtés sont évitées.

4. Attention aux pièges courants

Les erreurs dans la rédaction d’un testament sont fréquentes et peuvent entraîner son annulation :

– Manque de clarté :

Soyez précis dans vos formulations. Par exemple, au lieu de « je lègue ma voiture à mon fils », préférez « je lègue ma voiture de marque Renault Clio immatriculée ABC-123 à mon fils Jean Dupont ».

– Risques de perte :

Les testaments olographes sont souvent mal conservés. Ils peuvent être perdus ou ne jamais être retrouvés après votre décès. Il est recommandé de déposer le document chez un notaire, qui l’inscrira au Registre central des testaments.

5. Donations : une alternative intéressante

Les héritiers doivent payer des droits de succession, souvent élevés. Une donation de votre vivant peut être une stratégie efficace pour réduire ces coûts.

– Donation simple : Vous pouvez donner une somme d’argent ou un bien à un bénéficiaire. Les taux d’imposition des donations sont inférieurs à ceux des droits de succession, ce qui permet de diminuer les charges fiscales.

Exemple : Vous faites don de 50 000 € à votre fille avant votre décès. Cette donation sera taxée à un taux réduit par rapport à un héritage équivalent, réduisant ainsi la facture fiscale.

– Donation avec réserve d’usufruit : Vous pouvez donner un bien immobilier tout en conservant le droit de l’utiliser ou de percevoir les revenus locatifs. Cette solution permet de transférer la propriété tout en assurant votre confort.

6. Inclure des charges et conditions dans le testament

Il est possible d’ajouter des conditions ou des charges à vos legs pour que l’héritage soit géré selon vos souhaits.

Exemple : Vous léguez une somme d’argent à votre fils avec la condition qu’il finance les études de ses propres enfants. Cela permet de s’assurer que vos petits-enfants bénéficieront directement de l’héritage.

Attention, certaines conditions peuvent être contestées par les bénéficiaires si elles sont jugées excessives ou contraignantes.

7. Tenir votre testament à jour

Les situations familiales évoluent, tout comme la législation. Il est donc conseillé de revoir le contenu de votre testament chaque année et de l’adapter si nécessaire.

Exemple : Vous aviez initialement prévu de léguer une partie de votre patrimoine à votre beau-fils, mais après un divorce, vous décidez de modifier le testament. Un simple oubli de mise à jour pourrait entraîner des conséquences imprévues pour vos héritiers.

8. Les implications fiscales du testament

Les droits de succession varient en fonction de la région, du lien de parenté et de la valeur de l’héritage. Il est important de comprendre ces implications pour optimiser la transmission de votre patrimoine.

Exemple : Un héritage en Wallonie est soumis à des taux différents de ceux appliqués à Bruxelles. Planifier en fonction de ces différences peut permettre d’économiser des sommes importantes.

Conclusion

Rédiger un testament est une étape cruciale pour planifier votre succession et protéger vos proches. En suivant ces étapes et en prenant des décisions éclairées, vous pouvez vous assurer que vos volontés seront respectées et que votre patrimoine sera transmis selon vos souhaits. N’hésitez pas à consulter un notaire pour vous accompagner dans cette démarche et éviter les écueils courants.

Rappelez-vous : un testament bien rédigé est la meilleure garantie pour prévenir les litiges et optimiser les avantages fiscaux pour vos héritiers.

En 2025, les entreprises et les particuliers en Belgique devront composer avec de nouvelles obligations fiscales et législatives qui impacteront surtout les véhicules thermiques et hybrides. Voici les principaux changements à prévoir :

⛔ 𝐅𝐢𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐜𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐟𝐢𝐬𝐜𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐛𝐨𝐫𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞: Les primes pour installer des bornes de recharge à domicile ont pris fin, et les entreprises qui n’ont pas finalisé leurs installations semi-publiques avant août 2024 ne bénéficieront plus de déductions fiscales avantageuses.

🅿 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐨𝐛𝐥𝐢𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬: Dès 2025, les bâtiments avec plus de 20 places de parking devront intégrer au moins deux bornes de recharge, selon la directive EPBD. Les nouvelles constructions sont également concernées.

⛽ 𝐂𝐨𝐮̂𝐭 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐞́𝐡𝐢𝐜𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐡𝐞𝐫𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 : L’augmentation de l’avantage en nature (ATN) pour les véhicules à essence et diesel sera inévitable. Chaque année, les conducteurs de ces véhicules paieront davantage, en raison de la baisse des émissions moyennes de CO₂ induite par l’essor des véhicules électriques. Ce surcoût risque de rendre ces modèles bien plus coûteux pour les entreprises et leurs collaborateurs.

💰 𝐁𝐮𝐝𝐠𝐞𝐭 𝐦𝐨𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐫𝐞́𝐯𝐢𝐬𝐞́ : Les employeurs pourront proposer un budget mobilité plus flexible, avec des montants plafonnés et des méthodes de calcul précises, permettant des solutions de transport durable.

⚡ 𝐓𝐚𝐫𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐛𝐨𝐫𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 : Dès 2025, toutes les bornes rapides devront afficher les prix en temps réel, et les bornes standards seront tenues d’afficher un QR code pour consulter les tarifs.

🚚 𝐒𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐚𝐮𝐱 𝐯𝐞́𝐡𝐢𝐜𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐞́𝐥𝐞𝐜𝐭𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐁𝐫𝐮𝐱𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 : Les entreprises basées dans la région bruxelloise auront la possibilité d’obtenir jusqu’à 16.000 € de subventions pour remplacer leurs camionnettes polluantes par des modèles électriques.

🧮 𝐑𝐞́𝐯𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞̀𝐠𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐟𝐢𝐬𝐜𝐚𝐥𝐞 : Le système de déductibilité sera durci, avec la suppression des minimums garantis. À partir de janvier 2025, les véhicules thermiques les plus polluants verront leur déductibilité fortement réduite, voire supprimée pour les modèles aux émissions les plus élevées. Une évolution qui renchérira notablement l’usage de ces véhicules pour les entreprises.

Vous l’aurez compris, ces changements confirment la volonté du gouvernement de rendre les véhicules thermiques de moins en moins attractifs, en encourageant la transition vers des alternatives durables.

À partir de ce 7 novembre 2024, l’activité bancaire de l’agence Crelan Paquay & Associés de Waimes sera transférée vers notre agence Crelan Detrembleur & Partners de Malmedy.

Renforcement de notre pôle de compétences unique dans la région

Crelan a sélectionné Detrembleur & Partners pour reprendre les activités bancaires de l’agence Paquay & Associés de Waimes.
Ce choix marque la confiance de Crelan dans l’expertise et l’engagement de l’équipe Detrembleur & Partners à fournir un service de qualité et des conseils sur mesure à ses clients.

Avec cette équipe spécialisée et une solide expérience dans les services financiers, Detrembleur & Partners garantit aux clients waimerais une continuité de service dans un cadre professionnel et accueillant.

L’agence de Malmedy est prête à répondre aux besoins de chaque client, que ce soit pour des opérations bancaires courantes, des projets de crédit, ou des investissements personnalisés.

Ce transfert d’activité souligne la volonté de Crelan d’assurer un service de proximité tout en misant sur la compétence d’une équipe reconnue dans la région.

 

Béatrice Detrembleur : « Nous sommes heureux de former aujourd’hui un pôle d’excellence réunissant le meilleur de chaque collaborateur et ce, au service des clients présents et futurs pour lesquels nous allons plus que jamais continuer d’offrir davantage de services spécialisés. Nous sommes animés de valeurs fortes et partagées que sont la proximité avec nos clients, la disponibilité de nos équipes et une réelle expertise dans nos métiers. »

Coordonnées de notre agence Detrembleur & Partners

Nos horaires d’ouverture habituels

Jour Matin Après-midi
Lundi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00
Mardi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00
Mercredi 08h30 – 12h00
Jeudi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00
Vendredi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00

 

⚠ Il est toujours préférable de prendre un rendez-vous pour bénéficier du temps nécessaire à l’accompagnement de votre projet.

L’équipe de Detrembleur & Partners remercie chaque client pour sa confiance.

 

N’hésitez pas à consulter l’ensemble de l’offre bancaire disponible sur le site www.crelan.be.

En matière de santé, un dicton bien connu affirme que celle-ci n’a pas de prix. Pourtant, la réalité est toute autre, en particulier en Belgique, où les frais d’hospitalisation peuvent rapidement devenir un fardeau financier.

Selon une étude récente de HelloSafe, la Belgique figure parmi les 20 pays les plus chers au monde en termes de coût d’une journée d’hospitalisation, se classant au 18e rang avec un tarif moyen de 556 € par jour.

Cette situation s’explique par le coût élevé des services hospitaliers dans notre pays. En effet, les frais pris en compte dans cette étude incluent les éléments standards comme la chambre, les soins infirmiers de base, l’alimentation et les médicaments.

Cependant, il est important de noter que les coûts liés à des traitements spécialisés ou à des interventions chirurgicales ne sont pas inclus dans ces estimations. Ainsi, en cas de complications médicales, la facture peut rapidement s’alourdir.

Face à ces chiffres alarmants, il devient essentiel de se prémunir contre les frais imprévus en souscrivant à une assurance hospitalisation de qualité. Une telle assurance permet non seulement de réduire le coût direct d’une hospitalisation, mais aussi d’offrir une tranquillité d’esprit en sachant que l’on est couvert en cas de problème de santé.

En Belgique, une enquête menée en 2018 par l’Institut Solidaris révélait que 4 personnes sur 10 avaient déjà renoncé à des soins pour des raisons financières. Cette statistique montre l’importance cruciale de disposer d’une bonne couverture santé pour éviter de se retrouver dans une situation difficile, notamment lors d’une hospitalisation imprévue.

Souscrire à une assurance hospitalisation, c’est s’assurer de ne pas être pris au dépourvu face à des frais de santé élevés. Que vous soyez un particulier ou une famille, une couverture adéquate vous garantit d’aborder plus sereinement les imprévus de la vie, tout en bénéficiant des meilleurs soins disponibles.