Chaque année, la question revient :
« Pourquoi ma prime d’assurance augmente-t-elle encore ? ». Pourtant, ces augmentations ne sont pas le fruit du hasard ou d’une quelconque volonté de nuire au portefeuille des assurés. Elles résultent simplement des réalités économiques que nous vivons tous.
Explications.

 

Les salaires et l’inflation : un contexte incontournable

Prenons l’exemple des salaires en Belgique. En 2023, ceux-ci ont connu une augmentation moyenne de 11 % en raison de l’indexation automatique liée à l’inflation. Cette augmentation n’est pas facultative : c’est une mesure légale qui permet aux travailleurs de maintenir leur pouvoir d’achat face à la hausse générale des prix. Cette hausse salariale impacte directement les coûts de fonctionnement des entreprises, y compris les compagnies d’assurances et les courtiers comme nous.

Ensuite, parlons de l’inflation. En 2022, elle a atteint des sommets avec un taux dépassant les 10 %, du jamais vu depuis des décennies en Belgique. Les matières premières, les énergies, les services, tout a augmenté. Par exemple :

  • Le prix de l’électricité a bondi de plus de 80 % en deux ans.
  • Le litre d’essence a franchi plusieurs fois la barre des 2 euros.
  • Le prix du pain a grimpé de 10 à 15 % en moyenne depuis 2021.

Face à cela, les consommateurs acceptent de payer un peu plus cher pour ces produits sans exiger de négocier avec leur boulanger ou leur pompiste.
Mais quand il s’agit des assurances, une incompréhension persiste. Pourtant, nous ne sommes pas en dehors de cette réalité économique : les assureurs doivent eux aussi absorber ces augmentations.

Les coûts réels pour les assureurs : sinistres et réparations

Les primes d’assurance servent principalement à couvrir les sinistres : réparations de voitures, indemnisations de dégâts matériels, soins médicaux, etc. Or, ces coûts explosent.

  • L’indice ABEX, qui mesure l’évolution du coût de la construction, a augmenté de près de 30 % depuis 2021. Construire ou réparer une habitation coûte aujourd’hui nettement plus cher en matériaux et en main-d’œuvre.
  • Les pièces détachées automobiles voient leurs prix s’envoler (+10 à 15 % annuels en moyenne), conséquence des pénuries et de l’augmentation des frais de transport.
    Réparer un véhicule coûte donc bien plus cher qu’avant. Et le remplacer aussi.
  • Les frais médicaux suivent aussi la même courbe ascendante avec une augmentation de l’indice santé de 21,7% entre 2020 et fin 2023.

Pour assurer un service de qualité et continuer à indemniser rapidement les sinistres, les assureurs devraient répercuter ces hausses sur les primes. Mais ils ne l’ont pourtant pas fait de manière significative.

En effet, si entre 2019 et 2024 les primes d’assurances auto ont augmenté de 11,7% en moyenne, le coût moyen d’un sinistre a lui été majoré de 17,3% durant la même période alors que le tarif horaire des garagistes bondissait de 21,3% (sources: HelloSafe et FLEET)…

Le rôle des courtiers : assurer la qualité malgré les défis

En tant que courtiers, nous ne sommes pas épargnés. Pour continuer à vous servir efficacement, nous devons valoriser le travail de notre équipe, supporter les coûts de fonctionnement croissants (salaires, énergie, loyers…) et toujours investir pour vous offrir le service que vous êtes en attente de recevoir.

Notre mission reste la même : vous accompagner, vous conseiller, et vous trouver les solutions les plus adaptées à vos besoins, même dans ce contexte inflationniste. Une assurance est bien plus qu’un coût : c’est une protection essentielle, un filet de sécurité lorsque l’imprévu survient.

Une réalité à accepter, avec bon sens

Personne ne marchande le prix de son pain ou de son plein de carburant. Pourquoi le ferait-on pour une assurance, qui a un rôle crucial dans notre quotidien ? Accepter les hausses de primes, c’est aussi reconnaître que derrière celles-ci, il y a des travailleurs, des coûts réels, et une promesse : celle de vous protéger au mieux, quoi qu’il arrive.

Chez Detrembleur & Partners, nous comprenons vos préoccupations. Mais nous croyons fermement que la qualité et la fiabilité ont un prix. Et notre engagement reste intact : être là pour vous, dans les bons et surtout dans les mauvais moments.

Pour en parler ensemble et analyser vos besoins, nous restons à votre écoute.

La donation est un moyen efficace d’organiser la transmission de son patrimoine. Que ce soit pour réduire les droits de succession ou soutenir vos proches de votre vivant, elle permet de planifier votre héritage de manière personnalisée.

Qu’est-ce qu’une donation et dans quelles conditions peut-elle être réalisée ?

La donation consiste à transférer un bien (mobilier ou immobilier) de votre vivant, sans contrepartie financière. Elle est en principe irrévocable, sauf exceptions prévues par la loi (ingratitude, non-respect des conditions).

Quand peut-on donner ?

Vous pouvez effectuer une donation à tout moment, mais il est essentiel de respecter les conditions légales suivantes :

  • Capacité juridique : Vous devez être majeur et pleinement capable juridiquement.
  • Respect des droits des héritiers réservataires : En Belgique, certains héritiers (enfants et conjoint survivant) disposent d’une part du patrimoine, appelée « réserve ». Une donation ne doit pas empiéter sur cette part protégée.
  • Clause de survie : Si le donateur décède dans les 3 ans (ou 5 ans en Wallonie) suivant une donation mobilière non enregistrée, les biens donnés seront réintégrés dans l’assiette des droits de succession.

Enregistrer ou non une donation : un choix stratégique

En Belgique, il est possible de procéder à une donation sans enregistrement, en particulier pour les biens mobiliers (argent, bijoux, actions). Voici les implications principales :

  • Donation enregistrée : Le paiement immédiat des droits de donation, généralement moins élevés que les droits de succession. Si le donateur décède dans les 5 ans, les biens donnés ne seront pas réintégrés dans la succession, ce qui sécurise les héritiers fiscalement.
  • Donation non enregistrée : Aucun droit de donation n’est payé initialement. Cependant, si le donateur décède dans les 5 ans en Wallonie, les biens donnés sont soumis aux droits de succession (souvent plus élevés). En revanche, si le donateur survit plus de 5 ans, aucun droit de donation ni de succession n’est dû, ce qui peut représenter une économie substantielle.

Assurance donation : protéger le bénéficiaire d’une donation non enregistrée

Pour atténuer le risque fiscal lié à une donation non enregistrée, le bénéficiaire peut souscrire une assurance donation. Ce contrat garantit le versement d’un capital suffisant pour couvrir les droits de succession en cas de décès du donateur dans les 3 ou 5 ans suivant la donation.

Exemple :
Marie souhaite donner 50 000 € à son fils Lucas par un don manuel non enregistré. Pour se prémunir contre les droits de succession en cas de décès prématuré, Lucas souscrit une assurance donation couvrant le montant des droits potentiels. Si Marie décède dans ce délai, l’assurance versera le capital nécessaire pour payer les droits sans que Lucas doive puiser dans la donation.

Cette option est particulièrement utile pour les donations mobilières ou les versements importants, permettant une transmission optimale du patrimoine avec un coût limité.

Quels biens peut-on donner ?

  1. Biens mobiliers : Argent, bijoux, œuvres d’art, actions, etc. Ils peuvent être donnés de manière :
    • Manuelle : Transfert direct du bien (par exemple, un virement bancaire pour une somme d’argent).
    • Notariée : Acte officiel pour sécuriser la donation.
  2. Biens immobiliers : Maison, appartement, terrain. Toute donation immobilière nécessite un acte notarié.

Exemples pratiques : Quand envisager une donation ?

Exemple 1 : Aider ses enfants à s’installer
Paul, 60 ans, souhaite soutenir sa fille Élodie, qui achète sa première maison. Il décide de lui faire une donation de 50 000 € pour constituer son apport personnel. Il opte pour une donation enregistrée (taxes payées immédiatement). Cela évite qu’Élodie ait à payer des droits de succession si Paul décède dans les trois ans.

Exemple 2 : Réduire les droits de succession sur une maison
Claire, propriétaire d’une maison d’une valeur de 350 000 €, souhaite anticiper la transmission de ce bien à ses enfants pour limiter les droits de succession. En Région wallonne, si elle transmet cette maison par donation 10 ans avant son décès, les droits à payer s’élèveront à 31 500 €. En revanche, si la maison est transmise par succession, les droits atteindraient 42 625 €. Grâce à la donation anticipée, ses enfants économisent 11 125 €, tout en bénéficiant d’une meilleure visibilité sur leur patrimoine.

Pourquoi envisager une donation ?

  • Anticiper la transmission : Organiser de son vivant une répartition équitable du patrimoine évite les disputes familiales.
  • Réduire les droits de succession : Une donation enregistrée diminue la base taxable de l’héritage.
  • Soutenir ses proches : Aider à financer des projets importants (achat immobilier, études, création d’entreprise).

Les droits de donation et succession : quelles implications fiscales ?

Droits de donation
Les taux varient selon :

  • La région (Wallonie, Bruxelles, Flandre).
  • Le lien de parenté entre le donateur et le donataire.
  • La nature du bien donné (mobilier ou immobilier).

En ligne directe (parent-enfant), les taux sur les biens mobiliers sont généralement fixes (3-7 %).

Conclusion

La donation est un outil de planification patrimoniale puissant. En anticipant, vous pouvez transmettre une partie de votre patrimoine de manière efficace, réduire les droits de succession pour vos héritiers et soutenir vos proches au bon moment. L’assurance donation constitue un moyen stratégique pour minimiser les risques liés aux donations non enregistrées, tout en préservant les avantages fiscaux potentiels. Cependant, chaque situation est unique. Avant d’agir, il est recommandé de consulter un notaire pour bénéficier d’un conseil adapté à votre situation personnelle et familiale.

De nombreux entrepreneurs et indépendants se demandent à quel moment il devient pertinent de créer une société.

Souvent, il est plus simple de démarrer en tant qu’indépendant, mais dès que l’activité génère un chiffre d’affaires significatif, les avantages de la société peuvent justifier une transition. Voici une analyse des points clés à considérer, suivie d’un exemple concret.

 

1. Pourquoi créer une société ?

  • Protection du patrimoine personnel : En créant une société, l’entrepreneur sépare ses biens personnels des actifs de l’entreprise. Cela signifie qu’en cas de difficultés financières, seul le capital de la société est engagé, et non les biens personnels de l’entrepreneur.
  • Fiscalité potentiellement avantageuse : Les sociétés bénéficient de l’impôt des sociétés (ISOC), qui est souvent plus bas que l’impôt des personnes physiques (IPP). Ce dernier est progressif, tandis que l’ISOC applique un taux fixe (souvent 20 % pour les petites entreprises, 25 % pour les autres).
  • Meilleure crédibilité et financement : Les sociétés sont perçues comme plus fiables par les clients, fournisseurs et investisseurs. Elles facilitent également l’accès aux financements bancaires.

2. Comparaison entre impôt des personnes physiques (IPP) et impôt des sociétés (ISOC)

  • Indépendant soumis à l’IPP :
    • Taux progressif allant jusqu’à 50 % en fonction du revenu.
    • Cotisations sociales à hauteur de 20,5 % du revenu.
  • Société soumise à l’ISOC :
    • Taux fixe (souvent 20 % pour les premiers bénéfices).
    • Dividendes soumis à un précompte mobilier (habituellement 15 %).

3. Exemple concret : comparaison des deux régimes fiscaux

Prenons un entrepreneur avec un chiffre d’affaires de 100 000 €, et des frais professionnels de 30 000 €. Le bénéfice net est donc de 70 000 €.

En tant qu’indépendant :

  • Bénéfice net : 70 000 €
  • Impôt sur le revenu (supposons un taux moyen de 45 %) : 31 500 €
  • Cotisations sociales (20,5 %) : 14 350 €
  • Revenu après impôts : 24 150 €

En tant que société :

  • Bénéfice net : 70 000 €
  • Impôt des sociétés (taux de 20 %) : 14 000 €
  • Bénéfice restant : 56 000 €
  • Dividendes distribués, avec précompte mobilier de 15 % : 8 400 €
  • Revenu après impôts : 47 600 €

Dans cet exemple, le passage en société permet de doubler le revenu après impôts, mais il est important de prendre en compte les coûts supplémentaires associés à la gestion d’une société.

4. Les coûts et obligations d’une société

Passer en société implique des frais et des obligations supplémentaires :

  • Frais de création : Honoraires de notaire, frais d’enregistrement et d’inscription à la Banque-Carrefour des Entreprises.
  • Comptabilité stricte : Une société doit tenir une comptabilité double, ce qui augmente les honoraires de comptable.
  • Obligations légales : Dépôt des comptes annuels, assemblées générales, et autres formalités administratives.

Ces coûts sont souvent justifiés à partir d’un bénéfice net annuel d’environ 50 000 € à 70 000 €, selon le secteur d’activité et les perspectives de croissance de l’entreprise.

5. Consulter un expert-comptable : une étape essentielle

La décision de passer en société ne doit pas être prise à la légère. Bien que cet article fournisse des bases de réflexion, chaque situation est unique. Les conseils d’un expert-comptable sont indispensables pour :

  • Réaliser des simulations fiscales et évaluer les avantages du passage en société.
  • Analyser les implications financières, juridiques et fiscales.
  • Accompagner l’entrepreneur dans la transition pour maximiser les bénéfices et limiter les risques.

Conclusion

Le passage en société n’est pas seulement une question de chiffre d’affaires. Il s’agit d’une décision stratégique qui doit tenir compte de la fiscalité, de la protection du patrimoine et des perspectives de croissance. Bien que les avantages fiscaux deviennent souvent intéressants dès que les bénéfices dépassent 50 000 €, cette transition doit être préparée avec soin et accompagnée par un professionnel. Seul un expert-comptable pourra fournir une analyse personnalisée et aider l’entrepreneur à faire le choix le plus judicieux pour son activité.

En résumé, si votre chiffre d’affaires et vos bénéfices augmentent, et que vous souhaitez protéger vos biens personnels tout en optimisant votre fiscalité, il est probablement temps de considérer sérieusement la création d’une société.

La CPTI : l’étape suivante après avoir maximisé votre PLCI

La Pension Libre Complémentaire pour Indépendants (PLCI) est souvent le premier choix pour les travailleurs indépendants souhaitant se constituer une épargne-pension avantageuse.

Une fois le plafond annuel de la PLCI atteint (3 965,77 € en 2024), comment continuer à épargner efficacement pour votre retraite tout en bénéficiant d’avantages fiscaux ? C’est ici que la Convention de Pension pour Travailleur Indépendant (CPTI) prend tout son sens.

Pourquoi envisager la CPTI après la PLCI ?

La CPTI est conçue pour les indépendants qui ont déjà maximisé leurs cotisations PLCI et souhaitent aller plus loin dans la préparation de leur retraite. Voici en quoi elle peut être bénéfique :

  1. Optimisation des avantages fiscaux : Une fois le plafond de la PLCI atteint, il n’est plus possible de cotiser davantage via ce produit. La CPTI vous permet de continuer à épargner pour la retraite tout en bénéficiant d’une déduction fiscale supplémentaire pouvant atteindre 30 % sur vos cotisations.
  2. Respect de la règle des 80 % : La règle des 80 % impose que la pension totale (légale et complémentaire) ne dépasse pas 80 % de vos revenus professionnels. Si vos cotisations PLCI ne suffisent pas à atteindre ce plafond, la CPTI permet de compléter la différence et d’augmenter ainsi votre pension globale.

Exemple concret

Prenons l’exemple de Laurent, un consultant indépendant. Il verse déjà la cotisation maximale annuelle dans sa PLCI, soit 3 965,77 € en 2024. Laurent génère un revenu annuel net de 70 000 €, ce qui lui permet de continuer à investir dans une CPTI. En cotisant 5 000 € par an dans une CPTI, il bénéficie d’une réduction fiscale de 30 %, soit une économie d’impôt de 1 500 €. Grâce à ce complément, il augmente significativement son capital retraite tout en optimisant ses avantages fiscaux.

Quand la CPTI est-elle pertinente ?

La CPTI est une solution particulièrement avantageuse si :

  • Vous avez atteint le plafond annuel de la PLCI et souhaitez continuer à épargner pour votre retraite tout en optimisant vos déductions fiscales.
  • Votre revenu annuel net est supérieur à 50 000 €, vous permettant ainsi de maximiser vos cotisations supplémentaires tout en respectant la règle des 80 %.
  • Vous désirez diversifier votre épargne-pension et constituer un capital retraite plus important, en complément de la PLCI.

Les avantages de la CPTI en un coup d’œil

  1. Réduction d’impôt jusqu’à 30 % : Vos cotisations sont déductibles, tant que vous respectez la règle des 80 %.
  2. Taxation favorable du capital final : Au moment du retrait, le capital accumulé est taxé à un taux réduit de seulement 10 %, bien inférieur aux taux d’imposition classiques.
  3. Flexibilité des versements : Vous choisissez le montant et la fréquence de vos cotisations, et vous pouvez même effectuer des backservices pour rattraper les années où vous n’aviez pas encore souscrit une CPTI.

Conclusion : Un duo gagnant pour une retraite sereine

Si vous avez déjà maximisé vos versements dans la PLCI, la CPTI représente un complément parfait pour continuer à constituer votre épargne-pension. Elle vous offre une flexibilité et des avantages fiscaux supplémentaires qui peuvent faire toute la différence pour votre retraite.

 

 

Vous travaillez au Luxembourg tout en résidant en Belgique ? Si oui, vous avez sans doute remarqué que les produits d’épargne-pension belges ne sont pas optimisés pour votre situation, car ils ne vous apportent aucun avantage fiscal.

Heureusement, il existe une alternative adaptée aux travailleurs frontaliers : le contrat de pension 111bis luxembourgeois. Ce produit, proposé directement par Detrembleur & Partners, vous permet d’épargner pour votre retraite tout en bénéficiant d’avantages fiscaux et sans avoir besoin de vous tourner vers un agent d’assurance luxembourgeois. Un avantage considérable pour simplifier vos démarches !

Qu’est-ce que le contrat 111bis ?

Le contrat de pension 111bis est une solution d’épargne-pension conçue spécialement pour les salariés au Luxembourg. Il s’agit d’un produit financier permettant de constituer un capital pour votre retraite grâce à des versements réguliers ou ponctuels, avec un plafond de cotisation annuelle de 3 200 €. Ce contrat est particulièrement avantageux pour les frontaliers belges, car les cotisations sont déductibles de vos revenus imposables au Luxembourg, ce qui vous permet de réduire directement votre base imposable.

Avantages fiscaux : économisez sur vos impôts

Le principal intérêt du contrat 111bis réside dans l’économie d’impôt immédiate qu’il procure. Les cotisations que vous versez chaque année sont déductibles de votre revenu imposable au Luxembourg. Cela signifie que plus vous cotisez, plus vous réduisez vos impôts.

Exemple chiffré :

Prenons l’exemple d’un salarié frontalier qui gagne 60 000 € brut par an :

  • Prime maximale annuelle : 3 200 €
  • Revenu imposable avant souscription : 60 000 €
  • Revenu imposable après souscription : 56 800 € (60 000 € – 3 200 €)

Si votre taux marginal d’imposition est de 30 %, l’économie d’impôt réalisée est de 960 € par an (3 200 € x 30 %). Cet avantage fiscal est immédiat et se cumule chaque année.

Une épargne pour un avenir serein

En plus des économies d’impôt, le contrat 111bis vous permet de constituer un capital retraite solide. Les cotisations versées sont investies dans des fonds financiers qui génèrent des rendements sur le long terme. Avec un rendement annuel moyen estimé de 2,6 %, ce produit d’épargne est conçu pour offrir une croissance stable et sécurisée de votre capital.

Exemple de constitution de capital

Pour illustrer le potentiel du contrat de pension 111bis, voici un exemple concret :

  • Âge de départ : 35 ans
  • Âge de départ à la retraite : 65 ans
  • Versement annuel : 3 200 € (maximum autorisé)
  • Rendement annuel moyen : 2,6 %

En effectuant des versements de 3 200 € chaque année pendant 30 ans, et en bénéficiant d’un rendement moyen de 2,6 %, vous constitueriez un capital final d’environ 150 000 €. Ce capital pourra être perçu sous forme de rente ou en capital unique, selon vos préférences et vos besoins à la retraite.

Pourquoi choisir Detrembleur & Partners pour votre contrat 111bis ?

Chez Detrembleur & Partners, nous avons la possibilité de vous proposer directement ce produit d’épargne-pension sans que vous ayez besoin de vous tourner vers un agent d’assurance au Luxembourg. C’est un avantage majeur pour vous, car cela simplifie les démarches administratives et vous permet de bénéficier de nos conseils personnalisés, tout en restant avec votre interlocuteur habituel. Vous avez ainsi l’assurance d’une approche sur-mesure et d’un accompagnement de qualité.

Une solution flexible et sécurisée

Le contrat de pension 111bis vous offre une grande flexibilité en termes de gestion des cotisations et des choix d’investissement. Vous pouvez adapter vos versements à votre situation financière et opter pour des placements prudents ou plus dynamiques en fonction de vos objectifs. De plus, le système financier luxembourgeois est réputé pour sa stabilité et sa transparence, garantissant ainsi une sécurité renforcée de vos actifs.

Pourquoi souscrire à un contrat 111bis aujourd’hui ?

  1. Optimisation fiscale immédiate : Réduisez votre base imposable au Luxembourg et économisez chaque année sur vos impôts.
  2. Constitution d’un capital retraite significatif : Préparez votre retraite avec une épargne stable et performante.
  3. Flexibilité et choix d’investissement : Adaptez votre contrat à vos besoins et à votre tolérance au risque.
  4. Accompagnement sur-mesure : Souscrivez votre contrat directement auprès de Detrembleur & Partners, sans passer par un agent luxembourgeois, pour un service simplifié et personnalisé.

Comment souscrire ?

Il vous suffit de nous contacter pour prendre rendez-vous avec l’un de nos conseillers experts. Ensemble, nous définirons vos objectifs, choisirons la stratégie d’investissement qui vous convient et mettrons en place votre contrat de pension 111bis. N’attendez pas pour commencer à épargner et profitez des avantages dès maintenant !

Conclusion : un choix malin pour votre avenir

Le contrat de pension 111bis est la solution idéale pour les frontaliers belges travaillant au Luxembourg. Avec des avantages fiscaux, une constitution de capital solide et un service personnalisé offert par Detrembleur & Partners, vous avez toutes les raisons de commencer à préparer votre retraite sereinement. Contactez-nous dès aujourd’hui pour en savoir plus et souscrire à ce produit d’épargne performant.

Rédiger un testament est une étape importante pour organiser la répartition de votre patrimoine après votre décès. C’est une façon de vous assurer que vos volontés seront respectées et que vos biens seront transmis selon vos souhaits.

Dans cet article, nous allons passer en revue les étapes clés pour rédiger un testament valide, les erreurs à éviter, et les bonnes pratiques à adopter pour optimiser la succession.

 

 1. Pourquoi rédiger un testament ?

Le droit successoral belge détermine par défaut la répartition de vos biens, souvent en faveur des membres de votre famille.

Cependant, il est possible que vous souhaitiez léguer une partie de vos biens à des amis proches, des partenaires de vie non mariés, ou des associations caritatives. Sans testament, ces personnes pourraient ne recevoir aucune part de votre héritage.

Exemple concret : Si vous souhaitez léguer une somme d’argent à votre partenaire de cohabitation légale, celui-ci n’a pas droit à une réserve légale. Un testament vous permet de garantir cette transmission et d’éviter des litiges familiaux.

 2. Les étapes pour un testament valide

Un testament doit être rédigé avec soin pour être juridiquement valable. Voici les étapes à suivre :

–  Ne tardez pas à rédiger votre testament:

Vous pouvez commencer dès que vous avez accumulé un certain patrimoine. Il est important de l’établir lorsque vous êtes en pleine possession de vos capacités mentales. Les changements imprévus dans votre état de santé peuvent entraîner des complications juridiques.

– Respectez la réserve héréditaire.

En Belgique, une part de votre patrimoine est réservée à vos héritiers directs (conjoint et enfants).
Par exemple, si vous avez des enfants, la moitié de votre patrimoine leur revient automatiquement. Vous pouvez disposer librement de l’autre moitié.

Exemple : Si vous souhaitez léguer une propriété à un ami, vous ne pourrez le faire que sur la partie de votre patrimoine non réservée à vos enfants. Sinon, ces derniers pourraient contester le testament.

3. Rédiger soi-même ou faire appel à un notaire ?

Vous avez le choix entre rédiger votre testament vous-même (testament olographe) ou le faire établir par un notaire (testament authentique).

– Testament olographe : Il est écrit à la main, daté et signé par le testateur. Bien que gratuit, il comporte des risques de nullité si les formulations ne respectent pas les exigences légales.

– Testament authentique : Rédigé par un notaire, il offre une garantie de validité. Le notaire vérifie que vous êtes sain d’esprit et vous protège contre toute pression extérieure. Les coûts varient selon la complexité du testament, mais l’assurance de sa conformité en fait une option recommandée.

Exemple concret : Un testateur rédige son testament à la main et lègue « le tableau du salon à mon neveu ». Ce manque de précision pourrait entraîner des disputes, car plusieurs tableaux peuvent être considérés comme étant « dans le salon ». Avec un testament notarié, ces ambiguïtés sont évitées.

4. Attention aux pièges courants

Les erreurs dans la rédaction d’un testament sont fréquentes et peuvent entraîner son annulation :

– Manque de clarté :

Soyez précis dans vos formulations. Par exemple, au lieu de « je lègue ma voiture à mon fils », préférez « je lègue ma voiture de marque Renault Clio immatriculée ABC-123 à mon fils Jean Dupont ».

– Risques de perte :

Les testaments olographes sont souvent mal conservés. Ils peuvent être perdus ou ne jamais être retrouvés après votre décès. Il est recommandé de déposer le document chez un notaire, qui l’inscrira au Registre central des testaments.

5. Donations : une alternative intéressante

Les héritiers doivent payer des droits de succession, souvent élevés. Une donation de votre vivant peut être une stratégie efficace pour réduire ces coûts.

– Donation simple : Vous pouvez donner une somme d’argent ou un bien à un bénéficiaire. Les taux d’imposition des donations sont inférieurs à ceux des droits de succession, ce qui permet de diminuer les charges fiscales.

Exemple : Vous faites don de 50 000 € à votre fille avant votre décès. Cette donation sera taxée à un taux réduit par rapport à un héritage équivalent, réduisant ainsi la facture fiscale.

– Donation avec réserve d’usufruit : Vous pouvez donner un bien immobilier tout en conservant le droit de l’utiliser ou de percevoir les revenus locatifs. Cette solution permet de transférer la propriété tout en assurant votre confort.

6. Inclure des charges et conditions dans le testament

Il est possible d’ajouter des conditions ou des charges à vos legs pour que l’héritage soit géré selon vos souhaits.

Exemple : Vous léguez une somme d’argent à votre fils avec la condition qu’il finance les études de ses propres enfants. Cela permet de s’assurer que vos petits-enfants bénéficieront directement de l’héritage.

Attention, certaines conditions peuvent être contestées par les bénéficiaires si elles sont jugées excessives ou contraignantes.

7. Tenir votre testament à jour

Les situations familiales évoluent, tout comme la législation. Il est donc conseillé de revoir le contenu de votre testament chaque année et de l’adapter si nécessaire.

Exemple : Vous aviez initialement prévu de léguer une partie de votre patrimoine à votre beau-fils, mais après un divorce, vous décidez de modifier le testament. Un simple oubli de mise à jour pourrait entraîner des conséquences imprévues pour vos héritiers.

8. Les implications fiscales du testament

Les droits de succession varient en fonction de la région, du lien de parenté et de la valeur de l’héritage. Il est important de comprendre ces implications pour optimiser la transmission de votre patrimoine.

Exemple : Un héritage en Wallonie est soumis à des taux différents de ceux appliqués à Bruxelles. Planifier en fonction de ces différences peut permettre d’économiser des sommes importantes.

Conclusion

Rédiger un testament est une étape cruciale pour planifier votre succession et protéger vos proches. En suivant ces étapes et en prenant des décisions éclairées, vous pouvez vous assurer que vos volontés seront respectées et que votre patrimoine sera transmis selon vos souhaits. N’hésitez pas à consulter un notaire pour vous accompagner dans cette démarche et éviter les écueils courants.

Rappelez-vous : un testament bien rédigé est la meilleure garantie pour prévenir les litiges et optimiser les avantages fiscaux pour vos héritiers.

En 2025, les entreprises et les particuliers en Belgique devront composer avec de nouvelles obligations fiscales et législatives qui impacteront surtout les véhicules thermiques et hybrides. Voici les principaux changements à prévoir :

⛔ 𝐅𝐢𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐜𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐟𝐢𝐬𝐜𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐛𝐨𝐫𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞: Les primes pour installer des bornes de recharge à domicile ont pris fin, et les entreprises qui n’ont pas finalisé leurs installations semi-publiques avant août 2024 ne bénéficieront plus de déductions fiscales avantageuses.

🅿 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐨𝐛𝐥𝐢𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬: Dès 2025, les bâtiments avec plus de 20 places de parking devront intégrer au moins deux bornes de recharge, selon la directive EPBD. Les nouvelles constructions sont également concernées.

⛽ 𝐂𝐨𝐮̂𝐭 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐞́𝐡𝐢𝐜𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐡𝐞𝐫𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 : L’augmentation de l’avantage en nature (ATN) pour les véhicules à essence et diesel sera inévitable. Chaque année, les conducteurs de ces véhicules paieront davantage, en raison de la baisse des émissions moyennes de CO₂ induite par l’essor des véhicules électriques. Ce surcoût risque de rendre ces modèles bien plus coûteux pour les entreprises et leurs collaborateurs.

💰 𝐁𝐮𝐝𝐠𝐞𝐭 𝐦𝐨𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐫𝐞́𝐯𝐢𝐬𝐞́ : Les employeurs pourront proposer un budget mobilité plus flexible, avec des montants plafonnés et des méthodes de calcul précises, permettant des solutions de transport durable.

⚡ 𝐓𝐚𝐫𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐛𝐨𝐫𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 : Dès 2025, toutes les bornes rapides devront afficher les prix en temps réel, et les bornes standards seront tenues d’afficher un QR code pour consulter les tarifs.

🚚 𝐒𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐚𝐮𝐱 𝐯𝐞́𝐡𝐢𝐜𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐞́𝐥𝐞𝐜𝐭𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐁𝐫𝐮𝐱𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 : Les entreprises basées dans la région bruxelloise auront la possibilité d’obtenir jusqu’à 16.000 € de subventions pour remplacer leurs camionnettes polluantes par des modèles électriques.

🧮 𝐑𝐞́𝐯𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞̀𝐠𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐟𝐢𝐬𝐜𝐚𝐥𝐞 : Le système de déductibilité sera durci, avec la suppression des minimums garantis. À partir de janvier 2025, les véhicules thermiques les plus polluants verront leur déductibilité fortement réduite, voire supprimée pour les modèles aux émissions les plus élevées. Une évolution qui renchérira notablement l’usage de ces véhicules pour les entreprises.

Vous l’aurez compris, ces changements confirment la volonté du gouvernement de rendre les véhicules thermiques de moins en moins attractifs, en encourageant la transition vers des alternatives durables.

À partir de ce 7 novembre 2024, l’activité bancaire de l’agence Crelan Paquay & Associés de Waimes sera transférée vers notre agence Crelan Detrembleur & Partners de Malmedy.

Renforcement de notre pôle de compétences unique dans la région

Crelan a sélectionné Detrembleur & Partners pour reprendre les activités bancaires de l’agence Paquay & Associés de Waimes.
Ce choix marque la confiance de Crelan dans l’expertise et l’engagement de l’équipe Detrembleur & Partners à fournir un service de qualité et des conseils sur mesure à ses clients.

Avec cette équipe spécialisée et une solide expérience dans les services financiers, Detrembleur & Partners garantit aux clients waimerais une continuité de service dans un cadre professionnel et accueillant.

L’agence de Malmedy est prête à répondre aux besoins de chaque client, que ce soit pour des opérations bancaires courantes, des projets de crédit, ou des investissements personnalisés.

Ce transfert d’activité souligne la volonté de Crelan d’assurer un service de proximité tout en misant sur la compétence d’une équipe reconnue dans la région.

 

Béatrice Detrembleur : « Nous sommes heureux de former aujourd’hui un pôle d’excellence réunissant le meilleur de chaque collaborateur et ce, au service des clients présents et futurs pour lesquels nous allons plus que jamais continuer d’offrir davantage de services spécialisés. Nous sommes animés de valeurs fortes et partagées que sont la proximité avec nos clients, la disponibilité de nos équipes et une réelle expertise dans nos métiers. »

Coordonnées de notre agence Detrembleur & Partners

Nos horaires d’ouverture habituels

Jour Matin Après-midi
Lundi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00
Mardi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00
Mercredi 08h30 – 12h00
Jeudi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00
Vendredi 08h30 – 12h00 13h30 – 17h00

 

⚠ Il est toujours préférable de prendre un rendez-vous pour bénéficier du temps nécessaire à l’accompagnement de votre projet.

L’équipe de Detrembleur & Partners remercie chaque client pour sa confiance.

 

N’hésitez pas à consulter l’ensemble de l’offre bancaire disponible sur le site www.crelan.be.

En matière de santé, un dicton bien connu affirme que celle-ci n’a pas de prix. Pourtant, la réalité est toute autre, en particulier en Belgique, où les frais d’hospitalisation peuvent rapidement devenir un fardeau financier.

Selon une étude récente de HelloSafe, la Belgique figure parmi les 20 pays les plus chers au monde en termes de coût d’une journée d’hospitalisation, se classant au 18e rang avec un tarif moyen de 556 € par jour.

Cette situation s’explique par le coût élevé des services hospitaliers dans notre pays. En effet, les frais pris en compte dans cette étude incluent les éléments standards comme la chambre, les soins infirmiers de base, l’alimentation et les médicaments.

Cependant, il est important de noter que les coûts liés à des traitements spécialisés ou à des interventions chirurgicales ne sont pas inclus dans ces estimations. Ainsi, en cas de complications médicales, la facture peut rapidement s’alourdir.

Face à ces chiffres alarmants, il devient essentiel de se prémunir contre les frais imprévus en souscrivant à une assurance hospitalisation de qualité. Une telle assurance permet non seulement de réduire le coût direct d’une hospitalisation, mais aussi d’offrir une tranquillité d’esprit en sachant que l’on est couvert en cas de problème de santé.

En Belgique, une enquête menée en 2018 par l’Institut Solidaris révélait que 4 personnes sur 10 avaient déjà renoncé à des soins pour des raisons financières. Cette statistique montre l’importance cruciale de disposer d’une bonne couverture santé pour éviter de se retrouver dans une situation difficile, notamment lors d’une hospitalisation imprévue.

Souscrire à une assurance hospitalisation, c’est s’assurer de ne pas être pris au dépourvu face à des frais de santé élevés. Que vous soyez un particulier ou une famille, une couverture adéquate vous garantit d’aborder plus sereinement les imprévus de la vie, tout en bénéficiant des meilleurs soins disponibles.

Ces derniers temps, plusieurs de nos clients de la région de Waimes et Malmedy ont été victimes de cambriolages alors qu’ils étaient en vacances. Les bijoux, cible quasi exclusive de ces voleurs, ont représenté des pertes à la fois financières mais surtout émotionnelles importantes.

Chez Detrembleur & Partners, nous vous conseillons sur les meilleures pratiques pour préserver vos objets de valeur et minimiser les risques. Voici quelques recommandations essentielles :

💎 𝐀𝐬𝐭𝐮𝐜𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐞𝐫𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐥’𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐬 𝐛𝐢𝐣𝐨𝐮𝐱 :

𝐀𝐬𝐬𝐮𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐯𝐨𝐥 𝐝𝐞́𝐝𝐢𝐞́𝐞 : c’est évidemment la base, assurez vos objets de valeur avec une police adaptée. Chez Detrembleur & Partners, nous proposons des couvertures spécifiques pour protéger au mieux vos biens précieux.
𝐈𝐧𝐯𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞́ : créez un inventaire complet de vos bijoux avec des photos de bonne qualité et conservez les factures ou preuves d’achat si possible dans un « cloud » ou en tout cas en dehors de votre maison.
𝐄́𝐯𝐚𝐥𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐫𝐞́𝐠𝐮𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 : faites régulièrement l’inventaire de vos bijoux afin de vous assurer qu’ils sont couverts à leur juste valeur, surtout si leur valeur a évolué avec le temps (cours de l’or notamment).

💡 𝐂𝐨𝐧𝐬𝐞𝐢𝐥𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐞́𝐝𝐮𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐥 :

𝐒𝐲𝐬𝐭𝐞̀𝐦𝐞 𝐝’𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞 : Saviez-vous que près de 𝟗𝟎 % 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐦𝐛𝐫𝐢𝐨𝐥𝐚𝐠𝐞𝐬 en Belgique concernent des maisons sans alarme ? Un système d’alarme, idéalement visible de la rue, est un excellent moyen de dissuasion.
𝐂𝐨𝐟𝐟𝐫𝐞-𝐟𝐨𝐫𝐭 : Bien qu’un coffre-fort ne soit pas indispensable, il reste une bonne option pour conserver vos bijoux à l’abri.
𝐂𝐚𝐜𝐡𝐞𝐭𝐭𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐠𝐞́𝐧𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞𝐬 : Si un coffre-fort n’est pas envisageable, pensez à des cachettes discrètes et imprévisibles pour vos bijoux.
𝐍𝐞 𝐥𝐚𝐢𝐬𝐬𝐞𝐳 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐞𝐬 𝐝’𝐚𝐛𝐬𝐞𝐧𝐜𝐞: demandez à un voisin de relever votre courrier et programmez des lumières pour simuler une présence pendant vos absences prolongées.

📋 𝐄𝐧 𝐜𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐥 :

𝐂𝐨𝐧𝐭𝐚𝐜𝐭𝐞𝐳 𝐢𝐦𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐚 𝐏𝐨𝐥𝐢𝐜𝐞 et transmettez-leur l’inventaire et toutes les informations pertinentes (photos, évaluations).
𝐃𝐞́𝐜𝐥𝐚𝐫𝐞𝐳-𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐬𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐢𝐝𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 afin de démarrer le processus d’indemnisation le plus vite possible.

En résumé, être bien couvert peut vous éviter bien des soucis. Mais une couverture de qualité ne sera valorisée que si vous avez pris des dispositions avant un cambriolage! N’hésitez pas à nous contacter pour obtenir des conseils personnalisés et des solutions d’assurance sur mesure.

👥 Detrembleur & Partners : Protégez ce qui compte pour vous.