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Pour ses 60 ans, la société Dandrifosse – Detrembleur & Partners opère un tournant important de son histoire
en fusionnant ses activités avec la S.A. Hupperetz & Düsseldorf afin de devenir ensemble “DETREMBLEUR
& PARTNERS” : un nouveau pôle d’expertise banque/assurances en Haute-Amblève.

Béatrice Detrembleur, Dandrifosse – Detrembleur & Partners : « Par cette fusion avec la société Hupperetz & Düsseldorf, tout comme nous solidement ancrée dans le territoire local, nous consolidons nos acquis et nous nous tournons ensemble, sereinement, vers un
avenir où nos expertises vont encore se renforcer, au service de nos clients, qu’ils soient particuliers ou entreprises. Cette belle opportunité a été rendue possible grâce à nos clients, à nos équipes ainsi qu’au soutien et à la confiance de nos partenaires Crelan et compagnies d’assurances. »

Cette fusion est rapidement apparue comme évidente étant donné la complémentarité des deux structures en matière de services banque/assurances, le partage de valeurs communes et un fort attachement à l’ancrage local.

Geneviève Hupperetz, Hupperetz & Düsseldorf : « Il faut dire que notre société disposait elle aussi d’une importante activité banque/assurances depuis plus de 70 ans… Cette fusion intervient dans un contexte où nous cherchions à assurer la pérennité de nos activités, ce qui est à présent chose acquise. Je me réjouis de ce nouveau chapitre qui unit deux acteurs complémentaires et expérimentés. »

Autre élément important qui a conduit à cette fusion : Crelan, dans sa nouvelle stratégie de développement, cherchait un partenaire territorial fort, capable de déployer, rassembler et centraliser une offre de produits et services de proximité dans le pays de la Haute-Amblève jusqu’au nord de la province du Luxembourg.

Thierry Evrard, manager de secteur chez CRELAN : « Crelan poursuit le développement de son réseau, en partenariat avec nos différents agents dans la région. Dans ce cadre, nous avons décidé de construire un projet avec nos deux représentants principaux, à savoir les bureaux Hupperetz et Detrembleur. Ces structures disposaient de points d’exploitation bancaires dynamiques à Malmedy, Stavelot et Vielsalm. Dans un souci d’amélioration constante de nos services à la clientèle, nous avons souhaité renforcer encore notre ancrage local en nous appuyant sur l’expérience de deux acteurs incontournables dans leur bassin de vie pour élargir notre offre sur Malmedy. »

Vers un pôle de compétences unique dans la région

En pratique, cette fusion implique un regroupement des équipes des sites de Malmedy et de Stavelot vers la rue des Anciennes Granges à Malmedy (siège historique des activités de la société Hupperetz). Dès le 1er juillet prochain, ce nouveau pôle de compétences unique dans la région accueillera sous le même toit les activités de banque et de courtage en assurances spécialisées indépendants/entreprises/particuliers. Ce regroupement aura lieu en deux temps. Le bureau d’assurances quittera la place Albert 1er à Malmedy à la fin de ce mois de juin 2024.Dans cette stratégie de relocalisation des activités, il a aussi été décidé de fermer progressivement le bureau de Stavelot d’ici la fin de l’année 2024. L’agence locale intégrera le pôle malmédien qui proposera à 8 km des services plus complets, qui n’existaient pas jusqu’à présent. S’agissant de l’agence de Vielsalm, rien ne change. Elle continue de proposer l’ensemble des services bancaires déjà existants ainsi qu’une offre en assurances.

100% des emplois maintenus

Dans sa nouvelle organisation, DETREMBLEUR & PARTNERS occupera désormais 10 personnes pour la partie banque et 14 personnes pour la partie assurances. Tous les emplois étant ainsi conservés.
Béatrice Detrembleur : « Nous sommes heureux de former aujourd’hui un pôle d’excellence réunissant le meilleur de chaque collaborateur et ce, au service des clients présents et futurs pour lesquels nous allons plus que jamais continuer d’offrir davantage de services spécialisés. Nous sommes animés de valeurs fortes et partagées que sont la proximité avec nos clients, la disponibilité de nos équipes et une réelle expertise dans nos métiers. »

Pour DETREMBLEUR & PARTNERS, les associés :

Béatrice Detrembleur
Geneviève Hupperetz
Benjamin Georges
Nathaniel Nivette
Laurent Jonckheere
Pierre Jacquemain

Y a-t-il un moment idéal pour investir ? C’est la question-clé pour les investisseurs, qu’ils soient expérimentés ou novices. Les marchés financiers sont pour le moins imprévisibles, alors quand s’y engager ? Si vous optez pour la facilité en investissant régulièrement, la réponse est simple : investir un petit peu chaque mois présente de nombreux avantages.

 

Quand il s’agit d’investir mieux vaut ne pas se fier à ses émotions. Si vous laissez votre intuition prendre le pas sur votre raison, vous risquez d’en subir les conséquences.

Vendre en panique son fonds d’investissement parce que les marchés boursiers performent moins bien est rarement une bonne idée. Ce genre de décision a souvent l’effet inverse : le facteur « temps » permet justement, et a fortiori dans le cas de fonds de placement, de lisser les pertes et de les intégrer dans le rendement moyen après, par exemple, 20 ans.

Autre mauvaise idée : essayer de prédire le marché. Tout investisseur rêve d’acheter au plus bas et de vendre au plus haut. Mais c’est mission impossible. Les marchés financiers sont tellement imprévisibles que le « timing parfait » n’est qu’une illusion.

Voici une solution simple pour pallier ces inconvénients : investir régulièrement.

Investir régulièrement : les avantages

En optant pour un investissement régulier, vous versez chaque mois un montant fixe via un ordre de paiement automatique. Vous n’avez ainsi plus à vous demander si c’est le moment idéal :

  • lorsque les cours sont bas, vous achetez plus de parts d’un fonds avec ce montant fixe ;
  • lorsque les cours sont élevés, vous achetez moins de parts d’un fonds ;
  • à plus long terme, vous achetez donc à un prix moyen. Vous achetez plus de parts à des prix inférieurs à la moyenne et vous achetez moins de parts à des prix supérieurs à la moyenne.

Et vous pouvez déjà investir à partir de 25 euros par mois. Vous voulez savoir combien cela peut vous rapporter à long terme ? Découvrez-le grâce à notre outil de simulation.

Il est recommandé d’investir à long terme, car les mauvaises années en bourse sont généralement en principe compensées par des périodes plus prospères. De plus, les rendements que génère un investissement dans des fonds de capitalisation génèrent ensuite à leur tour du rendement. Ce pouvoir du « rendement sur le rendement » peut créer un effet boule de neige surprenant.

En outre, la répartition entre actions et obligations, différents secteurs et différentes régions constitue un bon plan. Cela permet généralement de limiter les pertes pendant les périodes moins favorables. Lorsque vous investissez dans des fonds, votre argent est géré collectivement par des spécialistes. Ils choisissent un large éventail d’actions et/ou d’obligations dans lesquelles le fonds investit. Il s’agit d’une solution clé en main qui vous évite de devoir rechercher les opportunités qui se présentent sur le marché. Facile, non ?

Commencer à investir ?

Prenez rendez-vous avec nous!  Notre spécialiste placement Armony déterminera avec vous la solution la mieux adaptée à votre situation financière, à vos objectifs, ainsi qu’à vos préférences en durabilité, à vos connaissances et à votre expérience en matière d’investissement.

De plus, vous recevrez également des informations sur les caractéristiques, les risques et les coûts liés un investissement dans des fonds, afin que vous puissiez effectuer des investissements réguliers en toute connaissance de cause et à votre propre rythme.

 

source: blog Crelan

Dans notre société moderne, la digitalisation est en constante évolution. Les enfants ont un smartphone de plus en plus tôt et sont capables de travailler avec un ordinateur ou une tablette dès leur plus jeune âge, de sorte qu’ils sont souvent plus aptes à utiliser les nouvelles technologies que leurs parents. Il en va de même pour le compte à vue : l’argent liquide disparaît progressivement de notre société. De nos jours, nous pouvons payer presque partout avec une carte bancaire ou un smartphone, et ce n’est pas différent pour vos enfants.

C’est la raison pour laquelle l’ouverture de comptes à vue est également de plus en plus rapide. Vous hésitez encore à ouvrir un compte à vue pour votre enfant ? Dans cet article, vous découvrirez les avantages d’un compte jeune et des conseils utiles pour ouvrir un compte à vue.

Le compte jeune : pour qui ?

Un compte jeune est un compte à vue standard dont les frais de gestion sont gratuits jusqu’à l’âge de 25 ans. En Belgique, il est déjà possible d’ouvrir un compte à vue pour les enfants à partir de 10 ans.

Ce compte jeune peut être demandé aussi bien par les parents que par l’enfant auprès de  la banque de son choix. Votre fils ou votre fille est mineur ? Dans ce cas, la permission d’un parent est nécessaire. Les parents peuvent garder un œil sur la situation, car ils aident à gérer le compte de leur enfant.

Un compte à vue pour les enfants, comment ça marche ?

Cela peut sembler une idée effrayante de donner une carte bancaire à votre enfant, mais heureusement, il y a beaucoup de choses que vous pouvez contrôler. Par exemple, vous pouvez définir une limite maximale par jour et/ou semaine. De plus, vous pouvez toujours garder un œil sur les dépenses mensuelles en consultant les relevés de compte avec votre enfant.

De plus, un compte jeune présente de nombreux avantages supplémentaires :

  • Vous apprenez à votre enfant à gérer l’argent de façon responsable.
  • Donner de l’argent de poche devient encore plus facile
  • Vous apprenez à votre enfant à être plus autonome.

Avec un compte jeune, mon enfant peut-il tomber dans le rouge ?

Sur un compte à vue, votre enfant ne peut tout simplement pas descendre en dessous de zéro. Cela nécessite une demande spécifique d’ouverture de crédit sur le compte à vue, ce qui n’est pas possible pour les mineurs.

Avec un compte jeune, vous apprenez à votre enfant à gérer son argent de façon responsable. Convenez clairement avec votre enfant de l’usage qu’il peut en faire et fixez une limite de jour et/ou de semaine sur son compte.

Quelques conseils

Avant de donner à votre enfant son propre compte à vue, il est important de prendre quelques dispositions claires au préalable. De cette façon, vous gardez le contrôle, tout en donnant à votre enfant la liberté nécessaire.

  • Convenez clairement avec votre enfant de l’usage qu’il peut en faire.
  • Définissez une limite de jour et/ou de semaine sur le compte à vue.
  • Ensemble, déterminez le montant maximum qui peut être conservé sur le compte à vue. Et lorsqu’il est dépassé ? Déposez alors l’excédent sur son compte épargne. Cela apprendra aussi à votre enfant à épargner immédiatement.

Vous souhaitez ouvrir un compte jeune ?

L’ouverture d’un compte jeune est très simple. Vous souhaitez plus d’informations sur les différentes possibilités ? Nous vous accueillons volontiers dans nos bureaux.

Vous êtes en couple et souhaitez ouvrir un compte pour payer vos dépenses communes ? Vous pouvez facilement ouvrir un compte commun dans n’importe quelle agence Crelan. Grâce à un système de procuration réciproque, vous pouvez tous les deux effectuer des paiements et des versements sur ce compte, en toute simplicité. Pour cela, plus besoin d’obtenir l’accord explicite de votre partenaire. Comment fonctionne l’ouverture d’un compte commun et à quoi faut-il prêter attention ?

Quand ouvrir un compte commun ?

L’ouverture d’un compte commun est recommandée quand plusieurs personnes ont un minimum d’intérêts financiers partagés. Ce type de compte est principalement ouvert par des couples, mariés ou non, afin de gérer leurs dépenses communes. Mais l’ouverture d’un compte commun peut également être avantageuse dans d’autres situations ; par exemple pour des étudiants qui louent une maison ou un appartement et qui souhaitent en partager les frais (loyer, courses, etc.).

Il est recommandé d’ouvrir un compte commun avec un droit de procuration réciproque. Vous aurez alors tous les deux un accès total aux fonctionnalités du compte.

À quoi devez-vous faire attention lors de l’ouverture d’un compte commun ?

Il est recommandé de signer individuellement les documents d’ouverture du compte commun. Vous vous octroyez ainsi un droit de procuration réciproque sur le compte.

Vous aurez alors tous les deux un accès total aux fonctionnalités du compte.La signature ou le code PIN d’un des titulaires du compte suffit pour valider une opération bancaire.

Comment ouvrir un compte commun ?

Vous pouvez très facilement ouvrir un compte commun auprès de nous, votre (futur) agent Crelan. Il vous suffit de choisir le package de paiement le mieux adapté à vos besoins.

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C’est l’une des questions que vous nous posez le plus fréquemment: « votre véhicule prend de l’âge, est-il encore utile de conserver la garantie omnium ».
S’il n’existe pas de réponse simple pour cette question compliquée, voici quelques éléments qui vous permettront de savoir ce que couvre l’omnium et si c’est le bon moment pour vous en passer.

A l’exception de certains modèles, la plupart des voiture voient leur valeur diminuer au fil du temps et des kilomètres. Plutôt que de demander un montant plus élevé lorsque le véhicule est neuf et de diminuer la prime pour suivre l’amortissement de la valeur assurée, les assureurs lissent le montant de cette prime sur la durée de vie du contrat.
C’est donc la raison pour laquelle vous n’allez pas payer moins cher plus tard même si votre voiture vaut moins qu’à l’achat.

Il faut aussi penser que le déclassement – et donc le remboursement de la valeur assurée – n’est pas le sinistre le plus fréquent que nous rencontrons. Et qu’en cas de dommage partiel (par exemple remplacement du pare-chocs et du capot) le coût de la réparation sera identique que le véhicule ait 1 mois ou 5 ans.

Ces deux précisions étant apportées, revenons à notre question principale: quand faut-il résilier son omnium?

Le financement, critère numéro 1 à prendre en compte

Généralement l’organisme de crédit qui a financé votre véhicule va exiger qu’une omnium le couvre jusqu’au solde du prêt. Il est donc vivement conseillé de maintenir l’omnium tant que votre crédit n’est pas remboursé. A défaut vous devriez en cas de déclassement continuer à rembourser un véhicule détruit, en plus de vous retrouver à pied.

Une fois le crédit soldé d’autres questions sont à se poser. Quelle est la valeur de mon véhicule à un moment T? Est-ce que je suis en mesure d’assumer financièrement une réparation importante voire le remplacement de mon véhicule? Que représente la prime d’assurance (omnium) par rapport à la valeur résiduelle de mon véhicule?

Pour ces questions nous n’avons malheureusement pas de réponses car elles seront différentes pour chaque dossier. Mais une des pistes pour vous aider dans votre réflexion est que l’assurance omnium sert à couvrir le risque que vous ne pouvez – ou que vous ne voulez – assumer vous-même.

La plupart de nos clients abandonnent l’omnium lorsque leur voiture a 5 ans. Mais certains la conserveront jusqu’aux 10 ans de leur voiture quand d’autres ne la garderont que 2 ans.

L’omnium partielle, alternative utile et abordable?

Lorsqu’ils résilient leur grosse omnium la majorité de nos clients la remplacent par une omnium partielle (mini omnium). Celle-ci coûte environ un tiers du prix de la grosse omnium mais ne permet plus d’assurer vos propres dommages en cas d’accident (seul ou contre un tiers).

Par contre vous restez couverts sans franchise pour les dommages causés par l’incendie, le vol ou l’effraction, le bris de vitre, les collisions avec des animaux, les tempêtes, la grêle et autres forces de la nature.

Omnium Vs. Omnium partielle d’un point de vue budget

Jean a 40 ans, habite à Malmedy et souhaite assurer sa Skoda Octavia qui a 4 ans. Il hésite entre omnium et omnium partielle.

Maintenant que vous avez tout compris sur les différences de garanties, voyons ce que cela donne concrètement du point de vue du budget:

D’un côté une belle économie réalisée au niveau de la prime, de l’autre une meilleure maîtrise du risque puisque 535€ par an (44€/mois) vous permettent de couvrir environ 15.000€ soit la valeur résiduelle de la voiture.

Vous souhaitez poursuivre la réflexion? N’hésitez pas à nous contacter!

Vous êtes ouvrier, employé ou fonctionnaire ?

Si vous êtes un employé ou un fonctionnaire contractuel, alors votre employeur va vous payer la totalité de votre salaire le premier mois de votre congé maladie.

Les ouvriers aussi reçoivent de leur employeur un salaire garanti, mais pas de 100%. Ils reçoivent un salaire un peu moins élevé qu’habituellement.

Il y a aussi les fonctionnaires statutaires comme les professeurs nommés qui ont leur propre arrangement. Ils perçoivent en général plus longtemps la totalité de leur salaire.

Pour les autres salariés les soucis commencent donc à partir du 4ème ou du 7ème  mois de congé maladie.

A ce moment-là ils ne reçoivent plus que 60% de leur salaire habituel, une pilule qui est dure à avaler. Qui plus est, le montant est plafonné car il est calculé sur base d’un salaire mensuel maximum plafonné. Si le salaire du travailleur est plus élevé il ne recevra pas plus de 60% des 3.700€ bruts prévus.

Car 60% de ce salaire plafonné revient presque à moins de 2.300€ bruts. Ceci est donc le montant maximum qui sera versé au salarié.
Et si le salaire est inférieur au plafond, les allocations payées seront évidemment moins élevées. Il s’agit d’un montant brut et une bonne partie sera encore diminuée par les impôts.

Après une année de congé maladie, vos indemnités diminueront encore plus, jusqu’à 40% du salaire en fonction de votre situation familiale (65% si vous avez charge de famille, 55% si vous êtes isolé et 40% si vous êtes cohabitant). Et ici aussi le salaire est limité à 3.700€ bruts. Ce qui donnerait un montant minimal de 1.480€ bruts.

 

Vous n’êtes pas salarié mais indépendant ?

Alors mieux vaut ne pas tomber malade ! Car vous recevrez seulement de la mutualité une indemnité fixé par jour qui revient à environ… 950€ bruts par mois avec un statut de cohabitant.  Alors que vos frais fixes restent dus et inchangés.

Pour ce calcul il n’est nullement tenu compte de votre salaire et le montant sera (un peu) majoré si vous avez des personnes à charge. Peu importe donc que vous ayez gagné 10.000€ par mois ou 1.500€ avant d’être en incapacité.

Face à ce danger il existe une solution mais que vous devrez financer vous-même : le revenu garanti. Il prévient les problèmes financiers si vous êtes en incapacité de travail.

Une option à envisager impérativement, surtout en tant qu’indépendant. Mais aussi si comme beaucoup de Belges vous gagnez plus que le salaire plafonné de 3.700€ bruts ou que vous avez beaucoup de frais fixes (emprunts, financement, études supérieures à payer, …). Tout dépend donc de votre situation personnelle.

 

Vous souhaitez réaliser une simulation en ligne gratuite de ce que vous percevriez en cas de congé maladie ? Suivez ce lien pour l’obtenir.

Et pour tout renseignement concernant nos solutions de protection de votre patrimoine prenez contact avec notre équipe de spécialistes.

 

Votre carte Maestro pourra prochainement être remplacée par une carte Mastercard Debit. Pourquoi ce changement et qu’est-ce que ça changera pour vous concrètement?

 

A partir du 1er juillet 2023 les 10 millions de cartes de débit Maestro qui sont actuellement en circulation en Belgique vont progressivement disparaitre. Cela pour laisser la place à une nouvelle carte de débit qui sera plus adaptée aux pratiques de commerce en ligne.

La marque Maestro a été lancée en 1991. « C’était assez révolutionnaire à l’époque car la carte permettait de réaliser des paiements sécurisés dans différents pays européens. Elle est devenue comme le meilleur compagnon de paiement des consommateurs, également lors de voyages« , raconte Henri Dewaerheijd, directeur de la filiale belgo-luxembourgeoise de Mastercard.

« Mais Maestro a été développée pour les magasins physiques et n’est pas conçue pour l’ère numérique« , enchaîne-t-il. Mastercard a donc décidé de remplacer toutes les cartes Maestro en Europe par une nouvelle carte, la Debit Mastercard, qui offrira plus de facilités de paiement en ligne, tout en étant plus largement acceptée à l’étranger alors que Maestro était à peine présente hors du Vieux Continent. Vous avez plus que certainement déjà dû vous en rendre compte en vacances ou en voyages d’affaires.

« L’acceptation (de la nouvelle carte) est deux fois plus large que celle des cartes Maestro, atteignant plus de 100 millions de points de vente dans le monde, à la fois en ligne et dans les magasins physiques« , souligne l’entreprise.

Mastercard ou Visa: cela dépendra de votre banque. A priori, pas de changement dans l’immédiat chez Crelan

Dès le 1er juillet, les nouvelles cartes de débit Mastercard et les cartes à renouveler ou remplacer seront des Debit Mastercard. Pour les cartes Maestro existantes et toujours valides, le changement sera graduel et prendra 5 ans maximum, soit le cycle de vie d’une carte de débit.

Les clients des principales banques belges (Argenta, Banque van Breda, Beobank, Belfius, BNPP Fortis, ING, KBC-CBC, Santander Consumer Finance, Nagelmackers) verront leur carte Maestro progressivement remplacée.

D’autres banques, notamment Crelan, travaillent avec Visa concurrent de Mastercard et ne sont pas encore concernées. C’est donc la banque qui décidera entre Visa et Mastercard. Ceci ne pose aucun problème puisque les deux cartes sont acceptées dans le monde entier.

Les avantages de la nouvelle carte?

Grâce à ces nouvelles cartes Mastercard/Visa il sera plus facile de réaliser des achats en ligne ou à l’étranger et notamment en dehors de la zone euro. Cela devrait aussi permettre à de nombreux clients de ne plus multiplier les cartes comme c’était le cas jusqu’à présent avec une carte Maestro + une carte de crédit type Visa ou Mastercard.

Les achats en ligne seront plus faciles et mieux sécurisés grâce au code CVC généralement demandé lors du payement. C’est justement ce code qui n’était pas présent jusqu’à présent sur Maestro.

Que devez-vous faire pour obtenir cette nouvelle carte?

Il n’y a rien à faire dans l’immédiat. C’est lors du renouvellement de votre carte que le changement se fera automatiquement. De notre côté Crelan n’a pas encore communiqué ou pris de décision à ce sujet mais il est fort probable que la collaboration avec Visa sera maintenue.

L’actuel ministre des finances, le CD&V Vincent Van Peteghem planche sur une réforme fiscale qui pourrait prendre ses effets en 2024. Si le but de cette réforme est de permettre au citoyen belge de « conserver davantage de revenus nets », elle induirait aussi la suppression de certaines niches et avantages fiscaux.

Et parmi la longue liste de réductions fiscales que le ministre a l’intention de supprimer lors de la première phase de la réforme figure celle de l’épargne à long terme.

 

Dans le projet de loi, on peut en effet lire que « les primes d’une assurance-vie individuelle souscrites à partir du 1er janvier 2024 ne donneraient plus droit à la réduction de l’épargne à long terme. » Cela signifie, a contrario, que pour les assurances souscrites jusqu’à fin 2023, rien ne change.

Il n’y a actuellement pas de certitude que la réforme soit votée avant les prochaines élections. Dans le doute, il apparaît toutefois indispensable pour ceux qui souhaiteraient se constituer une pension complémentaire par le biais de l’épargne à long terme d’y souscrire au plus vite.

« Nous trouvons cela très regrettable« , réagit Assuralia, la fédération des assureurs. « L’épargne à long terme fiscale est l’une des pierres angulaires d’une pension complète et fait partie intégrante des leviers dont disposent les gens pour maintenir leur niveau de vie après une carrière professionnelle. Une suppression pourrait éroder davantage la confiance du public au moment même où nous devrions tout faire pour la renforcer. »

Mais de quoi s’agit-il au juste et pourquoi cette épargne à long terme est un « must have » surtout si vous avez terminé de rembourser votre crédit hypothécaire ?

 

1/ Qu’est-ce que l’épargne à long terme?

L’épargne à long terme est une manière de se constituer un capital pension avec un encouragement fiscal, via le versement de primes dans un contrat d’assurance-vie individuelle. Les primes versées procurent une réduction d’impôt.

2/ Quel est le montant de l’avantage fiscal?

La réduction d’impôt est effectuée au taux de 30% mais le montant maximal de la prime donnant droit à la réduction est calculé en fonction de vos revenus professionnels. Il s’élève à 169,20 euros majorés de 6% de vos revenus professionnels, avec un plafond de 2.350 euros. Le montant de l’avantage fiscal s’élève donc, au maximum, à 705 euros.

Notez que ce montant de 2.350 euros est gelé jusqu’à l’année de revenus 2023 comprise. Ce montant sera à nouveau indexé à compter de l’année prochaine.

3/ Quelles conditions doivent remplir le contrat?

Pour procurer un avantage fiscal, le contrat d’assurance-vie doit répondre aux conditions suivantes:

  • Le contribuable qui sollicite la réduction d’impôt doit être le preneur du contrat ainsi que la personne assurée;
  • Le contrat doit avoir été conclu avant les 65 ans du contribuable. Si c’est le cas, ce dernier pourra profiter de l’avantage fiscal même après ses 65 ans;
  • La durée du contrat prévoyant une prestation en cas de vie (c’est-à-dire si le preneur/assuré est en vie lors du dénouement du contrat) doit être de minimum dix ans;
  • Le terme du contrat d’assurance-vie doit être fixé au plus tôt le jour du 65eanniversaire du preneur/assuré;
  • Le bénéficiaire de la prestation en cas de vie doit être le preneur du contrat.

Lorsque le contrat prévoit une prestation en cas de décès, le bénéficiaire doit être le conjoint (ou cohabitant légal) ou les enfants, petits-enfants, parents, grands-parents, frères et sœurs du contribuable. Le terme « héritiers légaux » n’est pas suffisant et ne permet pas de bénéficier de l’avantage fiscal.

4/ L’avantage est-il cumulable avec celui d’un crédit hypothécaire?

Si vous remboursez un crédit hypothécaire pour lequel vous bénéficiez encore d’une réduction fiscale, la possibilité de cumul avec l’avantage fiscal de l’épargne à long terme dépend de la Région dans laquelle vous habitez, et de l’année au cours de laquelle vous avez conclu votre emprunt hypothécaire.

Région wallonne

  • Si l’emprunt a été conclu avant 2016, les deux avantages fiscaux sont repris dans la même corbeille fiscale. Vous pouvez donc solliciter une réduction d’impôt pour un montant maximal de 2.350 euros, comprenant le montant de l’épargne à long terme, le remboursement de votre crédit hypothécaire ainsi que les primes d’assurance solde restant dû.
    Il y a donc peu de chance pour que ce montant ne soit pas déjà atteint avec votre crédit hypothécaire.
  • Si l’emprunt a été conclu après 2016, l’épargne à long terme peut être cumulée avec l’avantage du chèque-habitat.

Région bruxelloise 

  • Si l’emprunt a été contracté avant 2017, les deux avantages fiscaux sont repris dans la même corbeille fiscale avec les mêmes conséquences que celles expliquées dans le point « Région wallonne »).
  • Si l’emprunt a été contracté après 2017, il ne donne plus droit au bonus-logement. Ce qui signifie que la corbeille est vide et que vous pouvez l’utiliser pour l’épargne à long terme.

5/ Quels sont les frais?

Les primes versées sont soumises à une taxe de 2% et les participations bénéficiaires éventuelles à une taxe de 9,25%.

Pour le reste, les contrats d’assurance-vie sont assortis de frais d’entrée, de frais de sortie, de frais de gestion de la compagnie d’assurance et de frais de gestion liés au fonds d’investissement.

6/ Faut-il verser une prime chaque année?

Ne pas verser de prime une année, ou verser une prime inférieure, ne remet pas en cause votre droit de solliciter une réduction d’impôt pour les années suivantes. Mais la réduction d’impôt que vous avez loupée est définitivement perdue.

Notez que vous avez tout à fait le droit de verser une prime supérieure au maximum donnant droit à une réduction d’impôt. Cependant, ce surplus sera taxé lors de la liquidation du contrat.

7/ Quelle est la fiscalité à l’échéance?

La manière dont votre capital sera taxé lorsqu’il sera libéré dépend de l’âge auquel vous allez le percevoir. Attention, si vous n’avez jamais déclaré vos primes, vous ne serez pas taxé lors de la liquidation du contrat. En revanche, si vous avez déclaré vos primes, ne serait-ce qu’une fois, votre capital sera taxé.

  • Vous liquidez votre contrat avant 60 ans:  Votre capital versé sera lourdement taxé, au taux de 33% à l’impôt des personnes physiques.
  • Vous liquidez votre contrat après 60 ans: Votre capital versé sera taxé au taux de 10%. Il s’agit d’une taxation libératoire, ce qui signifie que le capital ne sera plus taxé à l’impôt des personnes physiques.

La taxation s’effectue lorsque vous atteignez l’âge de 60 ans si votre contrat a été souscrit avant vos 55 ans. Si vous avez souscrit après 55 ans, la taxe est prélevée au dixième anniversaire de votre contrat.

Une fois que la taxation a été effectuée, les primes versées ultérieurement ne sont plus taxées. Elles permettent toutefois de continuer à bénéficier de l’avantage fiscal, c’est pourquoi il est conseillé de continuer à verser des primes après le prélèvement de la taxe.

 

 

Avec 16.165 nouveaux prêts hypothécaires, février 2023 représente un nouveau triste record depuis 2007, année où la Centrale des crédits aux particuliers a commencé à en collecter les données. Le précédent plancher datait de janvier 2023.

Depuis le début de l’année 2023, seuls 32.600 prêts hypothécaires ont été signés, soit la moitié de la moyenne des cinq dernières années.

Le faible nombre d’ouvertures de crédit est un signe supplémentaire du refroidissement du marché immobilier qui n’est pas aidé par l’augmentation des taux d’intérêt.

La Fédération des notaires avait déjà récemment annoncé l’essoufflement de ce marché. Au quatrième trimestre de 2022, les prix des logements ont reculé légèrement par rapport aux trois trimestres précédents. L’an dernier, le nombre de transactions a baissé de plus de 7% au second semestre.

Jusqu’à présent, la Belgique restait un des seuls pays européens à ne pas avoir adopté une politique sévère pour lutter contre la récidive en matière de « délinquance » routière.

L’exécutif fédéral a donc commandé une étude auprès de Vias, chargé d’analyser et de compulser les meilleures pratiques adoptées à l’étranger en matière de permis.
C’est grâce à ce travail de recherche et d’analyse que les trois ministres – justice, mobilité et intérieur – sont tombés d’accord sur la mise en place du premier permis à points belge.

Le principe est fixé, restera aux différents cabinets à peaufiner le projet dont la version finale devrait être posée sur la table du gouvernement début 2023, pour un déploiement avant la fin de la législature actuelle.

Fonctionnement en pratique

Contrairement à celui de nos voisins français, le conducteur belge disposera au départ d’un montant nul de points sur son permis. Des points lui seront ajoutés en fonction des infractions commises et de leur gravité.
Arrivé à 12 points, la limite, son permis lui sera retiré et pour le récupérer, il devra suivre à ses frais une formation axée sur les comportements dangereux et les modes de conduite à adopter.
Il aura également la possibilité – toujours à ses frais – de suivre une formation pour effacer quatre points de son bulletin.
En contrepartie, les points « gagnés » s’annuleront au bout de deux ou trois ans (en fonction de l’infraction) si le conducteur ne s’est plus fait remarquer négativement.
La consultation des points du permis de conduire pourra se faire via un site internet dédié, ou par l’entremise de la carte d’identité électronique.

Les amendes resteront d’application

Il est évident que ce système de permis à points s’ajoutera à l’arsenal punitif actuel et qu’il ne vous exonèrera pas du paiement des amendes classiques.
Le gouvernement n’a par ailleurs pas manqué de rappeler que son ambition était d’augmenter sensiblement les contrôles de police sur la route.

Cette annonce a été faite dans la foulée de la publication par Via des statistiques jugées comme alarmantes sur les accidents et victimes de la route qui sont reparties à la hausse en Belgique par rapport à 2021. Vias parle d’une augmentation de 16% sur les neufs premiers mois de cette année si l’on compare à l’an dernier.

Vous voilà prévenus.