Toutes les entreprises non essentielles doivent fermer leurs portes ! Si vous êtes un entrepreneur ou un travailleur indépendant, la décision du Conseil national de sécurité du 12 mars dernier n’a pas été facile à avaler.

Bien entendu, dans l’intérêt de la santé publique, vous respecterez les mesures, mais vous saviez immédiatement que des temps difficiles s’annonçaient.

Heureusement, les différentes autorités ont prévu certaines mesures de soutien aux entreprises et indépendants. Voici les plus importantes.

Mesures de soutien du gouvernement fédéral

Le gouvernement fédéral souhaite donner un peu de répit aux entreprises temporairement en difficultés financières suite aux mesures décidées pour contrer le coronavirus. Un report sur le précompte professionnel, la TVA et l’impôt des personnes physiquesdes sociétés et des personnes morales leur a été accordé. Cela peut prendre la forme d’un plan de remboursement, de l’exonération des intérêts de retard et/ou de l’annulation des amendes pour non-paiement.

Il est important de noter que toutes les demandes doivent être soumises au plus tard le 30 juin 2020. Vous trouverez ici tous les détails sur les conditions de ces mesures de soutien et sur la procédure de demande.

Mesures de soutien par région

Wallonie : fonds extraordinaire

La région wallonne a dégagé un fonds extraordinaire de solidarité aux PME et indépendants de 233 millions d’euros. Les secteurs d’activités qui doivent fermer leurs portes ou sont à l’arrêt peuvent bénéficier :

  • D’une indemnité forfaitaire compensatoire de 5000 euros (2500 euros pour les secteurs partiellement touchés).
  • De prêts d’urgence au soutien de trésorerie de maximum 200.000 euros pouvant être accordés aux entreprises.

Depuis le 27 mars 2020, vous avez la possibilité d’introduire votre demande d’indemnisation via la plateforme indemnitecovid.wallonie.

La page wallonie.be/fondsCovidEntreprises vous précise également toutes les conditions à remplir pour pouvoir bénéficier de cette prime. Si vous êtes éligible, vous aurez 60 jours pour introduire votre demande à partir de la fermeture de votre activité.

Toutes les informations sur les dispositions prises par les autorités régionales de Wallonie sont à consulter sur le site wallonie.be/coronavirusce-quil-faut-savoir.

Prime de nuisance pour la région de Bruxelles

La Région de Bruxelles-Capitale a également annoncé qu’elle apportera son soutien aux entreprises et aux indépendants qui en ont besoin suite à la fermeture obligatoire :

  • Une prime de 4000 euros pour les entreprises qui emploient moins de 50 employés à temps plein
  • D’autres mesures de soutien, sous forme de prêts ou de crédit pont pour les grandes entreprises

Bruxelles Economie et Emploi (BEE) met à disposition un formulaire de demande pour la prime unique de nuisance sur le site www.premiecovid.brussels. Votre demande devra être introduite au plus tard le 18 mai 2020.

Toutes les informations sur les mesures prises pour les indépendants et les entreprises bruxelloises sont rassemblées sur le site 1819.brussels.

Plus d’information

Les mesures de soutien du gouvernement fédéral et les « primes de nuisance » de la région wallonne et de Bruxelles-Capitale ne sont pas les seules mesures de soutien sur lesquelles vous pouvez compter en tant qu’indépendant ou employeur. Vous trouverez un aperçu complet à l’adresse ucm.be/Independants-et-unis/Coronavirus.

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Les trottinettes électriques ont envahi le paysage urbain belge ces dernières années. Il suffit de marcher quelques mètres dans le centre des grandes villes pour les apercevoir. Elles sont devenues si populaires et pratiques que de nombreux navetteurs se servent de ce nouveau moyen de transport afin de raccourcir considérablement leur temps de déplacement.

Pourtant, le nombre d’accidents, parfois mortels, sur la voie publique n’a cessé d’augmenter. Une étude a montré qu’un usager sur trois a déjà eu un (petit) accident pendant un déplacement en trottinette. Beaucoup d’utilisateurs se pensent en sécurité sur ces engins de petite taille. Ce qu’ils semblent oublier, c’est qu’ils peuvent atteindre une vitesse de 25 km/h et sont donc considérés comme des véhicules motorisés. La prudence est de mise.

Règles de circulation à respecter

Suite au succès fulgurant de ces engins de « mobilité douce », un flou juridique quant aux règles de circulations à respecter s’est rapidement installé. En tout état de cause, il est important de respecter certaines règles de civisme et de bonne conduite pour pouvoir circuler en toute sérénité et en bonne intelligence avec les autres usagers de la ville.

  • N’empruntez pas les trottoirs

Il vous est interdit de rouler sur le trottoir. Sauf à l’allure du pas.

  • Utilisez la piste cyclable

Si vous circulez plus vite que les piétons, vous devez emprunter la piste cyclable ou la chaussée. Vous devez alors respecter les règles de circulation imposées aux cyclistes.

Règles de sécurité recommandées par VIAS

  • Ayez du matériel adapté

Portez un casque de qualité. Dès 5 km/h, un impact au niveau de la tête peut être fatal. Or, la tête est touchée dans près de 40 % des accidents.

  • Limitez votre vitesse

Au-delà de 25 km/h, vous augmentez fortement les risques d’accidents.

  • Restez maître de votre engin

L’équilibre en trottinette est plus précaire qu’avec un vélo. Veillez donc à toujours garder vos deux mains sur le guidon.

Restez 100% concentré sur la route. Les petites roues de la trottinette rendent les manœuvres et l’évitement d’obstacles plus difficiles.

Anticipez au maximum les freinages. Les freins de trottinette sont moins performants que ceux des vélos, ce qui augmente la distance de freinage.
Petit rappel, la loi impose à chaque utilisateur de disposer d’une couverture de type Responsabilité Civile et d’avoir un certificat de conformité si l’engin dépasse les 25 km/h.

Trottinettes en hiver : mode d’emploi

En hiver, les températures descendent en dessous de 0 et la pluie ou la neige sont omniprésentes. Dans ces conditions, la trottinette reste la plupart du temps à l’intérieur à prendre la poussière.

Est-il possible de faire usage de sa trottinette pendant l’hiver et en toute sécurité ? Il existe quelques astuces qui vous permettront de profiter des joies de votre trottinette sans devoir sacrifier votre sécurité :

  • Adoptez une tenue adaptée

Munissez-vous de gants d’hiver spéciaux pour vos déplacements. Cet accessoire est primordial tant en termes de sécurité que de confort. Ils vous protègeront en cas de chute et empêcheront vos doigts de se tétaniser. Pour ne pas tomber malade, investissez également dans un cache-cou ou une cagoule pour protéger votre gorge, votre bouche et vos oreilles. N’oubliez pas non plus vos lunettes de vitesse ou un masque amovible. Ils vous protégeront du vent et vous permettront de conserver une vision optimale.

  • Entretenez votre trottinette

Pendant l’hiver, pensez à équiper votre trottinette électrique de pneus suffisamment mous. Un pneu mou garantit en effet votre stabilité et vous permet d’adhérer davantage à la route.
Entretenez également votre batterie. Ne laissez pas votre trottinette à l’extérieur s’il fait moins de 5 degrés et chargez la batterie de votre trottinette tous les jours au maximum.

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Que vous soyez skieur/surfeur débutant ou confirmé, les joies de la montagne peuvent parfois se transformer en cauchemar et gâcher vos vacances : mauvaise chute, membres cassés, collision, etc. Les vacances à la montagne, ça ne s’improvise pas, préparez votre voyage en toute sérénité et profitez au maximum des plaisirs de la glisse grâce aux nombreux conseils prodigués dans cet article.

Avant le départ

Avant de vous rendre en vacances à l’étranger, nous vous conseillons de jeter un œil à votre assurance hospitalisation afin d’éviter les mauvaises surprises.

  • Qu’est-ce qui est assuré et quels sont les plafonds ?
  • Existe-t-il des restrictions dans certains pays ?
  • En cas d’avalanche, les frais de sauvetage et de recherche sont-ils couverts ?
  • Suis-je couvert si je fais du hors-piste ?
  • Quel type de couverture en cas d’invalidité suite à un accident ?

Si vous vous rendez sur votre lieu de villégiature en voiture, une bonne préparation de votre véhicule avant le grand départ est capitale.

  • Installez des pneus hiver sur votre voiture pour une meilleure adhérence sur sol glissant.
  • Emportez des chaines à neige et entrainez-vous à les monter avant le départ.
  • Faites réviser votre véhicule par un spécialiste.

Sur la route : kit hiver

Les routes de montagne enneigées et sinueuses peuvent créer de sérieux embarras de circulation. Si vous êtes amenés à devoir patienter plusieurs heures dans le froid, nous vous conseillons de prévoir un « kit hiver » pour votre véhicule.

  • Prévoyez un bon grattoir ainsi qu’un dégivreur de serrure. (Attention : ne les laissez pas dans votre véhicule en cas de gel).
  • Munissez-vous de câbles de remorquage.
  • Emportez des gants et une lampe de poche.

Sur les pistes : prévenir les accidents

La pratique du ski ou du snowboard ne s’improvise pas. Afin de limiter les risques d’accidents et de profiter un maximum de votre semaine de vacances, voici quelques conseils à garder à l’esprit :

Préparez-vous physiquement :

Les sports d’hiver sont exigeants physiquement. C’est pourquoi, une bonne préparation physique est primordiale. Deux mois avant votre départ, pensez à préparer vos muscles qui seront le plus souvent sollicités sur les pistes (cuisses, épaules, etc.). Vous diminuerez ainsi le risque de claquage et d’entorses pendant les premières heures de ski.

Prévoyez un équipement adapté :

  • Porter un casque peut vous sauver la vie. En cas de mauvaise chute, le risque de séquelles est limité.
  • En hiver, le soleil reste dangereux. Les ultra-violets sont moins filtrés en montagne et sont davantage réfléchis par la neige. N’oubliez donc pas votre masque ou vos lunettes de soleil. Une crème solaire adéquate vous permettra également d’éviter les coups de soleil.
  • Utilisez du matériel adéquat. Veillez à ce que vos skis soient en bon état et adaptés à votre niveau.

Respectez les règles sur les pistes :

Beaucoup d’accidents au sport d’hiver sont dus à une vitesse excessive ou à un non-respect des règles de sécurité élémentaires :

  • Respectez la signalisation.
  • Si vous devez doubler un skieur, gardez une distance de sécurité.
  • Adaptez votre vitesse (ralentissez dans les zones dédiées aux skieurs débutants).
  • Le skieur en amont doit être attentif et anticiper les décisions du skieur en aval.

Que faire en cas d’accident

Si par malheur vous vous blessez sur une piste, consultez immédiatement un médecin. Une blessure en apparence banale peut parfois en cacher une autre plus sévère. Toutes les stations disposent aujourd’hui d’un centre médical.

Dans certains cas graves, une hospitalisation devra être envisagée, ce qui peut entrainer de nombreuses difficultés et avoir un impact financier important sans une bonne assurance. Assurez-vous d’être muni de votre Carte européenne d’assurance maladie. Grâce à cette carte, vous pourrez bénéficier de soins immédiats et du remboursement de vos frais médicaux. La Ceam est gratuite et valable partout en Europe.

Bonne glisse !

Pour que votre prochain séjour à la montagne se passe sans pépin, préparez-vous bien et pensez aux quelques conseils prodigués dans cet article… ils vous sauveront peut-être vos prochaines vacances !

 

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Pourquoi devenons-nous plus rapidement malades en hiver ?

Comment se fait-il que nous soyons victimes (presque) chaque année des mêmes maladies ? Est-ce dû au froid ? Au faible taux d’ensoleillement ? Notre organisme devient-il plus fragile pendant cette période ? Nous allons tenter d’apporter quelques éléments de réponse.

D’une part, le confinement est un élément déterminant pour expliquer l’augmentation des maladies typiquement hivernales. Lorsque les températures commencent à baisser, la population a tendance à s’enfermer dans des espaces confinés et peu ventilés, ce qui augmente le risque de propagation des microbes et des infections.

D’autre part, contrairement aux croyances populaires, les microbes ne meurent pas lorsque la température descend en dessous de 0. Au contraire, la durée de vie d’un virus augmente lorsque les températures baissent et que le soleil est moins présent.

Quelques gestes à faire et habitudes à prendre pour booster son système immunitaire et prévenir la maladie

Quelques bonnes habitudes vous permettront de prévenir la propagation des virus et d’éviter de tomber malade en hiver.

  • Dormez suffisamment et adoptez un rythme régulier. Quand on dort, notre système immunitaire est régulé et renforcé par l’hormone du sommeil (la mélatonine).
  • Sortez couvert ! Couvrez-vous particulièrement le cou, qui est très sensible au froid. Pensez aussi à enlever des couches lorsque vous pénétrez dans une pièce chauffée. Les changements de températures brutaux peuvent tout aussi bien vous faire tomber malade.
  • Lavez-vous régulièrement les mains.
  • Si vous devez tousser ou éternuer, couvrez-vous la bouche et le nez avec votre manche ou un mouchoir à usage unique.
  • Aérez votre habitation : ouvrir ses fenêtres une fois par jour pendant 10 minutes permet de renouveler l’air et d’évacuer les microbes.

Dès que le thermomètre avoisine les 0°, notre alimentation change également. Nous favorisons les plats riches en graisses et en sucres. L’alimentation joue un rôle capital pour survivre aux coups de froids de l’hiver.

  • Ne sautez pas de repas. L’organisme a besoin de carburant pour compenser l’énergie dépensée pour affronter le froid.
  • Favorisez les fruits et les oléagineux (noix, amandes, noisettes, etc.) qui sont riches en nutriments.
  • Faites le plein de vitamines C. La vitamine C permet de freiner le vieillissement des cellules et stimule les défenses du corps.
  • Hydratez-vous. Il ne faut pas oublier de boire, même si le corps ne le réclame pas.

Le vaccin contre la grippe, le vrai du faux

En hiver, le virus de la grippe fait également son retour. Malgré l’existence d’un vaccin, celui-ci n’enregistre pas un taux d’efficacité de 100 %. Quoi qu’il en soit, la vaccination est le seul moyen de se protéger efficacement et pour la population à risque, de prévenir les complications, voire le décès.

Il est primordial de se faire vacciner chaque hiver car le virus de la grippe en circulation mute constamment. C’est la raison pour laquelle les vaccins contre la grippe saisonnière sont mis à jour tous les ans.

À titre de rappel, les antibiotiques ne sont d’aucun secours contre le virus de la grippe. Ils ne protègent que contre les infections bactériennes.

 

Source

Dandrifosse

Qu’est-ce que le monoxyde de carbone et pourquoi nous intoxique-t-il ?

Le CO est un gaz inodore et incolore qui s’échappe lors d’une combustion incomplète (gaz, charbon, mazout, etc.). Dans votre habitation, le CO peut venir de plusieurs endroits. On pense notamment aux appareils de chauffage et de production d’eau chaude.

Le monoxyde de carbone pénètre dans le sang via les voies respiratoires et entrave l’apport en oxygène à vos organes. Votre organisme est alors progressivement asphyxié. Dans les cas les plus graves, la victime perd connaissance et tombe dans le coma avant de décéder.

Chaque année en Belgique, les intoxications au CO sont responsables de quelque 30 à 40 décès et d’un millier d’hospitalisations. On estime que le CO est la première cause de décès par intoxication dans notre pays.

Symptômes et risques

Ce tueur silencieux est très difficile à identifier. C’est la raison pour laquelle d’année en année il fait toujours autant de victimes. En effet, les symptômes d’une intoxication au CO font souvent penser à un début de grippe ou à un simple étourdissement. Il est très facile de passer à côté d’un diagnostic correct.

Les principaux symptômes de l’intoxication au CO sont :

  • maux de tête et vertiges ;
  • nausées ;
  • troubles de la vision, de l’odorat et de l’attention ;
  • douleurs thoraciques, musculaires et abdominales.

Nous vous conseillons de poser votre diagnostic en fonction des circonstances d’apparition des symptômes. Par exemple, si un ou plusieurs membres de votre famille présentent ce genre de symptômes dans un espace précis (une salle de bain équipée d’un chauffe-eau au gaz, par exemple), il y a de grandes chances qu’ils aient été intoxiqués.

Que faire en cas d’intoxication ?

Voici les bons réflexes à avoir pour sauver des vies en cas d’intoxication :

  • aérer la pièce en ouvrant portes et fenêtres ;
  • arrêter les appareils en fonctionnement ;
  • évacuer les occupants des lieux ;
  • si la victime est inconsciente, la sortir du local et la placer en position latérale de sécurité ;
  • contacter le 112.

Si vous devez venir en aide à une victime, ne vous mettez pas en danger et évaluez les risques avant de vous exposer vous-même.

Comment prévenir une intoxication ?

Afin de prévenir les accidents et de garantir votre sécurité ainsi que celle de votre famille :

  • Vérifiez régulièrement l’état de votre chaudière et/ou de votre cheminée.
  • Faites appel à des professionnels pour la pose et l’entretien de vos installations.
  • Assurez une circulation continue de l’air dans les pièces (grille d’aération, fenêtre, etc.).

Vous pouvez également envisager l’installation d’un détecteur de CO dans les pièces à risque. Ces détecteurs sont destinés à suivre le taux de CO dans l’air et à donner un signal d’alarme lorsque la concentration en CO dépasse un seuil donné pendant un certain temps.

Il faut néanmoins rester vigilant, car ces appareils créent une fausse impression de sécurité. Ils ne sont pas infaillibles (fonctionnent sur piles, nécessitent un recalibrage régulier, etc.).

L’entretien régulier de vos appareils de chauffage reste aujourd’hui le meilleur moyen d’éviter d’être victime d’une intoxication au monoxyde de carbone.

 

Source

Dandrifosse

 

À qui vendre ma voiture ?

Vous pouvez vendre votre voiture directement à un particulier ou à un professionnel. Les deux formules ont leurs avantages et leurs inconvénients.  Dans les deux cas, un contrôle technique pour véhicule d’occasion sera nécessaire avant que la voiture ne puisse changer de propriétaire.

Particulier :

  • Généralement plus intéressant sur le plan financier, mais demande aussi plus de temps.
  • Vous devez réellement mettre votre voiture en valeur et son aspect extérieur sera donc important.
  • Les annonces (payantes) sur des sites internet faciliteront la vente, mais vous pouvez bien sûr aussi d’abord tenter votre chance sur les réseaux sociaux.

Professionnel :

  • Simple et rapide, mais le prix obtenu est généralement inférieur.
  • Même si votre voiture ne devra pas forcément être parfaitement en ordre, vérifiez bien son état. Tout marchand de voitures d’occasion cherchera à obtenir le prix le plus bas possible.
  • Si vous vendez votre voiture au concessionnaire auprès duquel vous achetez une nouvelle voiture, négociez d’abord le prix de celle-ci avant d’annoncer que vous voulez vendre l’ancienne pour éviter que le prix de la reprise n’influence la remise.

Des ventes sur parking sont organisées en différents endroits le dimanche matin. Ces ventes rassemblent particuliers et professionnels à la recherche de voitures. Vous toucherez donc un public plus large, mais le prix de vente sera généralement plus faible. Vous devrez en outre maîtriser l’art de la négociation. Enfin, méfiez-vous aussi des escrocs !

 

Comment déterminer le prix ?

Avant toute chose, posez un diagnostic de l’état de la voiture en faisant éventuellement appel à un garagiste. Faites réparer les petits défauts si et seulement si cela a une influence positive sur le prix que vous pourrez en retirer. La valeur de votre voiture dépendra de très nombreux facteurs :

  • Marque, modèle, cylindrée
  • Âge (année de mise en circulation)
  • Kilométrage
  • État de la voiture et options
  • Premier propriétaire ou non
  • Nombre d’accidents
  • Type de moteur (diesel, essence, …)

Faites attention aux détails quand vous vendez une voiture : nettoyez l’intérieur et l’extérieur, éliminez les petites griffes avec un peu de polish, réparez les petits défauts, … N’oubliez pas non plus que des photos de qualité pourront faire des miracles.

 

De quels documents ai-je besoin à la revente ?

Vous devez toujours disposer des documents suivants :

  • facture reprenant les données suivantes :
    • date de la vente
    • noms et adresses des acheteurs et vendeurs précédents
    • prix et conditions de paiement
    • caractéristiques de la voiture : marque, modèle, année de construction, cylindrée, puissance (kW), modèle de carrosserie, numéro de châssis, date de première mise en circulation, kilométrage au compteur et date de livraison
    • garantie de vente
    • prix de la reprise
  • demande d’immatriculation d’un véhicule (formulaire rose – valable deux mois. Si votre voiture n’est pas vendue dans les deux mois, vous devrez à nouveau la faire passer au contrôle technique)
  • certificat de conformité
  • certificat de contrôle
  • rapport d’occasion
  • Car-Pass avec historique kilométrique du véhicule

Bonne chance pour la vente de votre voiture !

 

Source

AG insurance

Vous souhaitez investir votre argent dans un portefeuille bien diversifié ? Vous êtes en outre sensible à l’aspect éthique de votre investissement ?
Alors pourquoi ne pas opter pour un fonds socialement responsable ?

Vu le climat économique actuel, de nombreux clients ont une aversion au risque. Un portefeuille bien diversifié sur une durée suffisamment longue peut fournir de beaux résultats, d’autant plus s’il contient des fonds thématiques solides. De nombreux sujets d’actualité donnent lieu à une prise de conscience générale : réchauffement climatique, émissions de CO2, agitation sociale à travers le monde, etc. Vous êtes nombreux à vouloir désormais donner du sens à vos placements, tout en conservant un certain niveau de protection et en visant un rendement potentiellement élevé. Les investissements socialement responsables (ISR) combinent ces critères. Ils offrent non seulement un rendement potentiellement appréciable mais aussi une contribution positive pour l’environnement et la société.

Un investissement socialement responsable vise à concilier performance économique et impact social et environnemental en finançant les entreprises et les entités publiques qui contribuent au développement durable quel que soit leur secteur d’activité.

Sont généralement considérés comme « socialement responsables », les fonds sélectionnant principalement des placements tenant compte de 3 dimensions non financières, plus connues sous le sigle ESG (acronyme pour environnement, social et gouvernance) :

  • Environnement
    La dimension environnementale vise les répercussions de l’activité d’une société sur l’environnement et ses efforts déployés pour les limiter. Cela se traduit par la sélection d’entreprises qui font preuve d’une gestion efficace des ressources naturelles, qui réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre ou qui présentent un système de recyclage plus performant.
  • Société
    La dimension sociale (ou sociétale) examine le comportement d’une entreprise vis-à-vis des règles en vigueur en matière de droit du travail et des droits de l’homme. Les entreprises qui ont recours au travail des enfants ou qui sont connues pour corruption sont ainsi automatiquement exclues du fonds.
  • Gouvernance
    La dimension de gouvernance porte sur la manière dont l’entreprise est dirigée et contrôlée. La transparence, l’indépendance du conseil d’administration et le respect des droits des actionnaires sont des critères qui favorisent la sélection d’une entreprise dans un fonds socialement responsable.

Grâce à l’utilisation d’un filtre ESG, les instruments de placement qui sont sélectionnés répondent à la plupart de ces dimensions.

Ces investissements fonctionnent de la même manière que les investissements traditionnels et ne sont pas nécessairement plus ou moins rentables que ces derniers.

Les solutions ISR sont notamment disponibles tant via des placements bancaires que via des assurances-placements de la branche 23.

 

Source

AG insurance

La digitalisation est le principal moteur de l’innovation et de la croissance. À terme, toute entreprise – petite ou grande – fera bien de s’y mettre. Qu’en est-il dans votre entreprise ?

Les entreprises belges sont parmi les bons élèves

Bonne nouvelle ! La Belgique se classe neuvième des 28 États membres dans le classement 2019 de la Commission Européenne sur la compétitivité digitale. Ce score s’explique en partie par notre couverture haut débit complète et par l’accès au réseau 4G pour 100 % des foyers.

Avec une troisième place dans le domaine de l’intégration des technologies digitales, les entreprises belges se classent bien elles aussi. Nos entreprises obtiennent des résultats supérieurs à la moyenne européenne en matière d’utilisation de services dans le cloud, d’utilisation des réseaux sociaux et de vente en ligne.

Les PME et les indépendants doivent s’y mettre aussi

Les petites entreprises et les indépendants de secteurs traditionnels – de la boulangerie à la librairie – ne sont pas toujours conscients de l’importance d’une stratégie digitale.

Et ce, alors qu’il existe des technologies digitales sur mesure pour les PME et les indépendants en matière de marketing, de processus de production et d’organisation du travail.
Quelques exemples :

  • communication via le site internet, les réseaux sociaux et par e-mail
  • e-commerce
  • gestion digitale des stocks
  • caisses intelligentes sans contact
  • agendas électroniques

Certes, réaliser des évolutions digitales dans votre entreprise nécessite du temps, de l’argent et des connaissances, mais l’investissement porte ses fruits. En effet, les PME qui embrassent le digital connaissent une croissance plus rapide, créent plus d’emplois et tirent plus de revenus des exportations.

Les entrepreneurs partagent leurs succès sur le plan digital

Le SPF Économie a récemment lancé une campagne de sensibilisation en ligne pour aider les indépendants et les chefs d’entreprise. Le gouvernement souhaite être une source d’inspiration en proposant les success stories d’entrepreneurs qui se sont attaquées à la digitalisation de leur entreprise. Envie de découvrir comment d’autres petites entreprises et indépendants s’y prennent ? Rendez-vous sur jepasseaudigital.be.

Vous êtes vous-même actif dans le domaine du support digital ? Vous pouvez soumettre votre proposition de projet au SPF Économie. L’objectif : aider un maximum de PME sur le plan digital avec un investissement limité. Un jury sélectionnera et financera les meilleurs projets pour ensuite les présenter aux PME.

Source

www.brokernewsletter.be/fr-be/news/passez-au-digital?bro_weblist_cli=E8A2V9S1Y1G4M3X5O4B7E9E7F4S1R9P3

Vous êtes indépendant ou profession libérale en personne physique ou en société ? Vous êtes un particulier ?

Vous n’êtes pas à l’abri d’un accident ou d’une maladie. La perte de revenus engendrée peut vous être fortement dommageable. L’assurance « revenu garanti » vous met à l’abri financièrement. Cette assurance revêt différentes formes :

• rente en cas d’invalidité pour cause de maladie ou d’accident
• rente en cas d’invalidité pour cause de maladie
• rente en cas d’invalidité pour cause d’accident
• capital en cas d’invalidité totale et permanente

Ce conseil est présenté à titre purement informatif. Il ne saurait tenir compte d’une éventuelle évolution législative récente en la matière.

 

La constitution de votre pension s’articule autour de 3 piliers :

Le 1° pilier

La pension légale : la pension moyenne est de 1.200par mois. Dès lors, il est important de combler les insuffisances de la pension légale par une pension complémentaire

 

Le 2° pilier

La Pension Libre Complémentaire pour Indépendants (PLCI) : vous permet de vous constituer une pension confortable grâce à une fiscalité avantageuse et une rentabilité intéressante : le capital est garanti et le rendement est attrayant

  • vous payez moins d’impôts et de cotisations sociales
  • vous bénéficiez d’un rendement maximal augmenté annuellement de participations bénéficiaires exonérées d’impôt
  • vous composez votre assurance « à la carte » en optant pour des garanties dont vous avez besoin et que vous pouvez modifier à tout moment : garantie « décès », garantie complémentaire « invalidité »

L’Engagement Individuel de Pension (EIP) pour dirigeant d’entreprise indépendant : vous permet de financer votre plan pension par votre entreprise à des conditions fiscales favorables. Il est le complément idéal pour les dirigeants d’entreprise indépendants.

  • vos avantages :
    • – l’entreprise prend à sa charge les cotisations de votre EIP
    • – vous bénéficiez de droits acquis sur le contrat, ce qui vous protège en cas de reprise ou d’absorption de la société, de faillite
    • – vous choisissez votre formule de capitalisation (taux de base), augmentée d’une participation bénéficiaire
    • – vous pouvez utiliser votre engagement de pension dans le cadre d’un crédit hypothécaire
    • – vous choisissez les garanties complémentaires en cas de décès ou d’incapacité de travail
  • les avantages pour votre société:
    • votre entreprise paie les cotisations de votre EIP et bénéficie des avantages fiscaux liés moyennant le respect de la règle des 80% et 100%
    • votre entreprise peut vous constituer un plan de pension sur mesure

Le contrat INAMI pour professions libérales (médecin, dentiste, kiné, pharmacien conventionnés, infirmier(e) ) : vous pouvez utiliser la cotisation annuelle de l’INAMI pour constituer votre pension complémentaire. Outre un régime fiscal favorable, vous bénéficiez aussi d’un investissement sûr qui vous garantit un rendement attractif.

CPTI ou Convention de Pension pour Travailleurs Indépendants.

C’est la nouvelle solution de constitution de pension complémentaire pour Indépendants sans société.
Avantages de la CPTI :

  • vous bénéficiez d’une réduction d’impôts de 30% sur vos versements (suivant la règle des 80%)
  • le capital final est imposé à un taux avantageux (10%)
  • vous pouvez ajouter une assurance incapacité de travail et décès afin de protéger votre entreprise et votre famille.

Assurance groupe Salarié

Cette assurance pension est un contrat conclu par l’employeur pour (une partie) de son personnel ; elle peut comprendre différentes garanties :

  • constitution d’un pension
  • une couverture décès
  • une couverture incapacité de travail
  • une assurance hospitalisation

En tant que salarié d’une entreprise et en accord avec votre employeur, cette assurance peut faire partie de votre Package Salarial.

Le 3° pilier

Tout comme le 2° pilier, il est facultatif et ne concerne que les contrats individuels, à savoir

– l’assurance vie individuelle (immunisée ou non)

– l’épargne pension

Pour plus d’informations sur les 2° et 3° piliers, prenez rendez-vous avec votre conseiller.